Le mot « bible » vient du grec ancien biblos ou biblion correspondant à l'hébreu sépher — « livre » — qui a donné τὰ βιϐλία (ta biblia), un substantif au pluriel qui signifie « les livres », soulignant son caractère multiple, qui est traité par les auteurs médiévaux en latin comme un féminin singulier, biblia, avec ...
bible n.f. Ensemble des textes sacrés pour les religions juive et chrétienne. bible adj. Papier bible, papier pour impression, mince, léger, opaque et résistant.
Le mot Bible est employé dans son sens actuel à partir du IVe siècle après Jésus-Christ, époque à laquelle saint Jérôme entreprit de traduire les textes sacrés en latin.
Voici les réponses à toutes les questions qu'on se pose sur la Bible. La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Quelques siècles avant notre ère, les juifs de culture grecque ont pris cette expression ta biblia pour nommer la collection de leurs livres saints. Les chrétiens adopteront le même terme pour ces livres, qui pour eux forment l'Ancien Testament.
L'écriture de ces livres a commencé vraisemblablement au VIIIe siècle avant Jésus-Christ pour s'achever vers 100 après Jésus-Christ. D'abord écrits séparément, ces livres ont été inlassablement médités, recopiés, puis peu à peu regroupés et classés au fil des siècles.
Aujourd'hui, des parties du manuscrit sont conservées dans quatre institutions : La bibliothèque universitaire de Leipzig en Allemagne, la bibliothèque nationale de Russie à Saint-Pétersbourg , le monastère de Sainte-Catherine au Sinaï et la British Library , où la plus grande partie du manuscrit (347 folios) est ...
Dieu est notre père dans un sens spirituel et naturel. Tous les êtres humains sont enfants de Dieu puisqu'il nous a tous créés à son image (Genèse 1.27).
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
La Bible éthiopienne frappe, d'abord, par son étendue : selon une tradition fermement établie, 81 livres la composent. Il s'agit du plus vaste canon, ou liste de livres reconnus comme Écritures saintes, attesté dans le christianisme.
L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus- Christ.
Ainsi, la tradition attribue la rédaction du Pentateuque à Moïse ; l'origine des livres de Josué, des Juges et de Samuel à des archives sacrées recueillies par le prophète Samuel ; Jérémie est vu comme étant l'auteur des premier et deuxième Livres des Rois ; David comme celui des Psaumes, et Salomon comme celui des ...
Au contraire du Coran, la Bible ne se récite pas, elle demande une "lecture", c'est-à-dire un processus de distanciation, un effort de déchiffrage, une capacité à dépasser la lettre.
On l'appelle la Vulgate, elle constitue le texte officiel de l'Église catholique. L'hébreu, l'araméen, le grec et le latin peuvent donc être regardés comme les langues des textes et versions bibliques les plus importants d'où le rang spécial qui leur est attribué dans le classement (voir plus bas).
Les Hébreux ont écrit la Bible hébraïque pour conserver leurs traditions au moment où leurs royaumes étaient envahis. Ce livre raconte leur histoire, à laquelle se mêlent des légendes et des règles religieuses ou morales.
Les interprétations étant possibles on se retrouve avec des différences. Ensuite il y a les problèmes linguistiques. Chaque traduction de la bible peut modifier de près ou de loin certaines notions. Le grec est notamment rempli de mots polysémiques et la bible de métaphores, cela peut générer plusieurs versions.
Pour les chrétiens, Jésus est le fils de Dieu. Jésus est une partie inhérente de Dieu, car il est une part de la Sainte Trinité (Dieu le père + Jésus le fils + l'Esprit Saint). On dit aussi que, à travers Jésus, c'est Dieu qui s'est fait chair parmi les Hommes.
Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים) est le nom le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hébraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1,1). Contrairement aux autres noms mentionnés dans cet article, il est aussi utilisé pour désigner les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3).
La Torah (en hébreu : תּוֹרָה, « instruction » ; en grec ancien : Νόμος / Nómos, « Loi ») est, selon la tradition du judaïsme, l'enseignement divin transmis par Dieu à Moïse (hébreu : תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) sur le mont Sinaï et retransmis au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē ...
Pour les Évangiles, le Codex Sinaiticus est considéré, après le Codex Vaticanus, comme la seconde version la plus fiable ; pour les Actes des Apôtres, il est l'égal du Codex Vaticanus ; pour les Épîtres, le Codex Sinaiticus est la meilleure version.
En gros, la Torah serait née de la fusion - en plusieurs étapes - de deux grandes sources bien distinctes: l'écriture «yahviste» en cours au royaume de David, au Xe siècle avant Jésus-Christ, et l'écriture sacerdotale «élohiste», remontant au VIIIe siècle avant l'ère chrétienne.
A cet effet, la Segond 21 avec notes standard propose : un texte biblique proche de l'original, avec les mots d'aujourd'hui, une brève introduction à chaque livre de la Bible, près de 1500 notes qui explicitent le sens du texte, quand c'est nécessaire, 6 pages de cartes, un dictionnaire biblique et théologique.
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
-C. La date du 25 décembre précédant l'an 1 a été fixée par le moine Denys le Petit, au début du VI e siècle. Elle marque en principe le début de l'ère chrétienne.
Dans leur très grande majorité, les analystes du récit biblique situent la date de la Création, en chiffres ronds, à 4 000 ans avant l'ère chrétienne. Le raisonnement le plus couramment suivi consiste à compter le nombre des générations qui se sont succédé depuis Adam jusqu'à Jésus.