Qui supporte la douleur et l'adversité avec courage. Exemple : Rester stoïque face à l'adversité.
Se dit d'un comportement qui dénote une fermeté inébranlable, une grande impassibilité devant la douleur, le malheur, etc. : Une acceptation stoïque de la maladie.
Qui se montre impassible. Synonyme : dur, ferme, impassible, indifférent, inébranlable, insensible, patient, philosophe, rigide, spartiate.
La pensée stoïcienne vise à former la vertu et la raison afin de réussir à gérer les émotions négatives (telles que la colère et l'envie). Selon cette pensée, les personnes ne sont pas perturbées par les choses, mais par les opinions qu'elles en ont, et elle propose de les transformer en émotions saines.
Sustine et abstine (svstine•et•abstine) est la maxime des stoïciens (traduite du grec ancien : ἀνέχου καὶ ἀπέχου, anekhou kai apekhou) qui signifie littéralement « Supporte et abstiens-toi ». Elle est attribuée à Épictète ( I er siècle et II e siècle apr.
1. Qui est susceptible d'application pratique, qui a une valeur pratique. 2. Qui est orienté vers l'action pratique : Une politique pragmatique.
Qui supporte la douleur et l'adversité avec courage. Exemple : Rester stoïque face à l'adversité.
Le stoïcisme est une philosophie fondée à la fin du IVème siècle avant J.C par Zénon de Kition, philosophe grec d'origine phénicienne. Elle a pour but ultime la recherche de la sagesse morale et considère que la seule source du bonheur est la vertu, et non le plaisir. Termes antonymes : épicurisme, hédonisme.
Qui a tendance à mettre en doute les croyances et les vérités couramment admises : C'est un esprit sceptique et destructeur. 3. Qui doute de quelque chose, qui refuse de se prononcer et réserve son jugement sur une question particulière : Être sceptique sur un programme économique.
Qui ne cesse d'être, de durer. Synon. éternel, immuable.
L'épicurisme est le contraire du stoïcisme.
Dans le stoïcisme, être heureux, c'est accepter ce qui vient. Epictète, l'un des théoriciens du stoïcisme a théorisé l'amor fati (« l'amour de sa destinée »). Il considère que ça ne sert à rien de se focaliser sur ce qui ne dépend pas de nous, comme le destin (qu'il faut accepter).
Le stoïcisme est une construction collective reposant sur l'idée selon laquelle il vaut mieux aborder les sentiments et le monde avec rationalité plutôt que d'être à la merci de son destin et de ses émotions. Etre stoïque signifie se suffire à soi-même.
Adjectif 1
(Médecine) Douloureux, qui ressent de la douleur. Si le patient est algique, le médecin doit chercher la cause de la douleur.
Le doigt étant la partie du corps la plus richement innervée, son amputation sans anesthésie provoque une douleur très intense. D'autant que la victime souffre souvent ensuite des douleurs dites du « membre fantôme ».
L'allodynie est une douleur provoquée par un stimulus qui ne cause habituellement pas de douleur.
Qui s'en tient aux faits, qui les présente sans les interpréter : Information factuelle.
Adaptatif désigne ce qui s'adapte avec facilité, qui présente une capacité à évoluer, ou à se modifier en fonction d'un contexte.
Qui est doué d'une intelligence pénétrante et subtile, qui saisit ce qui échappe à la plupart et peut établir des prévisions. Synon. clairvoyant, lucide, pénétrant, sagace; anton.
La morale stoïcienne est une morale de la liberté. Malgré le destin, l'homme demeure libre de ses représentations et opinions. Nous pouvons, malgré la non maîtrise des causes, avoir le contrôle de nos représentations. La liberté désigne la puissance d'agir par soi-même au niveau de la pensée et du jugement.
La définition la plus célèbre du but de la vie selon les stoïciens, qui est attribuée soit à Zénon soit à Chrysippe, est simplement “vivre en accord avec la nature” et plusieurs variations peuvent être trouvées dans la littérature stoïcienne.
Contrairement aux épicuriens pour qui chaque personne est une individualité qui agit et pense différemment, les stoïciens estiment eux que chaque être correspond à un tout et que les choses arrivent nécessairement comme elles arrivent.
Le stoïcisme est une école de philosophie hellénistique fondée par Zénon de Kition à la fin du IV e siècle av. J. -C. à Athènes.