C'est quoi IM F ?

Interrogée par: Astrid Faure  |  Dernière mise à jour: 23. Dezember 2024
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L'ensemble des x forme un sous espace vectoriel de l'ensemble de départ. Im(f) est l'ensemble des y ∈ l'ensemble d'arrivée qui ont un antécédent par f, Im(f) fome aussi un sous espace vectoriel.

Qu'est-ce que Im f ?

On appelle image d'une application f (d'un ensemble A vers un ensemble B) l'image directe par f de l'ensemble de départ A. C'est donc le sous-ensemble de B contenant les images de tous les éléments de A, et uniquement ces images. On le note Im(f).

Comment trouver IM F ?

Pour déterminer Im f , on utilise souvent le résultat suivant : si B = (e1,...,en) est une base de E, alors (f (e1),..., f (en)) est une famille génératrice de Im f . On peut également utiliser les informations fournies par le théorème du rang : si E est de dimension finie, alors dimKer f +dimIm f = dimE.

Comment calculer le KERF et IMF ?

Donc Kerf est de dimension 1 et une base est donnée par un seul vecteur : X − 1. 3. Par le théor`eme du rang la dimension de l'image est : dim Imf = dimRn[X] − dim Kerf = (n + 1) − 1 = n.

C'est quoi le ker f ?

Le noyau d'un morphisme f est noté ker(f) ou Ker(f). Cette abréviation vient du mot allemand Kern qui signifie « noyau » (dans tous les sens du terme : l'analogie s'est propagée d'une langue à l'autre).

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Comment montrer que ker f et IM F sont supplémentaire ?

Pour démontrer que Imf et kerf sont des sous-espaces supplémentaires, il suffit de montrer que leur intersection est réduite au vecteur nul.

C'est quoi ker d'une matrice ?

L'espace nul ou noyau de la matrice A, noté Nul (A) ou Ker A, est l'ensemble des toutes les solutions du système homogène Adx = d0.

Comment montrer que Im f est un sous-espace vectoriel ?

Pour démontrer que F est un sous-espace vectoriel de E , on applique la caractérisation des sous-espaces vectoriels, c'est-à-dire qu'on vérifie que 0E∈F 0 E ∈ F et que, pour tout couple (x,y)∈F2 ( x , y ) ∈ F 2 et tout scalaire λ∈K λ ∈ K , on a {x+y∈Fλx∈F. { x + y ∈ F λ x ∈ F .

Comment montrer que ker f est un sous-espace vectoriel ?

Montrons que Kerf est un sous-espace vectoriel. On a f(0) = 0 donc 0 ∈ Kerf et Kerf = ∅. Soit u, u ∈ Kerf et λ ∈ K. Par définition f(u) = 0 et f(u ) = 0, donc f(u + λu ) = f(u) + λf(u ) = 0, ce qui implique que u + λu ∈ Kerf.

C'est quoi le rang d'une application linéaire ?

Si on doit introduire le rang en une phrase : le rang d'une application linéaire est dimension de l'espace image d'une application linéaire ; il sert donc à mesurer la surjectivité de l'application linéaire, au même titre que le noyau sert à mesurer le défaut d'injectivité.

Quelle est la base canonique de R 3 ?

Solution : Soit (e1,e2,e3) la base canonique pour R3. On a f(e1)=2e1 - e2 + 5e3,f(e2) = -e1 - e2 - e3,f(e3) = e1 et donc MC(f) =   2 -1 1 -1 -1 0 5 -1 0  .

Comment montrer que c'est un Hyperplan ?

(1) H est un hyperplan si, et seulement si, c'est le noyau d'une forme linéaire non nulle. (2) Si H = Ker(ϕ) = Ker(ψ), alors il existe λ ∈ R∗ tel que ϕ = λψ.

Comment calculer la dimension d'un noyau ?

La dimension de E est égale à la somme des dimensions du noyau et du rang de l'application linéaire. Par exemple, le rang d'une application de R2 dans R ne pouvant pas être supérieur à 1, la dimension du noyau est au moins égale à 1.

Comment trouver une base de ker ?

Le noyau de f , noté par Ker(f ), est l'ensemble des antécédents du vecteur 0 : Ker(f ) = {x | f (x) = 0} = {x | Ax = 0} = l'ensemble solutions du système Ax = 0 . {y (−1 1 ) | y ∈ R} = 〈 (−1 1 ) 〉. Donc une base est (−1 1 ) .

Qui a inventé l'algèbre linéaire ?

L'algèbre linéaire est initiée dans son principe par le mathématicien perse Al-Khwârizmî qui s'est inspiré des textes de mathématiques indiens et qui a complété les travaux de l'école grecque, laquelle continuera de se développer des siècles durant.

Comment montrer qu'une application linéaire est continue ?

Pour montrer qu'une application linéaire est continue, on cherche à majorer f(x)F en fonction de xE. = 1 et f(un) →∞. De plus, si E est de dimension finie, toute application linéaire E → F est continue (même si F est de dimension infinie !)

Comment savoir si c'est un espace vectoriel ?

Il suffit donc de montrer que {x1 + x2 ; x1 ∈ E1,x2 ∈ E2} est un espace vectoriel, ce qui est clair. On définit de même par récurrence (et associativité de la loi additive sur E) la somme de n espaces vectoriels. On note alors E = E1 ⊕ E2.

Comment définir un sous-espace vectoriel ?

En algèbre linéaire, un sous-espace vectoriel d'un espace vectoriel E, est une partie non vide F, de E, stable par combinaisons linéaires. Cette stabilité s'exprime par : la somme de deux vecteurs de F appartient à F ; le produit d'un vecteur de F par un scalaire appartient à F.

Comment reconnaître un espace vectoriel ?

Une partie F de E est appelée un sous-espace vectoriel si : • 0E ∈ F, • u + v ∈ F pour tous u, v ∈ F, • λ · u ∈ F pour tout λ ∈ et tout u ∈ F. Remarque. Expliquons chaque condition. La première condition signifie que le vecteur nul de E doit aussi être dans F.

C'est quoi un VECT ?

Définition. Vect(A) est appelé le sous-espace engendré par A. Soit F un sous-espace vectoriel. Si Vect(A) = F on dit que A est une partie génératrice (ou une famille génératrice) de F ou que A engendre F.

Comment montrer que ce n'est pas un espace vectoriel ?

Plus généralement, un sous-espace vectoriel de $\mathbb R^2$ est une droite passant par $(0,0)$, ou $\mathbb R^2$ lui-même, ou encore le singleton $\{(0,0)\}$. $E_5$ est une parabole et n'est donc pas un sous-espace vectoriel. Posons $F=\{(x,y,z)\in\mathbb R^3;\ 2x+3y-5z=0\}$ et $G=\{(x,y,z)\in\mathbb R^3;\ x-y+z=0\}$.

Pourquoi les espaces vectoriels ?

Ils servent à modéliser les ensembles pour lesquels tu as deux opérations (une addition de deux éléments et une multiplication par un réel ou un complexe) qui vérifient certaines propriétés.

Comment calculer l endomorphisme ?

Les endomorphismes f et fa,b sont égaux sur une base donc égaux sur l'espace ℂ entier. fa,b(fa,b(z))=(a2+|b|2)z+2Re(a)bˉz. L'endomorphisme fa,b est donc une symétrie si, et seulement si, {a2+|b|2=12Re(a)b=0.

Quand la matrice est diagonalisable ?

Une matrice carrée à coefficients dans K ( K = R ou K = C ) est diagonalisable si et seulement si son polynôme caractéristique est scindé sur K et, pour chaque valeur propre, la dimension du sous-espace propre associé est égale à son ordre de multiplicité en tant que racine du polynôme caractéristique.

Comment déterminer le noyau d'un morphisme ?

Le noyau du morphisme ϕ est ker(ϕ) = {a ∈ A; ϕ(a) = 0} et l'image du morphisme ϕ est im(ϕ) = {ϕ(a); a ∈ A}. — Un morphisme bijectif ϕ est un isomorphisme. La notation A ∼= B signifie qu'il existe un isomorphisme d'anneaux ϕ: A → B. — Un endomorphisme est un morphisme de l'anneau vers lui même.