Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Notes. Cette locution conjonctive est suivie de l'imparfait ou du plus-que-parfait.
Pourquoi n'écrit-on pas « si j'aurais su » ? Parce que la présence de la conjonction si exprime déjà une condition ou une supposition, inutile alors d'en ajouter une autre en employant le conditionnel. le verbe placé après si . Ce verbe-là est donc toujours à un temps passé de l'indicatif.
Conditionnel : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient. - L'imparfait exprime une action qui dure dans le passé, ou qui est souvent répétée. Il est notamment utilisé pour élaborer des descriptions dans le passé. - Le futur est utilisé pour exprimer le futur.
Mode verbal après si. Bien que le verbe ne puisse être employé au conditionnel lorsque si exprime une condition, tant le conditionnel que le futur sont admis dans le cas où si véhicule une idée de concession. Le conditionnel est aussi correct lorsque si introduit une interrogation indirecte.
Lorsque nous imaginons quelque chose qui n'a pas eu lieu, nous faisons une hypothèse sur le passé : Si + plus-que-parfait, conditionnel passé Exemples : Si je n'étais pas arrivé en retard, j'aurais vu le début du film. Exemples : Ce matin, je ne joue pas au tennis parce qu'il pleut.
Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
Notez : Après un conditionnel présent, si le verbe de la subordonnée doit être au subjonctif, il se met au présent ou à l' imparfait (Je voudrais qu'elle écrive ou Je voudrais qu'elle écrivît).
Enfant, on se fait seriner cette règle : les scies (si) n'aiment pas les raies (rais). Elle permet de se rappeler qu'avec la conjonction si, on ne doit pas conjuguer un verbe en -rais/rait, mais plutôt en -vais/vait.
Les conjonctions après que et si bien que s'emploient avec le mode indicatif. 4. La conjonction au cas où s'emploie avec le mode conditionnel.
Pour ne pas confondre le futur simple et le conditionnel présent, il faut changer de personne et mettre le verbe à la 3e personne du singulier. Par exemple : Demain, j'irai au cinéma → on passe à la 3e personne du singulier → Demain, il ira au cinéma (et non pas il irait au cinéma.
Cette tournure fautive a été rendue célèbre par un film de 1962. Malgré cela, c'est une faute que l'on entend encore parfois. La bonne tournure est « si j'avais su ».
Le verbe qui suit la locution conjonctive bien que doit se conjuguer au subjonctif.
Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait). Pour peu qu'il soit malade, il ne viendra pas (hypothèse).
Si tu vas à la boulangerie, tu achèteras du pain. Rappel : Les terminaisons au futur sont : -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. -Lorsqu'il y a SI+verbe conjugué à l'imparfait, le verbe de la deuxième proposition sera au conditionnel présent. Si tu allais à la boulangerie, tu achèterais du pain.
On peut former le comparatif de l'adjectif Mauvais de 2 façons: Plus mauvais ou Pire. C'est pourquoi on ne dira jamais Plus pire. C'est la même chose pour le superlatif: Le plus mauvais ou Le pire. exprimer n'a pas d'accent sur le E: "ex" devant une consonne se prononce [èks]: exprimer.
On a remplacé “plus bon” par “meilleur” et on a remplacé “moins bien” par “pire” ou “plus mauvais”. “Plus mauvais” ou “moins bien”, ça veut dire “pire”. Donc, tu vois bien les mots “plus” et “moins”, ce sont ce qu'on appelle des comparatifs. Ça nous indique qu'il y a plus de quelque chose ou moins de quelque chose.
Le conditionnel peut avoir d'autres valeurs modales que l'hypothèse : il peut exprimer le doute, le regret, le souhait, l'incertitude ou l'atténuation. Exemple : pour ne pas brusquer quelqu'un, il est possible de dire « Tu pourrais ranger ta chambre » au lieu de dire « Range ta chambre ! ».
La phrase subordonnée introduite par la conjonction « si » se place librement où l'on veut dans une phrase.
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.