Selon L'Organisation de Coopération de et Développement Économique (OCDE), la classe moyenne est représentée par les personnes ayant un revenu compris entre 75 % et 200 % du revenu médian (c'est-à-dire le revenu qui divise la population en deux parts égales).
Comment savoir si je fais partie de la «classe moyenne», ou si je suis «pauvre»? Si le concept n'est pas clairement défini, on considère que la classe moyenne regroupe les personnes dont le revenu disponible est compris entre 1350 euros et 2487 euros par mois.
Font alors partie des classes moyennes, de plein droit en quelque sorte, les bien nommées professions intermédiaires : instituteurs et infirmières, secrétaires de direction et interprètes, techniciens, agents de maîtrise… Au-delà sont pris en compte une partie des employés et des cadres supérieurs (tableau).
L'INSEE classe ainsi dans la classe moyenne toutes les personnes dont le revenu disponible - autrement dit l'ensemble des revenus, prestations sociales comprises - est situé entre 1350 euros et 2487 euros par mois (chiffres portant sur l'année 2016).
La « classe moyenne » : niveau de vie compris entre le troisième décile et le huitième décile (50 % de la population) Les personnes dans ce groupe ont un revenu annuel disponible par ménage compris entre 21 600 euros et 50 090 euros.
“Jusqu'à 1.300 euros, elles appartiennent aux classes populaires, reprend l'organisme. Et, entre 1.300 et 2.300 euros aux classes moyennes. Après ce palier, qui peut paraître faible dans l'absolu, un cap est franchi selon l'Observatoire des inégalités.
En 2021, une personne est considérée comme pauvre d'après l'Insee, si ses revenus sont inférieurs à 1 063 euros par mois, pour un niveau de vie médian établi à 1 771 euros mensuels pour une personne seule après impôts (allocations sociales comprises).
Les ménages dont le niveau de vie est compris entre 60 et 90 % du niveau de vie médian sont dits modestes (soit entre 1 028 et 1 542 euros par unité de consommation et par mois).
Selon L'Organisation de Coopération de et Développement Économique (OCDE), la classe moyenne est représentée par les personnes ayant un revenu compris entre 75 % et 200 % du revenu médian (c'est-à-dire le revenu qui divise la population en deux parts égales).
Si vous êtes une personne seule, vous êtes considéré comme "pauvre" si votre revenu mensuel est inférieur à 800 euros. Jusqu'à 1300 euros, vous êtes décrit comme faisant partie de la classe populaire. Entre 1300 et 2300 euros, c'est la classe moyenne.
1Les classes moyennes (le pluriel est d'importance), auxquelles s'identifient majoritairement les Français, rassemblent les individus et ménages situés entre les moins bien lotis et les plus fortunés. La définition ne va pourtant pas du tout d'elle-même.
L'accès à la propriété (comme l'acquisition d'une résidence) est financièrement possible pour la classe moyenne, mais reste souvent soumise à un emprunt bancaire. La société des loisirs est une idée encourageant la classe moyenne à multiplier leurs activités en opposition au temps passé à occuper un emploi.
On associe la classe moyenne au quatrième, cinquième et sixième décile de revenus. En pratique, ils disposent d'un niveau de vie moyen qui varie entre 20.130 euros et 25.160 euros par an.
L'observatoire des Inégalités a publié ce mois-ci son rapport sur les riches en France qui établit le seuil de richesse à 3.673 euros net par mois après les impôts pour une personne seule.
L'Observatoire des inégalités a publié un rapport où il définit le seuil pour être riche en France, estimé à 3.673 euros de revenu net par mois pour une personne seule. Les Français sont riches dès lors qu'ils touchent un revenu de 3.673 euros net par mois.
Ce seuil de 4.000 euros par mois fait référence à celui fixé par François Hollande qui considérait que c'était le niveau à partir duquel un Français était riche. De son côté, Emmanuel Macron avait estimé que "c'est assez dur de bien vivre en dessous de 3.000 euros par mois à Paris".
Selon l'Observatoire des inégalités qui fixe le seuil de richesse au niveau du double du revenu médian, « on devient riche à partir de 3 673 euros pour une personne seule, 5 500 euros pour un couple et 7 713 euros pour une famille avec deux enfants » d'après les derniers chiffres publiés.
Alors que Karl Marx ne retient que deux classes, avec d'une part la bourgeoise (parfois qualifiée de capitaliste) et d'autre part le prolétariat, Pierre Bourdieu distingue trois classes sociales : la classe dominante ou classe supérieure, la petite bourgeoise et la classe populaire.
Les classes populaires ou classe populaire désigne une classe sociale, un ensemble de personnes dans une société donnée, ayant le caractère commun de n'appartenir ni à la classe moyenne ni aux élites entrepreneuriales et administratives. Ce terme émane de la sociologie au XXe siècle.
Entre 1.930 et 3.049 euros vous êtes un ménage modeste; et un ménage aisé si vos revenus sont situés entre 5.728 et 7.723 euros. Au-dessus de ce dernier seuil vous êtes considérés comme étant riches.
La différence fondamentale de mentalité entre les riches et les pauvres est que les riches ont compris un principe très simple : l'argent fait de l'argent, et l'argent que l'argent fait, fait de l'argent. Les riches voient l'argent comme une opportunité, les pauvres le voient comme quelque chose qui doit être gagné.
Les seuils de faible revenu (SFR)
De façon plus particulière, le seuil est défini comme étant le revenu en deçà duquel une famille est susceptible de dépenser 20 points de pourcentage de plus de son revenu pour la nourriture, le logement et l'habillement que la famille moyenne.
Le vrai secret des riches est qu'ils ont éliminé un maximum de passifs, ils ont amassé des actifs ! C'est la vraie astuce qui fait qu'à partir d'un certain seuil atteint, après avoir éliminé tous les passifs, va vous permettre d'accéder à la richesse.
Parmi ces millions de pauvres, près de 2 millions sont des enfants et des adolescents, les familles monoparentales et les plus de 60 ans représentent 12 % des plus démunis.
Les chômeurs et les familles monoparentales sont les plus touchés par la pauvreté monétaire. La pauvreté monétaire touche en premier lieu les chômeurs (38,9 %). Parmi les personnes en emploi, les travailleurs indépendants sont plus vulnérables (17,6 %) que les salariés (6,8 %).