L'orthographe fait une distinction entre celui à qui t'as dit et celui qui t'a dit : dans le premier cas, t' représente le pronom tu, sujet du verbe (celui à qui tu as dit); dans le second, il représente le pronom toi, complément d'objet indirect ou d'attribution (celui qui a dit à toi), et ne détermine donc pas l' ...
t'a = pronom personnel TE, élidé devant le verbe avoir, celui-ci commençant par une voyelle. Cette phrase n'est pas correcte !!! Il s'agit d'une forme élidée (tu as), uniquement admise dans le langage parlé !
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc.
T'as est le pronom personnel tu accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. Il s'agit d'une forme élidée de tu as. T'as appartient au registre familier.
"as" est le verbe "avoir", conjugué au présent à la seconde personne du singulier (tu)". Tu as des fleurs. Les fleurs que tu as. "à" ne peut pas être remplacé par "avait", puisqu'il ne s'agit pas du verbe "avoir", mais d'une préposition.
M'as est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. M'a est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 3e personne du singulier.
Les deux sont possibles selon le degré de réalité : « qui ait un sens », c'est hypothétique, un souhait, etc. « qui a un sens », c'est plus ancré dans la réalité, on sait que l'on va trouver cette activité ou qu'on la pratique déjà.
exp. nm. exp. qui dissimule sa véritable nature ; qui n'avoue pas v ...
exp. flagrant, plus qu'évident.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
T'ai est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir au présent de l'indicatif à la 1re personne du singulier. T'aie est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir, mais au subjonctif présent à la 1re personne du singulier.
Il faut dire : « C'est moi qui l'ai fait. » C'est moi qui = je (1re personne du singulier). Vous accorderez donc le verbe avoir avec « je ». De même, vous écrirez, « c'est toi qui l'as fait » (= tu), « c'est nous qui l'avons fait », etc.
Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1re ou de la 2e personne du singulier : n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas » !
Comment écrire il a plu ? Dans cette phrase, faut-il écrire plu ou bien plut avec un t ? Les deux mots existent mais ils ne correspondent pas à la même chose. On écrit la phrase il a plu sans aucune autre lettre après le u .
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Oui, bien sûr.
Lorsque le verbe est utilisé avec le pronom relatif qui comme sujet, le verbe s'accorde avec l'antécédent (c'est-à-dire l'élément remplacé) du pronom relatif. Ce sont ces filles qui étaient parties avant la cloche.
Bonsoir, Le premier verbe est au présent, j'aime; et le deuxième au passé composé, a été. Pour moi, c'est une affirmation, donc ne nécessite pas l'emploi du subjonctif. Encore une fois les deux sont possibles, cela dépend du degré d'incertitude.
Il ne s'agit donc pas ici du verbe « être » mais du verbe « avoir » : il faut écrire « ait ».
Réponse : « C'est moi qui le dis. » L'accord du verbe se fait avec moi. Règle : quand le sujet est le pronom relatif qui, le verbe s'accorde en personne et en nombre avec l'antécédent de ce pronom (moi : 1re personne du singulier).