La science est connaissance démonstrative des causes et, par là même, universelle et nécessaire. C'est la raison pour laquelle Aristote affirmera qu'il n'y a de science que du général. Le critère de démarcation de la science vis-à-vis de tout autre discours est bien celui de l'universel et de la causalité.
La thèse d'Aristote est donc que l'homme est par nature voué à vivre dans une cité. C'est le sens de la fameuse citation d'Aristote selon laquelle l'homme est un animal politique.
Aristote considère la matière et la forme comme fondues ensemble, ce qui permet de produire la substance composée (σύνολον, sunolon). La matière est le pondérable, le sensible, le corps d'un animal ou d'une œuvre. La matière est associée à la puissance, car la matière est à l'objet ce que la puissance est à l'acte.
Platon en effet ne distingue pas, comme nous le faisons de nos jours, les sciences proprement dites de la philosophie. A ses yeux, il n'y a qu'un savoir, la connaissance des idées éternelles et nécessaires, par opposition aux apparences fugitives des sens.
1. Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales. 2. Chacune des branches de la connaissance, du savoir (souvent pluriel) : Les sciences mathématiques.
Pour chacune d'entre elles il faut distinguer : 1) les sciences abstraites, purement théoriques ; 2) les sciences concrètes ou appliquées ; 3) les sciences pratiques comme les arts mécaniques.
Une recherche de vérité
La science est avant tout guidée par un but : la recherche de vérités certaines. Elle se construit donc en opposition avec l'opinion, qui est une connaissance incertaine et non prouvée. Socrate initie cette démarche en rejetant systématiquement la doxa.
La connaissance ne réside pas dans le contenu, elle réside dans la méthode par laquelle on accède à ce contenu. Dans le Ménon, Socrate illustre cette différence par une analogie : celle de deux hommes qui doivent se rendre à une même destination (Larisse, une ville située au nord d'Athènes).
Le philosophe est celui qui possède la totalité du savoir dans la mesure du possible. L'amitié est une âme en deux corps. Le bien ne suffit pas à assurer le bonheur, mais le mal suffit à assurer le malheur. Le courage est la première des qualités humaines car elle garantit toutes les autres.
Aristote a été le critique le plus puissant de Platon, son adversaire le plus déterminé. Mais ce qui les a opposés n'est pas un simple conflit entre deux générations, ni même un cas classique de parricide.
Aristote est considéré comme le fondateur de la logique comme instrument de discours dans l'art, la morale et la science. Il introduit des notions de causalité de la nature et fait de cette dernière la finalité des choses, obéissant à un dessein qui dépasse les hommes.
Pour la connaissance, elle est première : nous connaissons une chose lorsque nous savons ce qu'elle est (plutôt que comment, de quelle grandeur, où), et les qualités et quantités de même ne sont connues que si nous savons d'abord ce qu'elles sont.
Aristote donne aussi un ordre naturel aux 4 éléments : en-bas la terre, puis l'eau, puis l'air et enfin le feu. Pour les Grecs, la vie elle-même dépendait d'une combinaison de ces 4 éléments. La Terre est la substance ou le corps physique, elle est la nourriture nécessaire au maintien de cette existence.
Toute chose intermédiaire est précédée et suivie d'autre chose, et ce qui précède est nécessairement cause de ce qui suit. Si l'on nous demandait laquelle d'une série de trois choses est la cause, nous dirions que c'est la première. Car ce n'est point la dernière : ce qui est à la fin n'est cause de rien.
Tout d'abord Aristote, contrairement à Socrate, considère que l'étude de la nature est aussi une étude de l'Homme, car ce dernier fait partie de la nature, et par conséquent les sciences natu- relles ne doivent pas être négligées : en effet, bien qu'il se distingue par l'intelligence, l'Homme est aussi un animal, comme ...
On connaît la place de la terre dans l'univers, de même que la forme de son mouvement autour du soleil: une ellipse. Mais pourquoi se meut-elle, quelles forces la poussent, ces questions sont encore sans réponse au moment où naît Galilée.
Aristote est l'inventeur de la logique, notamment à travers la théorie du syllogisme, un raisonnement déductif en trois propositions, popularisé par cet exemple : « Tous les hommes sont mortels.
“Il n'y a point de travail honteux.” “Rien n'est trop difficile pour la jeunesse.” Vos avis (53) : “Le bonheur c'est le plaisir sans remords. ”
« La mathématique est la reine des sciences et l'arithmétique est la reine des mathématiques », Carl Friedrich Gauss.
Le principal facteur qui gouverne le rôle et la perception des sciences est la confiance que le public est prêt à investir dans les institutions scientifiques et les individus qui les représentent.
Disciplines classiques des sciences naturelles, la physique, la chimie ou encore la biologie ont développé une approche interdisciplinaire.
Il distingue six sciences fondamentales : mathématiques, astronomie, physique, chimie, biologie, sociologie.
L'astronome et vulgarisateur scientifique Pierre Chastenay nous parle de l'importance de Galilée dans l'histoire de la science. Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.