Concernant le terme Fazekas, il s'agit d'une classification d'interprétation de certains signes de l'IRM utilisée par les radiologues. Dans un article de la revue Gériatrie et Psychologie Neuropsychiatrie du Vieillissement (décembre 2011, vol.
Extrêmement banale et la plupart du temps sans gravité, la leucopathie vasculaire n'est pas une maladie mais le signe d'une atteinte de la substance blanche cérébrale d'origine vasculaire.
Les symptômes sont d'ordre neurologique et mécanique : troubles de l'articulation, mouvements oculaires répétitifs, mouvements des yeux non coordonnés, démarche instable.
Les leucopathies touchent en général les personnes présentant des facteurs de risque vasculaire (avec un risque de démence vasculaire), ayant des problèmes cardio-vasculaires ou souffrant athérosclérose. Ce sont par exemple des personnes diabétiques, hypertendues et souffrant d'hypercholestérolémie.
« Troubles de la microvascularisation (artérioles et capillaires) du cerveau. Ce dernier est mal irrigué par les artérioles et les capillaires. En neurologie, le terme de leucopathie désigne une lésion de la substance blanche (du grec leuco = blanc et pathos = maladie) qui est composée de myéline. »
Cependant, comparée à la maladie d'Alzheimer, la démence vasculaire a tendance à provoquer une perte de mémoire plus tardive et à altérer la personnalité de façon moindre. La démence vasculaire a tendance à provoquer des difficultés avec les tâches suivantes plus tôt que dans la maladie d'Alzheimer.
La substance blanche du cerveau est constituée d'axones, qui agissent comme des fils qui transportent des messages entre les neurones et les cellules de soutien. La substance blanche est située sous le cortex cérébral, ou substance grise.
La découverte d'une leucoencéphalopathie est une situation clinique fréquente. Chez l'adulte, les causes acquises sont les plus fréquentes. Néanmoins, le caractère d'emblée symétrique de la leucoencéphalopathie, dès la première IRM cérébrale, évoque une cause héréditaire.
Contrairement à une pathologie neurodégénérative, dont l'aggravation clinique est inéluctable, la prévention des risques vasculaires est capitale dans le cadre de la démence vasculaire, afin de stabiliser l'état cognitif du patient.
L'hypersignal de la substance blanche est dû à un processus de démyélinisation. Ceci est le résultat d'une destruction de la myéline (chez l'adulte) ou par un défaut congénital de production de la myéline (leucodystrophie de l'enfant).
Les symptômes des déficits cognitifs d'origine vasculaire peuvent aller de l'oubli à des problèmes plus graves d'attention, de mémoire, de langage et de fonctions exécutives comme la résolution de problèmes. La forme la plus grave de déficit cognitif d'origine vasculaire est la démence vasculaire.
Confirmer que la démence est vasculaire en se basant sur des antécédents d'accident vasculaire cérébral ou des signes de neuro-imagerie en faveur d'une cause vasculaire. Contrôler les facteurs de risque vasculaire, et en cas de possible maladie d'Alzheimer, traiter par inhibiteurs de la cholinestérase et mémantine.
Aujourd'hui, il n'existe pas de traitement curatif des démences vasculaires. La prise en charge actuelle consiste, en effet, à contrôler les facteurs de risques cardio-vasculaires (hypertension, diabète, cholestérol).
« En IRM, signal d'un tissu supérieur au signal des tissus qui l'entourent. Selon les conventions adoptées, un tissu se manifestant par un hypersignal se traduira sur l'image par un gris plus clair que celui de son environnement, voire par du blanc.
Quelle est l'origine de la maladie ? L'AMS est due à une perte progressive de cellules nerveuses (neurones) dans plusieurs zones du cerveau (d'où le nom « multisystématisée »). La cause exacte de cette dégénérescence cellulaire est inconnue.
La plupart des cas de démence ne sont ni héréditaires ni liés à la génétique. Le risque de développer une démence augmente généralement avec l'âge.
Transmission. La transmission du virus JC se fait par l'inhalation de particules aérosols, contenues dans la salive, qui suivront ensuite le tractus respiratoire. Le virus infecte premièrement les cellules épithéliales des muqueuses respiratoires, qu'il traversera pour ensuite passer dans la circulation sanguine.
La leucoencéphalopathie multifocale progressive est une infection rare du cerveau provoquée par le virus JC (John Cunningham). Les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont celles qui sont les plus susceptibles d'être atteintes par la maladie.
Voici une liste des signes et les symptômes les plus communément associés aux tumeurs cérébrales malignes ou non malignes: Maux de tête fréquents. Étourdissements ou vertiges. Troubles de la vision comme une vision floue ou double.
« Troubles de la microvascularisation (artérioles et capillaires) du cerveau. Ce dernier est mal irrigué par les artérioles et les capillaires. En neurologie, le terme de leucopathie désigne une lésion de la substance blanche (du grec leuco = blanc et pathos = maladie) qui est composée de myéline. »