L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
Évitez la chemisette ou chemise à manche courte. un pantalon (noir ou gris foncé). On peut éventuellement opter pour un jean s'il est un peu élégant (on évitera la forme baggy, les couleurs délavées ou encore le jean avec des accrocs). des chaussures en cuir (sombres elles aussi) et une ceinture.
Le noir est toujours l'idéal ; qu'il soit traditionnel, formel ou décontracté, le noir ne vous déplaît pas lors d'un enterrement.
Ainsi, comme pour les habits de deuil, la couleur blanche représente l'innocence, la pureté, les enfants et les jeunes personnes.
Les femmes choisissent souvent de porter pour un enterrement un costume, une robe ou encore un ensemble composé d'une jupe et d'un chemisier ou d'un pull. Il est fortement conseillé de porte des vêtements sobres. La tenue ne doit pas être trop révélatrice.
Retour sur l'origine du noir dans le deuil. En Inde et au Japon on pleure ses morts en blanc, en Chine en rouge, en Iran en bleu… et en Occident c'est le noir qui est choisi pour porter le deuil.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt. Dans certaines cultures, le rouge est un signe de fête.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
►Dans le cas d'une inhumation, la mise en bière peut se faire avec un ou des membres de la famille, mais sans nécessairement la présence de la police. ► Dans le cas d'une crémation et/ou en l'absence de la famille, la mise en bière doit se faire avec la présence de la police.
Une chaussure formelle et de couleur sombre est le meilleur choix à faire. C'est aussi le cas de chaussures de villes sombres ou de ballerines moires ou encore de chaussures classiques bleu marine, grises ou vert foncé. Si l'enterrement n'est pas très formel, vous pouvez oser ces converses foncées ou des tennis.
Évitez les motifs, les couleurs vives ainsi que les couleurs primaires (bleu vif, rouge, jaune). De même, en l'absence de costume, un simple pantalon en coton, notamment l'été, et une veste en laine, coton ou lin selon la saison, restent respectueux du dress code pourvu qu'ils soient sobres, sombres, neutres et unis.
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
Les fleurs ne sont donc pas valorisées car elles sont considérées souvent comme superflues. Pour remplacer les pétales de fleurs, trois poignées de sable sont jetées sur le cercueil pour rendre un dernier hommage au défunt. Dans le rite musulman, la tradition veut que l'on n'offre pas de fleurs à la famille endeuillée.
Quelles couleurs porter pour aller à un enterrement ? Sauf demande particulière de la famille, en Occident il est conventionnel de s'habiller en noir et dans d'autres coloris sombres pour se rendre à des obsèques. Parmi eux, le bleu marine ou le gris anthracite.
LA CHEMISE ET LES ACCESSOIRES
Rien de mieux qu'une chemise blanche pour un enterrement, la chemise noire est également une bonne option. Quant aux cravates, soyez assez conservateurs et optez pour : - un motif uni ou discret, - une couleur sombre (bleu marine, noire, marron, gris charbon, bordeaux, etc...).
Traditionnellement, quand ils choisissent des fleurs pour les funérailles, les proches du défunt optent souvent pour des roses. Les roses blanches représentent la pureté, tandis que les rouges témoignent de l'amour ardent des membres de la famille.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
Les porteurs chargent le cercueil sur leurs épaules et s'engagent à la suite du célébrant dans l'allée centrale. A leur passage, l'assistance se signe, et cette entrée solennelle, accompagné de musique, est une belle marque de respect et d'hommage rendu au défunt.
Si dans la tradition catholique la veillée funèbre permettait d'accompagner l'âme du défunt jusqu'à Dieu, c'est aujourd'hui, avant tout, un moment de rassemblement – auprès du mort et entre vivants. On vient communier avec l'être aimé, là où le temps semble s'arrêter.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Dans les pays occidentaux, il est souvent conseillé d'attendre 3 jours avant de procéder à l'enterrement d'un proche. Cette pratique n'est pas une obligation légale ni religieuse. D'un point de vue pratique, ce délai est souvent nécessaire pour organiser la cérémonie et finaliser les obsèques.
Il est recommandé d'utiliser des bas (même pendant la saison estivale) et de porter des chaussures élégantes, mais en même temps pratiques et confortables (surtout s'il faut rester longtemps debout), comme les simples danseuses noires. La coiffure doit être soignée, mais pas tape-à-l'œil ni extravagante.