Le capital mobilier, également appelé patrimoine mobilier, est la valeur totale des biens et objets personnels présents dans votre logement. Outre les meubles et l'électroménager, il est également constitué de votre matériel informatique et vos vêtements par exemple.
Pour évaluer son capital mobilier, il vaut mieux faire l'inventaire de tous les biens afin de les déclarer à l'administration fiscale en direct ou par l'intermédiaire d'un notaire. Listez les objets en indiquant leur valeur d'achat approximative. Regroupez les factures dans un même dossier pourra s'avérer très utile.
Les meubles : table, chaise, bureau, armoire, fauteuil, lit etc. L'électroménager : réfrigérateur, congélateur, four, cuisinière, hotte, etc. Les biens précieux : oeuvre d'art, bijoux, instrument de musique etc.
Le patrimoine mobilier correspond à l'ensemble des biens mobiliers possédés par une personne physique ou morale : meubles, biens précieux, électroménager, décoration, biens électroniques, actions, parts sociales d'entreprise...
Le conseil Luko : additionnez le montant de vos factures d'un côté et les biens sans justificatifs de l'autre. Ajoutez une somme forfaitaire pour vos vêtements, livres et menus objets. Vous aurez ainsi le montant exact de votre capital mobilier.
Les revenus imposables. Vos revenus mobiliers proviennent des valeurs mobilières que vous possédez (actions, parts de SARL, obligations, bons de capitalisation, contrats d'assurance-vie, etc.).
Les valeurs mobilières sont les titres émis par des personnes morales, publiques ou privées, transmissibles par inscription en compte. Les plus courantes sont les actions, les obligations et les OPCVM (SICAV, FCP). Interchangeables et fongibles, elles peuvent être cotées en bourse.
Les éléments de patrimoine pris en compte
L'ensemble du patrimoine mobilier financier et du patrimoine immobilier est pris en compte pour déterminer si le seuil de 30 000 euros est atteint, à l'exclusion de la résidence principale ainsi que des biens à usage professionnel.
En l'absence d'inventaire, l'ensemble des biens meublants le patrimoine immobilier du défunt (meubles, bijoux, tableaux, etc.) est évalué de manière forfaitaire, à hauteur de 5 % de l'actif brut successoral (voir ci-dessous).
Une voiture se range juridiquement dans la catégorie des biens meubles. Or, comme tout bien meuble, il n'existe pas de titre de propriété écrit comme en matière immobilière. Le Code civil pose en revanche une présomption en matière de preuve de la propriété.
les meubles qui peuvent être isolés facilement du bien (“meubles meublants”) : tables, chaises, lits, tapisseries, placards, électroménager, etc. les meubles qui sont incorporés à l'immeuble (“meubles attachés à perpétuelle demeure”) : miroirs scellés, cheminées et sanitaires, volets extérieurs scellés aux murs, etc.
c'est-à-dire les biens durables (voiture, équipement de la maison, etc.), les bijoux, les œuvres d'art et autres objets de valeur, soit tout ce qui relève du patrimoine matériel, négociable et transmissible.
Un immeuble est un bien immobilier qui ne peut pas être déplacé (maison, appartement, copropriété, terrain à bâtir ou agricole...) alors que les meubles (le mobilier, les biens électroniques, ...) peuvent être déplacés. A quoi correspondent le patrimoine mobilier et le patrimoine immobilier ?
Le patrimoine mobilier des enfants, produisant ou non des revenus imposables, doit être déclaré (sauf comptes bloqués). Ces montants doivent être cumulés à ceux de l'allocataire. (pour la quote-part du bien qui vous appartient). (pour la quote-part du bien qui vous appartient).
Calculer la valeur de son patrimoine peut être considéré comme un moyen de mesurer la richesse d'une personne. Pour faire le calcul, il suffit d'établir le montant total de ses actifs (possessions) et d'y soustraire les passifs (dettes et autres emprunts).
Votre patrimoine est l'ensemble de vos biens, de vos dettes et de vos obligations. La gestion de patrimoine consiste donc à manager tout cela. Vos biens actifs sont composés de patrimoine immobilier, de patrimoine financier et de patrimoine professionnel.
Vous êtes dispensé de déclaration de succession si l'actif brut successoral : Valeur totale des biens de la succession (actif brut) dont on retranche les dettes du défunt pour obtenir l'actif net est inférieur à 3 000 €. Vous n'avez pas de droits de succession à payer si vous n'avez pas de déclaration à déposer.
Ainsi, l'ensemble des comptes bancaires sont bloqués en cas de décès. Ce blocage concerne tous les comptes bancaires individuels à savoir notamment : compte courant, compte épargne, compte titre, etc. Aucune opération n'est possible : virement, prélèvement, retrait, émission de chèque, paiement par carte bleu.
L'inventaire peut être obligatoire. Lorsqu'il n'est pas obligatoire, l'inventaire peut s'avérer utile. L'inventaire peut, enfin, avoir un intérêt fiscal. Le tuteur ou l'administrateur légal doit faire l'inventaire des biens appartenant à son protégé ainsi que ceux dépendant des successions par lui recueillies.
À la question « Dois-je déclarer mon épargne à la CAF pour bénéficier du RSA ? », la réponse est oui. Vos capitaux placés font en effet partie des sommes prises en compte dans les ressources étudiées pour l'attribution de cette aide sociale.
Oui, pour bénéficier du RSA, il est nécessaire de déclarer votre épargne à la CAF, mais celle-ci ne considère généralement que les intérêts générés par vos placements, et non le capital lui-même, à l'exception de certains départements.
Il existe trois modes de contrôles. Les contrôles sur place : à votre domicile, dans un lieu d'accueil Caf, par téléphone, en visioconférence. Les contrôles sur pièces : la Caf peut vous demander d'envoyer des justificatifs pour vérifier l'exactitude des informations déclarées.
Les revenus de capitaux mobiliers
Retrouvez tout le détail dans la rubrique Particulier > Gérer mon patrimoine/mon logement > J'investis en valeurs mobilières > Les revenus mobiliers. Vos revenus de capitaux mobiliers sont pré-remplis sur votre déclaration de revenus.
En vertu du droit interne français, les contribuables non domiciliés sont, en principe, non imposables en France sur les plus-values de cession de valeurs mobilières françaises sauf, notamment, sur les plus-values de cession de participations supérieures à 25 % dans une société française.
Les plus-values mobilières sont soumises au taux forfaitaire de 12,8 % ou sur option au barème progressif de l'impôt sur le revenu après application éventuelle d'un abattement pour durée de détention.