1. Connaissance, intuitive ou réflexive immédiate, que chacun a de son existence et de celle du monde extérieur. 2. Représentation mentale claire de l'existence, de la réalité de telle ou telle chose : L'expérience lui a donné une conscience aiguë du danger.
Avoir l'intuition, l'impression, le sentiment de quelque chose; avoir connaissance, se rendre compte de quelque chose de façon très globale. Avoir conscience de + inf. passé; avoir conscience que[Souvent dans des constr. négatives] .
C'est ce sentiment intime d'une sensibilité personnelle que l'on porte en soi, ainsi que la sensation que nos pensées, nos émotions et nos souvenirs nous appartiennent et qu'on les contrôle.
Synonyme : honnêteté, lucidité, moralité, probité, sens moral.
Parce que notre conscience est basée sur nos sentiments, et ceux-ci sont basés sur nos cellules vivantes. Donc la qualité, la profonde nature de la conscience ne pourrait exister que si la machine était exactement la même que l'humain. Avec surtout les mêmes risques de vie et de mort que l'humain.
Avoir bonne conscience, avoir la conscience tranquille, en paix, avoir sa conscience pour soi, n'avoir rien à se reprocher, être sûr d'avoir bien agi.
La conscience permet d'être une personne, de dire « je », de se penser, de rester la même personne au cours du temps.
On admet généralement que la conscience est le propre de l'être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains animaux et aux êtres humains.
Pour lui, la conscience est la possibilité pour tout homme de reconnaître le vrai, et surtout dans les domaines déterminants de son existence que sont la foi et la morale.
Pensée et conscience
Dans cette mesure, elle est ce par quoi le sujet prend conscience de lui-même. Le simple fait de penser me montre immédiatement que je suis : « Je pense, donc je suis » (Discours de la méthode). La pensée distingue le sujet des choses et des causes mécaniques.
Dès 18 mois, l'enfant développe en effet une conscience de soi en concert avec celle d'autrui. Ce développement est l'expression d'une coconscience de soi où l'enfant devient conscient de lui-même dans sa dépendance aux autres, de même qu'en fonction et au travers du regard d'autrui.
La notion de conscience recouvre trois cas de figures différents : la conscience de soi désigne la capacité de réflexion qui caractérise la subjectivité ; la conscience d'objet signifie la faculté du sujet à se représenter les choses extérieures ; la conscience morale enfin désigne une capacité non plus théorétique ...
La conscience de soi n'a qu'un seul but, s'affirmer comme conscience de soi pour soi. Ainsi dans la rencontre d'autrui, chacune des deux consciences veut être reconnue comme une liberté existant pour soi et pour rien d'autre, c'est-à-dire n'étant déterminée par rien d'autre que sa propre volonté.
La conscience présente certains traits caractéristiques qui peuvent notamment inclure : rapport à soi, subjectivité (la conscience que l'individu possède de lui-même est distincte de celle d'autrui), la structure phénoménale, la mémoire, la disponibilité (ou liberté de la conscience à l'égard des objets du monde), la ...
Les résultats de ces études suggèrent que la conscience est un phénomène complexe, qui émerge de l'interaction entre plusieurs régions et processus cérébraux. Elle serait le résultat de processus cognitifs de haut niveau. Sa fonction concernerait le contrôle des activités cérébrales les plus complexes.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
“Connais-toi toi-même.” “Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde.” “Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme.”
La conscience permet la connaissance de soi car elle est certitude. Cependant, cette connaissance est subjective et conditionnée. L'inconscient a un rôle important dans la connaissance de soi, et s'en rendre compte nous rend plus lucide.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
La conscience morale représente la capacité d'une personne à prendre en considération le point de vue des autres avant d'agir. Grâce à la conscience morale, une personne est capable d'évaluer les conséquences de ses gestes sur les autres et de comprendre si ce qu'elle fait est bien ou mal.
La conscience est un état de l'individu qui sait qui il est, où il est, ce qu'il peut ou ne peut pas faire dans le contexte où il se trouve. Plus généralement, c'est la faculté à « se voir » soi-même et à se reconnaître dans ses pensées et ses actions. L'inconscient est ce qui échappe à la conscience.
Le conscient est à la fois lieu de nos sensations et de nos perceptions ainsi que la réalité subjective de celles-ci. Il constitue la matière même de notre vie psychique. Il organise les données de nos sens et de notre mémoire et nous situe dans le temps et l'espace.
La conscience est un pouvoir de représentation permettant à l'homme d'avoir la connaissance des choses et de lui-même. Il sait qu'elles existent et il a la connaissance immédiate de sa propre existence ainsi que de ses états et de ses actes. Le terme signifie étymologiquement « avec la connaissance de ».
L'inconscient, ce qui échappe à notre connaissance. L'inconscient, par définition, échappe à notre conscience. Selon la psychanalyse, les traumatismes de notre petite enfance, les frustrations, assimilables à de micro traumatismes, les pulsions honteuses, ont été refoulées hors du champ de notre conscience.