Les esclaves exerçaient presque toutes les tâches subalternes ainsi que de nombreuses autres professions telles qu'enseignants, médecins, chirurgiens et architectes. La plupart des affranchis travaillaient dans divers métiers, par exemple comme boulangers, poissonniers ou charpentiers.
Un esclave était une personne non libre ; il était sous la domination d'une autre personne, généralement un pater familias qui n'a eu droit de vie et de mort sur lui qu'à l'époque archaïque.
− HIST. ROM. Personne qui appartenait, de par sa naissance, à la classe sociale la plus élevée chez les citoyens romains, qui jouissait de nombreux privilèges et qui, à l'origine, pouvait seule prétendre à une haute magistrature.
Exemple de pyramide sociale à Rome
Ainsi, faire une distinction entre les citoyens libres (gens du commun, hommes libres, affranchis et femmes) et les serfs (esclaves).
Le travail manuel, pendant toute l'Antiquité, est principalement l'oeuvre des esclaves, donc objet plus ou moins de mépris. La limite entre activité manuelle et activité artistique est parfois même un peu floue, ce qui pousse parfois les artistes à revendiquer la noblesse de leur pratique.
Il existe une grande diversité de métiers au Moyen Age : du labeur fourni par les esclaves puis par les serfs au travail domestique ou salarié des valets et des compagnons, en passant par les corvées fournies par les paysans à leurs seigneurs, se développent les multiples petits métiers de l'artisanat révélés par les ...
C'est généralement une activité réalisée par les paysans en plus de leurs travaux à la ferme. En effet, ils n'ont pas assez de revenus leur permettant de payer toutes les taxes dont ils doivent s'acquitter. La palette des métiers est variée : charpentier, cordonnier, tisserand, meunier, forgeron, tanneur, boulanger...
Sous la monarchie romaine existaient deux classes principales, les nobles et le peuple (populus), outre les esclaves et les non-citoyens. Après l'instauration de la République, la société romaine se définissait elle-même comme une société d'ordres (ordines) implacablement stratifiée.
Il n'existe pas une « citoyenneté latine », mais sous l'Empire, les citoyens des municipes latins (cités pérégrines ayant reçu le droit latin et ayant modifié leurs institutions pour s'aligner sur le modèle romain) sont appelés non « pérégrins », mais « citoyens latins ».
Un jeune romain vit donc avec sa famille. Les enfants vivent avec leurs parents jusqu'à leur mariage. Ensuite, les garçons peuvent choisir d'aller vivre ailleurs ou non. Quant aux filles, elles rejoignent la famille de leur époux (elles vivent toute leur vie sous l'autorité d'un homme : leur père, puis leur mari).
Le Patriciat est donc cercle fermé aux autres se composant de groupes de familles assez puissantes pour dominer la religion romaine. Les plébéiens,eux, étaient des hommes libres non-privilégiés, ils formaient donc la plus grande partie de la population romaine.
patricien, patricienne
1. Membre du patriciat de l'ancienne Rome (par opposition à plébéien). 2. Personne qui fait partie de la noblesse, de la classe privilégiée.
Les plébéiens constituent la majorité de la population romaine. Ils sont artisans, commerçants et paysans. Ils sont très nombreux et partagent les mêmes droits que les patriciens en lien avec la citoyenneté. Les plébéiens n'ont par contre pas la même influence dans la société ni la même quantité de richesse.
John Brown (vers 1810 - 1876) était un esclave américain de Virginie. Il est également connu par son nom d'esclave, Fed.
Les fourches en terre ne sont pas réservées aux cases des esclaves. Le quart des maisons de maître adopte cette technique, mais essentiellement dans des habitations caféières ou de petites habitations vivrières.
La toge (du latin toga) est la vêtement de dessus, de laine épaisse, porté par les citoyens de la Rome antique. Vêtement essentiellement masculin, elle se porte au-dessus d'une tunique à manches courtes.
-C., les institutions romaines étaient organisées autour de trois acteurs principaux : le peuple réuni en assemblées (comices), des représentants élus (magistrats) chargés du pouvoir exécutif, et le Sénat réunissant les citoyens les plus éminents. Le régime était censitaire et oligarchique.
Durant l'époque républicaine, le commandement de l'armée romaine est confié généralement à un consul, le plus haut magistrat de la ville de Rome. Des duces (généraux ; dux au singulier) pouvaient commander plusieurs légions dans une région donnée. Les généraux victorieux d'une campagne étaient proclamés imperator.
Est citoyen tout homme libre né d'un père citoyen. On peut également le devenir par naturalisation. Le citoyen jouit de droits politiques, qui sont le droit de vote, d'être élu, de participer aux sacerdoces (rites religieux publics), de faire appel en cas de procès.
Le Romain libre est avant tout un citoyen. Il élit ses magistrats, vote les lois, déclare la guerre. Et aucune grande carrière politique ne peut s'envisager sans son soutien.
Les riches bénéficiaient du travail des esclaves, qu'il s'agisse de chauffer l'eau dans les bains, de leur servir leur repas du soir ou d'éduquer leurs enfants. Les pauvres, quant à eux, n'avaient pas accès à l'éducation, vivaient dans des habitations délabrées et vivaient parfois de la charité de la ville.
Boulanger, cordonnier, charpentier, forgeron, potier, barbier... les métiers de l'artisanat au Moyen Âge sont nombreux. Ils sont généralement pratiqués par les paysans, ces derniers manquant souvent de revenus pour payer les impôts et nourrir leur famille.
D'ailleurs, pendant un certain temps, au Moyen Âge, l'Église contrôle la prostitution qui est chose légale. Cependant, il est interdit aux femmes mariées, aux religieuses et aux enfants de s'y livrer. De plus, les femmes doivent être de l'extérieur de la ville afin d'éviter l'inceste.