Les médicaments habituellement prescrits pour soulager partiellement le tremblement essentiel sont le propranolol (qui fait partie des bêtabloquants, des médicaments qui régularisent la tension artérielle et les battements cardiaques), des antiépileptiques (qui réduisent la sensibilité du cerveau aux stimulations), ou ...
Il n'y a ni traitement curatif, mais les benzodiazépines (clonazépam), les antiépileptiques (valproate, gabapentine), les bêtabloquants (propranolol) et les myorelaxants peuvent être utilisés pour atténuer les symptômes.
Le tremblement est dû à une contraction répétée et involontaire des muscles. Il est normal en cas de froid ou de peur. Mais ce mouvement est considéré comme pathologique s'il survient au repos, durant le maintien d'une posture ou l'exécution d'un geste précis.
Si votre tremblement occasionne une gêne ou un handicap au quotidien (difficultés à remplir un formulaire ou un chèque, à se servir à table, etc.), prenez rendez-vous avec votre médecin traitant. Si nécessaire, celui-ci vous orientera vers un neurologue (spécialiste des maladies du système nerveux).
Diminuer le stress. De nombreuses méthodes permettant d'agir sur le stress peuvent aider les personnes atteintes de tremblement essentiel : des séances de yoga, relaxation, sophrologie, ou méditation par exemple peuvent apporter une aide considérable.
Surtout les psychotropes — De très nombreux médicaments exposent à des tremblements, surtout des psychotropes. Parmi eux, les neuroleptiques utilisés comme antipsychotiques, comme antiémétiques. Des antidépresseurs, le lithium, l'acide valproïque, les anticholinestérasiques causent des tremblements.
Symptômes. Le tremblement essentiel est caractérisé par des mouvements rythmiques observés lors d'un mouvement volontaire ou lors du maintien de certaines positions. Le tremblement essentiel est souvent confondu avec la maladie de Parkinson mais les tests de dépistage permettent de les différencier facilement.
Le tremblement essentiel est une maladie neurologique fréquente qui se traduit par des tremblements incontrôlables lors des mouvements. Avec Parkinson, les tremblements surviennent, eux, au repos.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs... peuvent être associés.
Les tremblements physiologiques, généralement à peine perceptibles, deviennent perceptibles chez de nombreux sujets lors d'un stress physique ou mental. La gravité des tremblements peut ne pas être liée à la gravité du trouble sous-jacent.
Le propranolol est le bêtabloquant le plus utilisé et il est instauré à dose progressive, la dose efficace se situant entre 60 et 320 mg par jour. L'efficacité de cette molécule témoigne de l'implication des récepteurs bêta-adrénergiques dans ce trouble.
La plupart du temps, les tremblements ne sont pas le signe d'une maladie chronique. Ils peuvent être dus par exemple à un manque passager de sucre dans le sang (hypoglycémie), à la fatigue, aux émotions (angoisse, peur, colère...), à un traitement médicamenteux ou à la fièvre.
Dans certaines études scientifiques, le tremblement essentiel est associé à des symptômes non moteurs comme l'anxiété, la phobie sociale et la dépression.
La personne qui vieillit aura tendance à davantage manifester son anxiété, sa contrariété, sa colère avec ces mouvements involontaires, qu'une personne plus jeune. Le stress de la difficulté à exprimer ce qu'on ressent lors d'une maladie cognitive accentue également cet effet.
Les plus prescrits sont des bêtabloquants, dont le propranolol, habituellement utilisé dans l' hypertension et les troubles du rythme cardiaque. En cas d'échec, des antiépileptiques ( primidone...) ou anxiolytiques ( alprazolam...) peuvent être proposés.
Pour les tremblements peu invalidants au quotidien, un traitement par médicament n'est pas toujours nécessaire et le plus simple consiste à vivre avec eux, en évitant de les aggraver par des consommations excessives de café, d'alcool ou de certains médicaments.
Rappel de la maladie
Elle est la cause la plus fréquente des syndromes parkinsoniens. L'âge représente le principal facteur de risque de la maladie. Rare avant l'âge de 50 ans, sa fréquence augmente ensuite fortement avec le vieillissement. L'âge moyen au diagnostic se situe autour de 75-80 ans.
Signes et symptômes du stress
Les symptômes physiques liés au stress sont tels que des maux de tête, des douleurs musculaires, des vertiges, des nausées, des troubles du sommeil, une fatigue intense ou encore des troubles de l'alimentation.
Le diagnostic repose sur l'examen des symptômes présentés par le/la patient(e) et la prise en compte de son état général. Il n'existe aucun examen sanguin permettant de poser un diagnostic. Les examens d'imagerie (scanner, IRM du cerveau, scintigraphie cérébrale…)
La maladie de Parkinson résulte de la dégénérescence de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.
La paralysie supranucléaire progressive (PSP), aussi appelée maladie de Steele-Richardson-Olszewski, est une maladie du système nerveux d'origine inconnue, non familiale qui est associée à une anomalie de la protéine tau. Cette maladie qui ressemble un peu à la maladie de Parkinson débute autour de la soixantaine.