Au sein de l'UE, les 3 premiers clients de la Russie sont les Pays-Bas (7,4% des exportations russes), l'Allemagne (5,5%) et l'Italie (3%). A noter également la progression très importante des exportations russes vers le Royaume-Uni[3] (6,9%), devenu le 3 e client de la Russie en 2020 devant l'Allemagne.
Les principaux clients de la Russie sont la Chine (14,6 % des exportations), les Pays-Bas (7,4 %), le Royaume-Uni (6,9 %), l'Allemagne (5,5 %), la Biélorussie (4,7 %) et la Turquie (4,7 %).
Comme l'illustre ce graphique, basé sur les dernières données Comtrade des Nations Unies, l'impact économique d'un arrêt des importations de l'UE est important, bien que la Chine reste de loin le plus grand client de la Russie pour le pétrole (33 % de la valeur exportée).
Les partenaires principaux commerciaux de la Russie sont : l'Allemagne, l'Italie, la Chine, la Turquie, la Pologne, la Suisse, la Grande-Bretagne, les États-Unis, la Finlande. La Russie assure la grande partie des besoins des pays de la CEI. Ce sont : pétrole et produits pétroliers, gaz, bois, voitures et équipement.
L'Allemagne est le premier partenaire commercial de la Russie devant l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Finlande et la France.
Dans les faits : l'OTAN est une alliance défensive, qui a pour mission de protéger ses États membres. Nos exercices et nos déploiements militaires ne sont pas dirigés contre la Russie – ni contre aucun autre pays.
La France est activement impliquée dans des relations de défense très étroites avec ses alliés les plus proches que sont, en Europe, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ainsi que les États-Unis.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
Au sein de l'UE, les 3 premiers clients de la Russie sont les Pays-Bas (7,4% des exportations russes), l'Allemagne (5,5%) et l'Italie (3%). A noter également la progression très importante des exportations russes vers le Royaume-Uni[3] (6,9%), devenu le 3 e client de la Russie en 2020 devant l'Allemagne.
En tête des exportations françaises vers la Russie, on retrouvait, en 2019, les matériels de transport (24 %), les produits chimiques, parfums et cosmétiques (21 %), les machines industrielles et agricoles (11 %), les produits pharmaceutiques (8 %) ou encore les produits informatiques, électroniques et optiques (7 %).
“La Chine et l'Inde ne sont pas les seuls pays à acheter du pétrole russe”, commente Le Temps. La semaine dernière, l'Asie était encore la principale destination des exportations de brut russe, avec 50 % (1,71 million de barils), mais l'Europe en achetait 45 % (1,55 million de barils).
L'Allemagne en profite
La Russie pèse encore 14% des importations de gaz naturel liquéfié importé en Europe. Toutefois loin devant les Etats-Unis qui représentent désormais près de la moitié du GNL européen. Leurs exportations vers le vieux continent ont explosé de 150% au premier semestre, selon le GIIGNL.
Ces pays qui soutiennent encore la Russie de Poutine. Alors que l'invasion de l'Ukraine s'éternise, la Russie de Vladimir Poutine n'a jamais paru si isolée sur la scène mondiale.
Grand pays producteur de poisson et de fruits de mer, la Russie en est tout de même un importateur net. Le pays importe également des fruits, des tomates, de viande bovine, de l'huile de palme. La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux.
Budget de la dette en Russie
En 2020, dernière année évaluée, le montant de 212,36 milliards d'euros a été le plus élevé des 22 dernières années. Rapporté au nombre d'habitants, cela correspond en Russie à un endettement de 1.474 euros par personne.
Si de nombreux pays d'Europe centrale ou orientale dépendent entièrement de la Russie pour leur approvisionnement en gaz, comme la Slovaquie ou les Pays Baltes, la part du gaz russe est de 80 % en Pologne, 65 % en Autriche, 37 % en Allemagne et en Italie et 24 % en France.
Des importations des marchandises françaises en Ukraine en 9 mois de 2021 se composaient principalement de produits chimiques divers (15,0%), moyens de transports terrestres autres que les chemins de fer (11,9%), produits pharmaceutiques (10,7%), réacteurs nucléaires, chaudières et machines (8,6%), huiles essentielles ...
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
La Chine représente 17,9 % des exportations de blé provenant du Canada, 13,2 % de celui exporté depuis les États-Unis et 12,2 % des exportations françaises. La Chine reste ainsi plutôt épargnée par l'actuel conflit en Europe.
Quelles sont les zones importatrices de céréales françaises ? La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
Le blé, fleuron du marché mondial des céréales
Avec quelque 130 millions de tonnes par an, la Chine est de loin le premier producteur de blé au monde, suivie de l'Inde (90 millions de tonnes), des États-Unis et de la Fédération de Russie, avec plus de 60 millions de tonnes chacun.
On constate que les pays qui ont le plus aidé l'Ukraine sont ses voisins : l'Estonie (0,830% du PIB), devant la Lettonie, la Pologne et la Lituanie. Les États-Unis sont septièmes (0,216% du PIB), l'Allemagne est 13ème (0,082% du PIB) et la France 19ème (0,045% du PIB).
Allégation : la défense antimissile de l'OTAN représente une menace pour la sécurité de la Russie. Dans les faits : la défense antimissile balistique de l'OTAN n'est pas dirigée contre la Russie et ne peut porter atteinte aux capacités de dissuasion stratégique russes.
Les autres partenaires EOP sont l'Australie, la Finlande, la Géorgie, la Jordanie et la Suède. L'Ukraine renforce également ses capacités et son interopérabilité au travers de sa participation à la Force de réaction de l'OTAN.