Thanatopracteur, maître de cérémonie, fossoyeur…
Le fossoyeur est un employé des pompes funèbres qui exerce dans un cimetière. Il effectue les différentes tâches, à savoir : le creusement et le remplissage des fosses, l'ouverture et la fermeture de l'éventuel caveau existant, la dispersion des cendres, l'exhumation d'un corps, la conduite du convoi funéraire…
Pour exercer le métier de conseiller funéraire, le diplôme national de conseiller funéraire est obligatoire. Ce diplôme doit être obtenu dans les 12 mois à compter du début d'exercice dans la fonction. Ce diplôme s'obtient après une formation théorique et une formation pratique.
Pour devenir assistant funéraire, aucun diplôme n'est exigé. Néanmoins, un niveau bac, voire bac +2. Par ailleurs, une formation de 96 heures dispensée au sein de 9 établissements agrémentés dispersés dans toute la France est obligatoire pour exercer le métier d'assistant funéraire.
Le thanatopracteur ou la thanotractrice intervient sur le corps des défunts, à la demande de la famille, pour une réalisation de soins qui rendent au mort un aspect présentable. En France, environ un décès sur quatre donnerait lieu à l'intervention d'un de ces techniciens.
L'agent de chambre mortuaire ou l'agente de chambre mortuaire a pour mission première de prendre en charge le corps du défunt : transport du corps de la chambre jusqu'à la morgue, soins et préparation du corps avant présentation à la famille.
Le métier d'assistante funéraire peut permettre de gagner un salaire moyen compris dans une fourchette de 1 700 à 2 200 euros bruts par mois. Cela correspond à un revenu net mensuel compris entre 1 320 et 1 700 euros.
Le salaire d'un croque-mort avoisine les 1 700 euros par mois.
Le salaire moyen pour le poste « porteur funéraire (h/f) » avec est de 10,00 € de l'heure pour le lieu suivant : France.
Porteur funéraire, un métier accessible sans diplôme
Le métier de chauffeur-porteur funéraire fait partie de ceux accessibles sans diplôme. "La formation dure 16 heures et est financée par l'entreprise" explique Florence Fresse, déléguée générale de la fédération française des pompes funèbres.
Il existe plusieurs métiers du funéraire. Ceux qui n'exigent pas de diplômes sont : Le chauffeur : il s'occupe de conduire le corbillard qui transporte le cercueil du défunt, depuis son lieu de repos, en passant par le lieu de la cérémonie, jusqu'au cimetière ou le crématorium en cas de crémation.
Porteurs : Personnes chargées de porter le cercueil lors de la cérémonie. Ils sont en général quatre mais peuvent n'être que deux si des employés du crématorium peuvent se substituer à eux. La famille peut également choisir de porter elle-même le cercueil pour rendre un dernier hommage au défunt.
Développeur web
Il peut travailler facilement en free-lance, ou en tant que salarié. Les parcours peuvent être très variés, mais un bac +2 en informatique ou de nombreuses écoles d'informatique permettent d'exercer avec un diplôme en poche. Le salaire moyen du développeur est de 3000 euros mensuels.
Lors d'un décès, on procède à la mise en bière du corps, une étape obligatoire en France. La mise en bière consiste à déposer le corps d'un défunt dans une housse imperméable, puis dans un cercueil. Cette étape est effectuée par les agents des pompes funèbres chargés d'organiser les obsèques.
Infos clés. L'agent funéraire est celui qui prépare le défunt, effectue la mise en bière et organise la traversée du convoi funèbre de l'office au lieu de recueillement. Il est également en charge d'aider et conseiller ses clients dans les démarches des obsèques.
Le traitement de base indiciaire s'établit ainsi à 1 707,21€ bruts mensuels pour un temps complet (au lieu de 1 649,48 €). Les grilles seront mises à jour dès la parution des décrets modifiant l'échelonnement indiciaire pour chaque cadre d'emploi/corps.
Les raisons de travailler en tant que conseiller funéraire
Le conseiller funéraire est le premier interlocuteur des proches endeuillés. Il les conseille et les accompagne tout au long de l'organisation des funérailles. Il se charge également de la réalisation des différentes démarches administratives après décès.
Son quotidien, le thanatopracteur (ou embaumeur) le passe avec les morts. Disons qu'il leur donne une apparence digne, au-delà de la vie. Entre le médecin légiste et les pompes funèbres, son travail consiste à présenter dignement les personnes décédées, notamment lors d'accidents.
Le médecin légiste est avant tout saisi par la justice pour autopsie en cas de décès d'origine criminelle, mais il est aussi sollicité pour des vivants après un accident, des coups et blessures, pour affaires de mœurs ou encore pour évaluer des séquelles.
Au Cameroun, le mot « Morguier » a pris ses aises dans le langage courant pour désigner celui ou celle qui s'occupe des cadavres dans une morgue.
6. Le corps a une odeur très désagréable. On entre dans le cycle de putréfaction : les bactéries vivant dans le corps commencent par attaquer le système digestif, puis tous les organes (foie, rate, cœur, cerveau...). Vont alors se produire des réactions chimiques liées à la décomposition du corps.
Le guichetier (gardien) qui tient le guichet de la morgue porte le nom de « morgueur ». Enfin, il existe un troisième sens découlant du précédent : « On appelle aussi morgue un endroit au Châtelet, où les corps qu'on trouve morts [ou dont se saisit la justice] sont exposés au public afin qu'on puisse les reconnaître. »