Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
Re : m'a t'on dit
m'a-t-on dit, car c'est comme cela que ça doit s'écrire, est une reformulation pour on m'a dit, où le -t- est euphonique.
Pour autant, est-il correct d'écrire « quand-t-il » ou « dit-t-il » ? La réponse est non, mais l'on va voir d'où vient ce « t » qui provient d'une liaison, d'une lettre ajoutée (pour faire joli), ou d'un pronom élidé.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
A-t-il est un morceau de phrase qui sert à poser des questions. On y trouve le mot il et le verbe avoir conjugué au présent. Le mot il est le sujet du verbe : il a . Comme c'est dans une question, l'ordre du sujet et du verbe est inversé.
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
1. Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ? 2.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
Énoncer quelque chose. Synonyme : déclarer, exposer, exprimer, formuler, observer, parler, proférer, prononcer, rapporter, relater, répliquer, soutenir.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
« ma » est un « déterminant possessif ». On le trouve devant un nom féminin et singulier. « m'a » est constitué d'un pronom personnel (m apostrophe, mis pour moi), accompagné du verbe avoir conjugué à l'indicatif présent et à la 3e personne du singulier. Il m'a donné un fruit.
ma : déterminant possessif féminin à la 1re personne du singulier. Il fait partie d'un GN dont le noyau est un nom féminin singulier : « Il s'est assis à ma place ». Un adjectif peut s'intercaler entre le déterminant et le nom : « Mange un peu de ma délicieuse tarte ».
La conjonction de coordination est un mot invariable qui sert à unir deux mots ou deux groupes de mots en établissant entre eux un lien logique (addition, choix, cause, opposition…). Il n'est pas là, mais il va bientôt arriver. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, or, ni, car, soit, voire.
La règle qui s'applique
Dans elle a été envoyée , le participe passé envoyé est utilisé avec l'auxiliaire être ( a été correspond effectivement à une conjugaison du verbe être !).
Locution qui signifie qu'il existe quelque chose ou quelqu'un dans une situation donnée. Exemple : Il y a deux chaises à la cuisine. Locution qui introduit une notion de temps passé.
La réponse simple. On écrit « y a-t-il », avec deux traits d'union, de part et d'autre du t.
Règle 1 : on ajoute un « t » euphonique dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. On écrira donc « a-t-il ». Toutefois, si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » euphonique.
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
On écrit par exemple «Comment va-t-il?», avec des deux traits d'union car le «t» se trouve placé entre une forme verbale et un pronom personnel (ici, «il»). Dans le cas qui nous intéresse, le «t» résulte de l'élision du pronom toi.
On ajoute un « t » dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. on écrira donc « est-il». si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » .
a = a est le verbe avoir conjugué à la troisième personne de singulier. Donc, voici un truc si vous pouvez remplacer -a- par -avait- dans votre phrase et que la phrase conserve son sens et bien c'est ce type de a qu'il faut. à = à est pour montrer quelque chose comme par exemple : Je vais à la montagne.
* Qu'est-CE QU'IL se passe ? (Il se passe quelque chose.) * Qu'est-CE QUI se passe ? (Quelque chose se passe. Selon Grévisse, 1 On emploie QU'IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.