Les données statistiques mettent en évidence que les filles réussissent mieux à l'école. Par exemple, ces dernières ont de meilleurs résultats en français. L'évaluation internationale PIRLS de 2016 témoigne bien qu'en France comme ailleurs, les filles en CM1 sont plus performantes en compréhension de l'écrit.
Elles ne sont pas éduquées de la même façon
Pour faire simple : les filles sont éduquées pour rester dans le cadre. On tolère davantage des garçons qu'ils en sortent. Une réflexion avancée par les deux sociologues spécialistes de l'éducation Christian Baudelot et Roger Establet.
En effet, de manière générale les garçons sont moins engagés dans l'école : ils consacrent en moyenne une heure de moins que les filles à leurs devoirs et "passent plus de temps que les filles devant des jeux vidéo, et moins de temps qu'elles à la lecture".
La réussite scolaire des filles est expliquée par leur conformisme, leur autodiscipline, leur sens de l'altruisme. En revanche, la compétence scolaire des garçons est attribuée à leur confiance en soi et ambition, et à leur esprit de compétition.
Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
Les filles qui fréquentent ce milieu cherchent à tout résoudre par elles-mêmes, allant jusqu'à vouloir se choisir leur mari!
Une école qui encourage l'enfant à comprendre son environnement.
L'enseignement supérieur apparaît plus généralement largement divisé entre des filières " masculinisées " (sciences et techniques) et des filières " féminisées ", comme les formations paramédicales et sociales (85 % de filles) ou les licences en lettres et sciences humaines (70 %).
D'un meilleur niveau scolaire, les filles s'orientent davantage vers l'enseignement général et technologique que les garçons. Pour autant, elles sont moins nombreuses en proportion à s'orienter dans les filières scientifiques. En 2017, 41,5 % des terminales scientifiques (S, ST2ID et STL) sont des filles.
Dès le plus jeune âge, nous assimilons des normes et des valeurs différentes en fonction de notre milieu social et de notre sexe. Nous verrons d'une part que la socialisation transmet un genre (masculin/féminin) en fonction de notre sexe ou rôle, puis nous verrons qu'elle varie aussi en fonction de notre milieu social.
Par "inégalités scolaires" nous entendons une inégale répartition de biens distribués par l'école - parcours d'ap- prentissage, diplômes, compétences - en fonction de groupes socialement définis notamment par le milieu socio-économique, le capital culturel des parents ou le parcours migratoire.
La pauvreté et le sous-développement sont à la fois une cause et une conséquence de ces inégalités. Et, pour sortir de ce cercle vicieux, l'accent est de plus en plus mis sur l'éducation des femmes et des filles car elles ont un rôle fondamental de « locomotive » dans la société.
Diverses recherches ont mis en évidence l'attitude des garçons en classe et quel comportement les caractérisent. Il semble que les garçons expriment davantage, plus ouvertement et plus agressivement leur frustration liée à de faibles résultats scolaires que les filles.
Le métier de vendeur en magasin et de vendeur en produits frais est exercé par 73.5% de femmes pour seulement 26.5% d'hommes (610 000 offres étudiées). Le métier de fonctionnaire des impôts et de secrétaire de mairie est exercé par 73.4% de femmes pour seulement 26.6% d'hommes (592 000 offres étudiées).
Une bonne école sépare connaissances, compréhension, aptitudes et compétences, et aide les élèves à faire de même. Une bonne école amène les élèves doués aussi haut que les élèves en difficulté. Une bonne école bénéficie des dons et des ressources de ses élèves et de leurs familles, puis les renforce en retour.
Pour certains cependant, l'école est synonyme de stress, pour la raison que l'ecole demande un travail de longue haleine et cela peut conduire les enfants qui sont surcharges et par consequent peuvent se se sentir stressés.
À travers leur expérience éducative, les élèves approfondiront leurs connaissances du territoire et de leur communauté, leurs compétences langagières et leur développement identitaire. Et votre enfant vivra tout cela dans un environnement francophone. L'école francophone, c'est nous. C'est vous aussi.
LES AVANTAGES ET LES INCONVIENT DE L'ECOLE DANS SOUS L'ORAGE
Dans ce ROMAN il traite du déracinement, de l'acculturation, de la colonisation en développant aussi bien le thème de l'école française de ses avantages et de ses inconvénients.
Alors, pour conclure : oui, les petits garçons ont tendance à parler un peu plus tard que les filles. Toutefois, la différence n'est plus significative quand les enfants ont 3 ans. Certains garçons parlent moins simplement en raison de leur personnalité sans avoir de difficultés de langage… tout comme certaines filles!
Le garçon peut également vouloir être une fille pour que son père l'aime comme il aime sa mère (c'est le Complexe d'Œdipe inversé) ; la fille peut également vouloir être un garçon pour être complémentaire à sa mère célibataire. Mais cela peut aussi répondre à un besoin d'opposition.
Évitez de parler trop longtemps de vous-même.
Si vous commencez à vous vanter, la fille se désintéressera de vos propos. Demandez-lui ce qu'elle aime faire, posez-lui des questions sur sa famille, son chien ou son chat et l'école. Veillez aussi à partager des informations à votre sujet.