1. D'une façon conforme aux règles de la morale : Se conduire moralement. 2. Du point de vue des sentiments, de la morale, de l'éthique : Être moralement responsable d'un enfant.
Par exemple : aider autrui quand il en a besoin ; ne pas mentir ; ne pas faire souffrir ; respecter ses promesses. Ce qui distingue cette approche du conséquentialisme, c'est que ces principes ou devoirs ne sont pas justifiés par leurs conséquences. Ils sont intrinsèquement moraux.
Ce qui nous pousse à agir, c'est la vue d'un bien à satisfaire, et pour l'accomplir il faut connaître ce qu'est le bien lui-même. S'il nous manque ce savoir, alors nous ne pourrons que mal agir.
ensemble des règles d'action et des valeurs qui fonctionnent comme norme dans une société ; théorie des fins des actions de l'homme ; précepte, conclusion pratique que l'on veut tirer d'une histoire.
Acte, dénouement moral; conduite, vie morale; une manière parfaitement morale de faire quelque chose.
L'évaluation morale d'une action se ferait alors en fonction de son principe, conçu non plus comme cause nécessaire, mais comme volonté libre, c'est-à-dire en fonction de l'intention qui commande mon action.
(Celui) qui se plaît à moraliser, à donner des leçons de morale. Synon. moralisateur. C'est un grand moraliseur, un moraliseur éternel (Ac.).
2/Je peux être sûr d'avoir bien agi si mon action a des conséquences bénéfiques. Agir, c'est produire des effets sur autrui et sur le monde. Dès lors, la question morale ne peut faire totalement abstraction des conséquences de nos actions. Une bonne action ne se réduit donc pas à sa conformité à un principe.
Notre nature d'être sensible, émotif et réfléchi, qui a les notions des choses, nous donne une connaissance du bien et du mal. Nous appelons bon le lien social confiant et pacifique, mauvais ce qui le détruit. Là est le principe de la morale.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
Vos opinions, vos croyances, vos convictions. Dans la vie, il existe de nombreuses sources de motivations, qu'elles soient intérieures ou extérieures. Il peut s'agir d'une ambition brûlante de vouloir changer le monde, ou bien d'une motivation liée à des critères physiques, qui vous fait vous sentir bien.
Pratiquer une activité physique régulière
L'activité physique stimule aussi la production de dopamine, l'hormone du plaisir, de la récompense et de la vigilance. Elle chasse la fatigue. Enfin, le sport est un bon moyen de se vider la tête et de mettre de côté les tracas du quotidien, sources d'humeur maussade.
Sous cet angle, agir moralement semble difficile car le devoir nous oblige à mettre à distance nos inclinations personnelles, et ce quelles que soient les circonstances. En effet, si la vengeance devait être érigée comme principe universel, cela mènerait à une situation ingérable.
Parler c'est agir : toute chose qu'on nomme n'est déjà plus tout à fait la même, elle a perdu son innocence.
En effet, la morale suppose que le sujet ait conscience de ses actes, qu'il en dispose, qu'il se détermine en connaissance de cause et qu'il le fasse librement. Invoquer l'inconscient, telle une puissance tutélaire, c'est donc en apparence ruiner la morale.
En droit français, une personne morale est un groupement doté de la personnalité juridique. Généralement une personne morale se compose d'un groupe de personnes physiques réunies pour accomplir quelque chose en commun. Ce groupe peut aussi réunir des personnes physiques et des personnes morales.
Le moral n'est donc qu'une image instantanée de l'humeur du moment. La morale, quant à elle, a plus d'atomes crochus avec le juste et l'injuste tels que façonnés par l'alentour.
L'homme moral, c'est-à-dire celui qui se veut moral, qui a choisi de vivre moralement, n'est plus immergé dans la pure particularité de ses désirs individuels, il est entré, librement, dans le monde de l'universalité.
Définition de la personne morale
Considérée comme une identité indépendante, elle dispose des mêmes droits et obligations qu'une personne physique. Les personnes morales constituent alors une société dont l'existence se dissocie des personnes qui la composent.
» Deux concepts très différents qu'il faut bien distinguer. La morale est, selon la définition du Larousse un « ensemble de règles de conduite considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie », et l'éthique est une réflexion argumentée sur les valeurs morales.
En droit positif, les obligations morales sont celles qui relèvent de la conscience individuelle, et dont l'exécution forcée ne peut être obtenue devant les tribunaux.