Les femmes traditionnelles évoquent plus fréquemment la « Maternité » (5,20 %), le fait d'être « Heureuses » (10,74 %), la « Compétence professionnelle » (9,06 %), la « Reconnaissance à l'égard des hommes » (7,38 %) et l'attitude « Critique à l'égard des femmes » (16,44 %).
Il a le droit au respect et à la considération de sa femme, de ses enfants et de toute personne qui est sous son autorité. Certes, comme éducatrice, épouse et gardienne de certains aspects de la tradition, la femme a également droit au respect et à la considération de son mari et de ses enfants.
La femme moderne est capable de solidarité et de créer une communauté. Elle est capable d'autonomie morale, que seule la participation pleine et entière au monde objectif et à la vie publique peut lui permettre d'atteindre.
La place de la femme est importante dans la société traditionnelle africaine. Outre son rôle de mère de famille, elle est chargée de toute la gestion de la maison. A ce niveau, les femmes assument une responsabilité sociale. Elles se considèrent souvent, malgré tout, un peu sous-estimées ou sous-valorisées.
Les femmes étaient strictement astreintes à la monogamie, l'adultère sévèrement réprouvé. Seul le rôle de mère était valorisé, et l'exercice de toute profession constituait une forme de déchéance sociale, à l'exception de fonctions religieuses ou honorifiques.
Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
Les femmes représentent 70% des échanges informels transfrontaliers et génèrent ainsi 17,7 milliards de dollars par an en moyenne dans les 15 États membres de la Communauté de développement de l'Afrique Australe.
Ainsi, la femme africaine porte bien souvent sur ses épaules, à tous les sens du terme, la santé économique des campagnes africaines. Une véritable performance qui force l'admiration lorsqu'on sait qu'aucune n'échappe (sauf raisons médicales) à l'impératif de la procréation.
D'autre part, la valorisation de la femme permet à l'Etat et aux institutions de développement de "délocaliser" les responsabilités et les tâches incombant à toute la société vers ces espaces plus économiques que sont les activités gérées par les femmes.
Aujourd'hui encore, les femmes s'acquittent de la majorité des tâches ménagères et des soins des enfants et des parents âgés ; après un divorce ou une séparation, les femmes qui assument plus souvent la garde des enfants, plongent fréquemment dans des situations d'une grande précarité ; dans le monde professionnel, ...
Une femme libre est souveraine. Elle est libre de ses choix, de ses mouvements. La liberté implique nécessairement des choix conscients. C'est être la seule arbitre de ce que l'on fait ou de ce que l'on ne fait pas.
Une femme moderne est une femme libre de ses choix. Certes, la liberté absolue n'existe pas, cependant, une femme moderne doit pouvoir, à l'instar de l'homme et à contraintes égales, prendre les décisions qu'elle estime lui convenir à elle et aux personnes qu'elle souhaite intégrer dans sa réflexion.
Les femmes sont rassembleuses et collaboratives. Elles soudent les équipes et favorisent l'entraide. Bonnes communicatrices, elles facilitent la résolution des conflits. Bref, elles améliorent le fonctionnement d'une l'entreprise au quotidien.
Susciter en lui l'envie de vous choyer et de vous protéger. Rôle extrêmement important de la femme : elle a un pouvoir sur le cœur de l'homme, comme nous l'avons déjà dit. Reconnaître son autorité sur soi et sur la famille. Susciter sa confiance.
L'image des femmes africaines est donc, plus qu'ailleurs, bourrée de stéréotypes : de la terre mère féconde et généreuse à la jeune beauté paresseuse et débauchée…
Mais ceux qui s'intéressent aux belles femmes d'Afrique penseront probablement à la magnifique Mpule Kwelagobe. Elle a été la première Botswanaise et la première femme africaine de peau noire à recevoir la couronne de Miss Univers.
Une société dominée par les hommes. Le Code civil de 1804 place les femmes sous l'autorité de leur père, puis de leur mari. Considérées par la loi comme mineures, elles ne disposent pas des mêmes droits que les hommes, malgré l'égalité proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789.
Elles réfèrent à des manières d'être, d'agir et de penser que des personnes ou des groupes sociaux reconnaissent comme idéales. La solidarité, l'honneur, l'obéissance sont des exemples de valeurs traditionnelles.
Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale. Le troisième problème concerne ce que l'on appelle le « plafond de verre ».
Les valeurs
A toutes ces valeurs précitées il convient d'ajouter évidemment celles qui ont trait aux qualités morales : le courage, l'honnêteté, l'obéissance, la politesse, le sens de la responsabilité, l'intégrité, etc.
Ne la ridiculisez pas, ne l'insultez pas. Prenez toujours sa défense, dans n'importe quelle situation. Faites-lui comprendre ce que vous ressentez pour elle et qu'aucune autre personne au monde ne pourrait prendre sa place auprès de vous (si vous devez mentir pour dire ça, vous n'êtes pas vraiment amoureux).
Un respect mutuel
Les hommes comme les femmes ont la nécessité de se sentir respectés au sein de leur relation. Ils ont besoin d'être entendus, écoutés et que leur avis soit pris en compte dans les petites comme les grandes décisions. Ils veulent se sentir utiles et importants au sein du couple.
Malgré Olympe de Gouges qui publie, en 1791, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne : "La femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits" (art. 1 ), la Révolution française ne modifie pas la condition des femmes et ne leur ouvre pas le chemin de la citoyenneté.