1. Fait de croire à l'existence de quelqu'un ou de quelque chose, à la vérité d'une doctrine, d'une thèse : La croyance en Dieu, aux fantômes. 2. Ce qu'on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique : Respecter toutes les croyances.
« La foi théologale est l'accueil de la vérité révélée par le Dieu Un et Trine, et la croyance dans les autres religions est une expérience religieuse encore à la recherche de la vérité absolue, et encore privée de l'assentiment à Dieu qui se révèle. »
Expliquer une croyance, c'est retrouver le sens pour l'acteur de sa croyance, c'est supposer cette croyance rationnelle ou, en termes plus concrets, retrouver les raisons que l'acteur a d'y croire. Comment retrouver ces raisons, alors que la croyance paraît au contraire à première vue « irrationnelle » ?
La croyance est une façon de penser qui permet d'affirmer, sans esprit critique, des vérités ou l'existence de choses ou d'êtres sans avoir à en fournir la preuve et indépendamment des faits pouvant infirmer cette croyance. Elle s'oppose au savoir rationnel et à la certitude objective.
Croyance ancrée Sens : Conviction enracinée. Croyance aveugle Sens : Conviction absolue. Croyance erronée Sens : Fausse conviction. Se fonder sur des croyances Sens : Reposer sur des convictions.
Mais nous avons besoin de croire pour nous représenter des idées, valeurs, principes capables de nous guider dans notre vie réelle, et surtout de nous faire progresser, tant sur le plan moral personnel que sur le plan politique ou scientifique.
Les croyances basées sur des valeurs positives d'amour, de compassion et de partage apporteraient une meilleure santé émotionnelle et beaucoup d'effets positifs sur le corps comme, par exemple, un taux plus faible de maladies cardiaques un meilleur fonctionnement du système immunitaire, moins de risque de développer un ...
Au sens large, on peut définir la croyance comme suit : c'est un état mental qui porte à donner son assentiment à une certaine représentation, ou à porter un jugement dont la vérité objective n'est pas garantie et qui n'est pas accompagné d'un sentiment subjectif de certitude. En ce sens, elle est synonyme d'opinion.
La foi religieuse est donc irrationnelle au sens où la certitude qu'elle engendre n'est pas de l'ordre de la raison mais de l'intimité du cœur. Pascal distingue nettement l'ordre du cœur et l'ordre de la raison afin de ne pas situer la foi sur le même plan de réalité que le raisonnement.
Il existe plusieurs types de croyances, que l'on peut situer quelque part sur trois axes selon leurs degrés de « vérifiabilité », « d'irrationalité » et de « positivité » émotionnelle .
➙ pieux, religieux. nom Un croyant, une croyante.
Une telle distinction subjective entre croyances et savoirs présente deux inconvénients: premièrement, elle prive les deux notions de toute valeur descriptive; deuxièmement, elle dissimule le fait que la plu- part des croyances contemporaines – la plupart des idées auxquelles nous croyons – sont aujourd'hui associées ...
La meilleure façon de vous répondre reste toutefois de faire référence à tous ces philosophes qui ont voulu démontrer rationnellement l'existence de Dieu : Leibniz, Descartes, Spinoza, saint Anselme, saint Thomas.
Principales caractéristiques. Selon Robert Todd Caroll, le vrai croyant n'accepte ni arguments ni faits contredisant sa foi. Il serait donc sujet à une forme extrême de dissonance cognitive.
« La pratique religieuse ne découle pas de la croyance, comme une conclusion de prémisses, mais la croyance consiste dans une pratique » (Pouivet, 2006, 363).
Principe clé : Décidez de confier votre volonté et votre vie aux soins de Dieu, le Père Éternel, et de son Fils, Jésus-Christ. Latroisième étape est celle de la prise de décision.
1. Ce qui est en dehors du domaine de la raison ou qui s'y oppose. 2. Élément de l'ensemble ℝ des réels qui n'appartient pas à l'ensemble ℚ des rationnels.
On doit toujours, dans l'idéal, faire en sorte que les raisons de la croyance puissent être reconnues comme étant également des raisons de la vérité de la proposition concernée, et non des raisons ou des causes d'une autre nature. Or c'est une exigence que la religion est par essence incapable de satisfaire.
Que sont les croyances irrationnelles ? Les croyances irrationnelles sont les idées que nous avons à propos de nous-mêmes, des autres et du monde, qui ne s'ajustent pas à la réalité. Elles se manifestent souvent sous la forme d'un “je devrais…”. Nous les considérons comme des obligations à remplir.
Comme nos valeurs, elles sont souvent le fruit d'une adoption ou d'un rejet, familial, culturel, politique ou social. Totalement irrationnelles, nos croyances ne traduisent absolument pas LA réalité. Juste NOTRE réalité. Elles prennent la place d'une incertitude que l'on pense insupportable.
En ce sens la croyance semble s'opposer radicalement à la raison, entendue comme faculté de calculer, de raisonner,c'est-à-dire de combiner des concepts et des jugements, de déduire des conséquences et, en conséquence, de bien juger, de distinguer le vrai du faux, le bien du mal.
Croire, c'est donc donner son assentiment à une proposition qui est tenue pour vraie sans avoir la certitude objective de sa vérité. Il s'agit d'une opinion. Savoir, c'est donner son assentiment à une proposition en ayant la certitude objective de sa vérité.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Selon le Catéchisme de l'Eglise Catholique, la foi est la vertu théologale, grâce divine, infusé par Dieu dans l'âme, par laquelle on croit en Dieu et à tout ce qu'il a dit et révélé, et que l'Eglise propose de croire, parce que Dieu est la vérité (dépôt de la foi).
non-croyant — Wiktionnaire.