Ce sont surtout des hommes (73 % en moyenne), et plutôt d'âge mûr. Ainsi, les patients hospitalisés pour une complication de leur alcoolisme ont en moyenne 56,7 ans, ceux pour sevrage 47,9 ans et ceux hospitalisés pour « intoxication aiguë » 43,5 ans.
Le pays qui arrive premier dans ce classement n'est autre que la Biélorussie avec 17,5 litres d'alcool pur par habitant et par an, soit près d'une bouteille de vodka par semaine.
Près d'un quart de la population âgée de 15 ans et plus assure quant à elle ne jamais consommer d'alcool. En rentrant plus en détail selon les catégories d'âge et le sexe, les résultats diffèrent énormément dans l'Hexagone. Sans surprise, les personnes les plus âgées et les hommes sont ceux qui boivent le plus.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Le foie est l'organe qui permet la dégradation de l'alcool mais il est également celui qui trinque le plus en cas de consommation excessive.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou. Il fait sauter les inhibitions.
Il existe vraiment un lien entre l'affectivité et la compulsion. La plupart des alcooliques ont une intelligence émotionnelle moins développée. Leur réponse aux affects négatifs qui les assaillent est le craving. Le produit toxique, quel qu'il soit, a pour but d'éviter les effets négatifs des émotions.
En termes de quantités bues, l'écart entre les sexes est également marqué : les hommes déclarent boire en moyenne 2,8 verres un jour ordinaire où ils consomment de l'alcool, contre 1,8 verre pour les femmes.
Le grand écart Occitanie/Ile-de-France. L'Occitanie se place ainsi sur la première marche du « podium », avec 12,6 % des adultes qui boivent tous les jours, contre une moyenne nationale de 10 %.
Plutôt connue pour son cidre et son chouchen, boisson obtenue à partir de la fermentation du miel, la Bretagne se classe numéro 1 de la consommation d'alcools forts ou de cocktails. Vodka, tequila, gin, whisky... les jeunes bretons de 17 ans sont ainsi 61% à y avoir goûté au cours du mois.
Avec 30 litres bus par an et par habitant, elle est loin derrière la République Tchèque, première du classement. Cette dernière consomme 146,8 litres de bière par personne et par an. La République Tchèque devance largement l'Autriche (107,8 litres) et l'Allemagne (106,1 litres), deuxième et troisième.
Selon une étude publiée le 25 janvier 2021, c'est au Royaume-Uni que l'on retrouve les plus gros buveurs d'alcool au monde.
Pour le sans-abri, une des principales fonctions de l'alcool est « de calmer le corps et l'esprit ». Ce que le SDF rapporte, selon Emmanuel Roquet, est que l'état dans lequel il souhaite se maintenir est souvent un état intermédiaire, entre les deux situations qu'il cherche à éviter.
En effet, tout en haut trône toujours la marque de soju Jinro, un alcool de riz coréen, avec 95,3 millions de caisses de neuf litres écoulés ! En 2020, ses ventes ont encore bondi de + 10 %. Elle devance le gin Ginebra San Miguel, originaire des Philippines, et le whisky indien McDowell's No.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
OUI, une quantité faible d'alcool nous rend plus sensible aux rires, MAIS une dose élevée nous rend plus ronchons. On devient bête, on a tendance à rire de scènes à l'humour un peu trop simple ! Pourquoi ? Car l'alcool nous empêche de nous servir de nos ressources cognitives correctement, donc l'humour compliqué…
Que les choses soient bien claires: l'alcool est une substance psychoactive qui affecte tout particulièrement la capacité qu'à l'homme de pouvoir entrer en érection.
Si vous êtes au régime, gardez en tête que la bière, le vin blanc sec, le vin rouge et le champagne sont les boissons les moins caloriques.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.