Après un de ceux qui, une de celles qui, le verbe s'accorde au pluriel : Un de ceux qui m'ont autrefois aidé a aujourd'hui besoin de moi. J'ai acheté l'une de celles qui t'avaient plu.
Qui vont là ? Quand le pronom interrogatif qui est attribut du sujet (« Qui sont-ils ? », « Qui étaient ces gens ? »), le pluriel ne choque pas le moins du monde. Il en va autrement quand qui est sujet, comme c'est le cas dans la question, ô combien iconoclaste, qui me sert ici de titre.
L'accord se fait le plus souvent au pluriel si on veut insister sur la pluralité, ce qui est le cas le plus fréquent; qui remplace alors le nom ou le pronom pluriel qui le précède. Cette candidate possède l'un des meilleurs dossiers qui ont été présentés.
La règle générale d'accord du verbe dont le sujet est le pronom relatif qui est simple : le verbe de la subordonnée relative introduite par qui s'accorde avec l'antécédent de ce pronom; on aura ainsi : il connaissait bien la femme qui arrivait ou moi qui suis tellement timide, j'ai osé lui parler.
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?". Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel.
Règle de conjugaison : Quand le sujet est le pronom relatif qui, le verbe s'accorde en personne et en nombre avec l'antécédent de ce pronom. Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc.
Ceux qui sont formés de plusieurs mots ne s'accordent pas : bleu ciel, rouge sang, arc-en-ciel… Ceux qui sont formés avec le nom d'une chose restent invariables : abricot, paille… sauf quelques exceptions : fauve, rose, mauve, châtain… Comment as-tu trouvé ce cours ?
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
M'as et m'a
M'as est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. M'a est le pronom personnel m' accompagné du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif à la 3e personne du singulier.
Pour accorder correctement le verbe qui suit le pronom relatif « qui », il faut se reporter au mot que « qui » reprend (son antécédent) : c'est avec lui qu'il faut accorder le verbe, en nombre et en personne.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
- Les noms de matière et les noms abstraits s'emploient au singulier : le beurre, l'orgueil. - On utilise le pluriel quand le nom désigne plusieurs êtres ou plusieurs objets : les commerçants, des allumettes.
du sens portent sur le complément, le verbe se met au pluriel lorsque ce complément est au pluriel, c'est-à-dire que l'accord se fait au pluriel avec le nom complément du collectif. ien des, une infinité (de), peu (de), assez (de), quantité (de), Ex. : Beaucoup de monde est venu nous voir.
Le verbe s'accorde normalement avec son sujet, pour le trouver on pose la question « Qui est-ce qui a(s) raison ? » : toi. On accorde donc à la deuxième personne du singulier : C'est toi qui as raison.
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
L'orthographe fait une distinction entre celui à qui t'as dit et celui qui t'a dit : dans le premier cas, t' représente le pronom tu, sujet du verbe (celui à qui tu as dit); dans le second, il représente le pronom toi, complément d'objet indirect ou d'attribution (celui qui a dit à toi), et ne détermine donc pas l' ...
Les mots en -al ont leur pluriel en -aux . Quelques exceptions dont le pluriel est -als : aval, bal, cal, carnaval, chacal, corral, final, festival, récital, régal .
Lorsqu'un nom et un adjectif sont accolés, quel que soit leur ordre, les deux s'accordent (« des grands-pères », « des coffres-forts »). Seul le nom prend la marque du pluriel lorsqu'il est accolé à un adverbe ou à un adjectif qui a valeur d'adverbe (« des haut-parleurs », « des arrière-boutiques »).