Le fait de se réveiller au milieu de la nuit en ayant la sensation d'être totalement paralysé est un trouble du sommeil bien connu. Dans la grande majorité des cas, ce phénomène n'est pas inquiétant. Se réveiller au beau milieu de la nuit, tout voir, tout entendre...
La paralysie du sommeil est facilitée surtout par le manque de sommeil et la position allongée sur le dos, mais parfois le stress, l'anxiété, le surmenage, à une modification brutale du mode de vie (deuil, déménagement, nouveau travail), ou à des horaires de sommeil irréguliers.
Paralysie du sommeil : les symptômes
Ne pouvant pas bouger, la personne tente de crier, en vain. Certaines personnes qui vivent une paralysie du sommeil évoquent également : une sensation d'étouffement ; la présence menaçante d'une personne : ce ne sont que des hallucinations visuelles ou auditives.
Cette paralysie, qui génère une grande angoisse, serait due à une irruption du sommeil paradoxal dans l'état de veille: l'atonie musculaire caractéristique du sommeil paradoxal se poursuit bien que le sujet soit parfaitement conscient.
Le fait de se réveiller au milieu de la nuit en ayant la sensation d'être totalement paralysé est un trouble du sommeil bien connu. Dans la grande majorité des cas, ce phénomène n'est pas inquiétant. Se réveiller au beau milieu de la nuit, tout voir, tout entendre...
Elle est due à une insuffisance de tyrosine (son précurseur), qui peut être provoquée par des couchers trop tardifs ou un désordre alimentaire : pas assez de protéines (qui fournissent les acides aminés essentiels), ou un excès de sucre, qui fait baisser le taux de tyrosine.
Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
Fait n°1 : Elle se manifeste par des expériences impressionnantes mais pas dangereuses. Alors même que l'ensemble des symptômes liés à ce trouble, comme les hallucinations qui l'accompagnent, sont fréquemment rapportées comme étant angoissantes, la paralysie du sommeil est sans gravité.
On estime que 30 à 40 % de la population a connu (ou connaîtra au moins une fois) une paralysie du sommeil. Ce trouble peut toucher absolument tout le monde mais il n'est pas fréquent. Les personnes ayant déjà des troubles du sommeil ne sont pas plus exposées que les autres.
Les cauchemars sont un héritage de nos lointains ancêtres qui aide à réguler les émotions négatives auxquelles on peut faire face. Ils sont donc très utiles au bon fonctionnement de nos capacités cérébrales au quotidien.
Le trouble peut être idiopathique (sans cause connue), mais il peut aussi être associé à une narcolepsie (état de somnolence permanent) ou à la consommation de médicaments, comme certains antidépresseurs. Cette parasomnie peut aussi être liée à des maladies neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson.
"Les couche-tôt ont tendance à manger des aliments plus sains", explique la psychologue Kristin Aschbacher qui a mené l'étude. Les personnes qui se couchent entre 19 heures et 23 heures mangeaient ainsi davantage de légumes, de fruits, de glucides riches en fibres et de protéines maigres.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
Le matin, pour être de bonne humeur dans la journée, il est déconseillé de commencer sa journée dans la précipitation. Ainsi, mieux vaut ajouter 15 ou 30 minutes de plus à votre planning pour prendre du temps le matin, en vous levant à 7h30.
Pendant la nuit, plus particulièrement durant le sommeil profond, les enfants et adolescents sécrètent des hormones de croissance qui leur permettent de grandir. Les adultes ne sont pas en reste puisqu'ils régénèrent leurs tissus.
► La mélatonine - l'hormone du sommeil - est sécrétée vers 21, 22 h chez un adulte, mais un peu plus tard chez l'adolescent. ► Les ados ressentent moins vite la pression de la fatigue qui pousse à aller dormir. Ils y résistent naturellement mieux et sont donc moins pressés d'aller se coucher.
Une chouette chanson, une sonnerie ambiance “grillons de Provence”, la douce voix de maman ou un réveil qui simule la lumière du jour. À vous de voir quelle est pour vous l'option la moins stressante, et qui reste efficace ! Prévoyez un réveil assez tôt pour éviter le stress de la préparation.
Une tendance venue des Etats-Unis, le «Miracle morning», prône un début de journée aux aurores (entre 4h et 5h30 du matin), agrémenté de sport et de méditation, pour gagner en bien-être et productivité au travail. En France, les «early birds» (traduit chez nous par morningophiles) sont de plus en plus nombreux.
Le MPOW Réveil Projection Plafond remporte la palme du meilleur réveil intelligent d'après notre comparatif des avis des consommateurs. C'est un appareil très facile à utiliser. Il offre 3 niveaux de luminosités pour un réglage adapté à vos préférences.
On parle alors d'ivresse du sommeil, ou "sleep drunkenness" selon les scientifiques anglophones. "Ce comportement relève lui d'une pathologie rare - l'hypersomnie idiopathique - qui ne concerne que 1% de la population et dont on ne sait pas encore expliquer les causes" précise le chercheur.
Les causes et conséquences des terreurs nocturnes
Elles sont toutefois facilitées par différents facteurs : une prédisposition génétique, une privation de sommeil, une activité physique intense, des éléments psychologiques comme les facteurs de stress, de la fièvre, la consommation d'excitants avant le sommeil.
On se souvient d'un mauvais rêve quand on se réveille, alors que le cauchemar nous réveille, souvent en sursaut. Le cauchemar provoque des émotions tellement intenses que des zones du cerveau déconnectées pendant le sommeil se reconnectent brusquement avec la réalité.