La théorie du behaviorisme voit l'apprentissage comme un processus encouragé par l'utilisation de récompenses ou « renforcements positifs » (ex. : nourriture pour l'animal, bonnes notes chez l'apprenant) et de punitions ou « renforcements négatifs » (ex. : choc électrique pour l'animal, mauvaises notes pour l'apprenant ...
Le béhaviorisme propose le recours au façonnement du comportement. « Enseigner quelque chose, c'est inviter l'élève à s'engager dans de nouvelles formes de comportement, clairement définies, dans des occasions clairement définies elles aussi » (Skinner, p.
Le béhaviorisme est un concept qui fait référence à l'étude du comportement animal et humain alors que le cognitivisme est une théorie scientifique basée sur des idéaux. Le béhaviorisme croit qu'on peut apprendre tout comportement par le renforcement et la punition.
Les avantages du comportementalisme comprennent une motivation accrue des élèves, une meilleure attention des élèves. Et aussi une utilisation plus efficace du temps des enseignants. L'approche béhavioriste comprend des objectifs clairs, des progrès mesurables, des résultats rapides.
L'approche behaviorale découlant du behaviorisme utilise les principes du conditionnement répondant et du conditionnement opérant. La thérapie comportementale vise à modifier les comportements observables problématiques du client.
apprendre c'est transmettre des savoirs, en renforçant des comportements (le béhaviorisme); apprendre c'est traiter de l'information, par les mécanismes mentaux internes constitutifs de la pensée et de l'action (le cognitivisme).
Difficulté à transférer les connaissances à une nouvelle situation (trop de guidage). L'élève a de la peine à donner du sens aux connaissances enseignées.
Limites au béhaviorisme
Bien qu'un stimulus externe (la perception d'un objet) soit bien sûr toujours présent, la théorie béhavioriste ne peut rendre compte du traitement de l'information qui se produit lorsque nous sommes confrontés à des stimuli.
1Les motifs et ambitions du behaviorisme sont énoncés par un psychologue américain, John Broadus Watson (1878-1958), considéré comme son fondateur. Dans un article de 1913, il écrit : « La psychologie (…) est une branche purement objective et expérimentale des sciences naturelles.
Issue des théories de l'apprentissage, l'approche cognitive-comportementale vise à aider la personne aux prises avec des difficultés d'adaptation psychologiques à modifier de manière volontaire ses comportements et ses pensées afin d'amenuiser ou, au mieux, d'éliminer totalement sa douleur émotionnelle.
Watson (1979, 1988) définit la personne comme un être-dans-le-monde unique (unicité) ayant trois sphères : l'esprit (mind), le corps (body) et l'âme (spirit). De plus, de par sa vision unitaire, elle reconnaît l'indissociabilité de l'espritcorpsâme de la personne.
Les principaux comportements fondamentaux sont les comportements alimentaire, sexuel, maternel, social, d'agression, de défense ou fuite et d'inhibition de l'action lorsque la lutte ou la fuite est impossible.
Le paradigme béhavioriste est fondé sur le postulat selon lequel la psychologie scientifique ne peut avoir pour objet d'étude que le comportement "objectif", c'est-à-dire celui qui est observable de façon externe et "publique" (observables par tous, par opposition à "observable de façon privé" ou par le "regard interne ...
La théorie pédagogique vise à décrire comment aider les gens à apprendre et à se développer, à créer des conditions qui augmentent les chances d'apprendre et à améliorer l'instruction. Il en existe trois sortes : behavioriste, cognitive et constructiviste.
Résumé Le constructivisme est une théorie de l'apprentissage centrée sur l'individu. L'apprenant n'absorbe pas le savoir mais se l'approprie en le mettant en perspective avec son vécu et ses représentations, il “construit” son savoir.
Les comportements observables sont les signes de l'accomplissement des échanges entre la personne et le milieu : milieu au sens large et milieu « éducatif » au sens restreint. Ceci soulève la question du fondement culturel de la personnalité et, partant, du rapport entre comportement observable et culture.
Il affirme que l'apprentissage peut être obtenu par l'utilisation de récompenses appelées « renforcements positifs » (ex. : des bonnes notes chez les élèves) et de punitions appelées « renforcements négatifs » (ex.: des mauvaises notes chez l'élève.)
Le comportementalisme de John Broadus Watson
Loeb et Watson mirent en place une méthode de description des comportements humains la plus objective possible. Ils nommèrent cette méthode « behaviorisme ». Le behaviorisme de Watson est généralement perçu comme l'héritier direct de l'empirisme de John Locke.
En 1953, il énonce que l'apprentissage d'un nouveau comportement résulte de renforcements exercés par des stimuli externes succédant aux réponses de l'organisme.
Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d'appréhender les réalités qui l'entourent.
La contribution théorique majeure de B.F. Skinner (1904-1990) à la psychologie est le concept de conditionnement opérant, qu'il distingue du conditionnement classique pavlovien ou conditionnement répondant (terme qu'il invente lui-même).
Le BR est développé par Skinner. Celui-ci le décrit comme la philosophie de la science du comportement humain.
Le béhaviorisme prolonge un long débat philosophique, avec notamment l'opposition entre « l'innéisme » de René Descartes et l'empirisme de John Locke, selon lequel l'esprit est une tabula rasa sur laquelle viennent s'imprimer les connaissances issues des expériences et de l'environnement.
Plus généralement, la psychologie cognitiviste a « pour objet de reconstituer et de décrire les différents processus internes, de nature psychologique, que l'on suppose à l'origine des conduites » (Launay M., Psychologie cognitive, 2004, p. 18).