La philosophie des sciences est la branche de la philosophie qui étudie les fondements philosophiques, les systèmes et les implications de la science, qu'il s'agisse de sciences naturelles ou de sciences sociales.
(Depuis le XIXe) Ensemble des connaissances d'un domaine donné. (En Grèce Antique et par la suite) Connaissance la plus haute, savoir conscient de lui-même. Du latin, « scientia » : connaissance, lui-même du verbe « scire » (savoir).
1. Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales. 2. Chacune des branches de la connaissance, du savoir (souvent pluriel) : Les sciences mathématiques.
"La science a pour but de découvrir, au moyen de l'observation et du raisonnement basé sur celle-ci, d'abord des faits particuliers au sujet du monde, puis des lois reliant ces faits les uns aux autres, et permettant (dans les cas favorables) de prévoir des événements futurs.
Elles permettent donc d'avoir une vision déterministe du monde : elles ne permettent pas seulement d'expliquer ce qui s'est produit, mais également de prévoir ce qui se produira, dès lors qu'on sait qu'une même cause sera toujours suivie d'un même effet.
C'est le cas d'Aristote, de Francis Bacon, de René Descartes, de Gaston Bachelard, du cercle de Vienne, puis de Popper, Quine, Lakatos enfin, parmi les plus importants.
Étymologie. Du moyen français, de l'ancien français science , escience , du latin scientia (« connaissance »), lui-même du verbe scire (« savoir »).
En science, il y a des méthodes, des techniques scientifiques qui s'interposent entre la savant et la nature, tandis que le philosophe a le problème en lui, il doit lui faire face pour pouvoir recréer sa propre vie selon ses exigences, les exigences de son esprit.
La science apporte des solutions aux défis de la vie courante et nous aide à répondre aux grands mystères de l'univers. En d'autres termes, la science est l'une des voies les plus importantes de la connaissance.
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
Anaximandre, premier scientifique | Canal U.
On distingue traditionnellement les sciences humaines et sociales, histoire, sociologie, linguistique, géographie, sciences juridiques, etc. et les sciences dites exactes, physique, chimie, biologie, etc.
La philosophie est la connaissance de la réalité. Ce qui veut dire qu'elle n'est ni seulement critique ni seulement connaissance de sa propre histoire (ce qui, à ce titre, n'en fait qu'une culture), mais bien qu'elle apporte cette utilité qui consiste à comprendre les choses et le monde.
La science a permis, aux niveaux technologique, physique, chimique, astronomique et biologique, d'enregistrer certains acquis, considérés jadis comme impossibles, qui ont permis à l'homme d'évoluer et d'avancer pour progresser et améliorer sa qualité de vie.
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
La science et la recherche à l'ouvre pour vous. L'expertise scientifique nous aide à prendre des décisions en matière de normes, de politiques, de règlements et de programmes ayant trait à la santé.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
La science, aujourd'hui, est devenue partie intégrale de notre vie. Les connaissances que nous possédons et les technologies mises au point proviennent à peu près tous de la science. Sommes-nous plus heureux à l'aide de celle-ci.
Parmi les autres caractéristiques inhérentes à la connaissance scientifique, il y a la rationalité, l'objectivité, la factualité, expérimentabilité et la communicabilité.
Oui, la science, immédiatement ou à long terme, ouvre la porte vers de nombreuses applications intéressantes, dont nous imaginerions difficilement nous passer une fois qu'elles sont advenues et qui sont donc, en un sens, facteur de progrès. Ainsi, les conditions de travail, la santé et l'hygiène, l'alimentation, etc.
Il explique sem- blablement que la philosophie première, parce qu'elle est première, c'est-à-dire parce qu'elle étudie l'être le plus élevé, doit aussi étudier tout être en tant que tel ; elle doit être l'étude de l'en* commune, ou ens inquantum ens : elle doit être la science universelle (5>.
La philosophie ne contribue en rien au progrès scientifique. Mais la science ne peut pas, d'un point de vue méthodologique et éthique, se passer de la philosophie. La philosophie ne peut pas prétendre à la même rigueur que la science.
La philosophie est une des disciplines des sciences humaines, elle appartient au champ d'investigation des sciences. Elle ne peut donc en aucun cas se substituer au territoire auquel elle appartient.