En musique, au Moyen Âge, le Diabolus in musica (litt. « le diable dans la musique ») était le nom donné à la présence d'un intervalle de trois
Le diable en musique ou Diabolus in musica, désigne depuis les théoriciens du Moyen-Âge, l'intervalle de quarte augmentée (ou quinte diminuée), formé par trois tons consécutifs, soit un « triton », comme le nom de l'animal maléfique. Cet intevalle dissonant était prohibé ou d'usage très limité.
La légende est célèbre dans l'histoire de la musique : il existerait un accord musical capable d'invoquer le Diable : le triton. Surnommé le « Diabolus in musica », il fut totalement interdit par l'Eglise.
À partir du XVIIIe siècle, l'instrument préféré du Diable virtuose est le violon. Tartini, célèbre violoniste et compositeur de cette époque, aurait vu en songe le Diable jouant du violon avec une prodigieuse virtuosité, et aurait retranscrit la musique entendue dans sa sonate Le Trille du Diable .
La légende la plus connue elle celle de Robert Johnson.
A l'époque où le vaudou et les produits stupéfiants étaient très en vogue, tout le monde est persuadé que Robert Johnson a signé un pacte avec le diable, rencontré dans un lieu qui donnera son nom à l'une des grandes chansons du blues, Crossroads.
Le résultat est que souvent, le blues est une musique d'emotion, qui vise le cœur, et le jazz une musique qui flatte plus l'intellect. (Produite par ses structures harmoniques sophistiquées.)
La légende américain du blues, B.B. King est mort jeudi soir à Las Vegas à l'âge de 89 ans. Il avait été admis en hospitalisation en avril dernier suite à une déshydratation liée à son diabète. Surnommé "le roi du blues", B.B. King était considéré comme l'un des plus grands guitaristes de l'histoire. L'hommage d'Obama.
La forme allongée en « f » permet en effet d'augmenter la vibration de la table de l'instrument et par là l'intensité sonore.
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée.
Dans la dernière étape de la construction d'une gamme naturelle, pour retomber sur 2, il faut donc raccourcir la dernière quinte d'un comma, qui correspond à la différence entre les deux intervalles. Cette quinte est appelée quinte du loup car, elle « hurle ».
Quarte augmentée (triton)
Une quarte augmentée, une fois renversée, donne une quinte diminuée. Ces deux intervalles sont équivalents ; ils sont tous deux composés de trois tons, d'où leur nom de "triton".
La musique, d'abord, est un art de l'islam. Non seulement elle n'est pas interdite, mais elle est même nécessaire s'agissant du tajwîd, qui est la science de la récitation et de l'incantation des versets coraniques.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
Musique vocale et instrumentale
Par exemple, des psaumes, le chant grégorien, un oratorio, des negro spirituals, etc., constituent de la musique sacrée. La musique religieuse vocale peut être soutenue par un accompagnement instrumental ; dans le cas contraire, on dit qu'elle est interprétée « a cappella ».
L'accord du violon se fait de quinte en quinte, donnant du grave à l'aigu : sol-ré-la (diapason) –mi. Les cordes sont en boyau de mouton, renforcé par un filetage depuis le xixe siècle. Le mi, ou chanterelle, plus tendu donc plus fragile, se fait en métal depuis le début du siècle.
Violoniste. Le premier violon d'un orchestre, celui qui dirige les violons.
L'ancêtre du piano était un instrument monocorde
Il y a les instruments à cordes, les instruments à vent, et les instruments à percussion. On retrouve l'ancêtre du piano à travers divers instruments tels que le clavicorde, le clavecin, et le dulcimer.
Complainte du folklore afro-américain, née dans le sud des États-Unis (delta du Mississippi), d'abord rurale puis urbaine, caractérisée par une formule harmonique constante et un rythme à quatre temps, dont le style a influencé le jazz et la plupart des formes musicales dérivées du rock.
William Christopher Handy, né le 16 novembre 1873 et mort le 28 mars 1958 , est un chanteur et compositeur de blues américain souvent considéré comme « The Father of The Blues » (« Le père du blues »).
La légende veut que Johnson ait pris sa guitare et se soit rendu au carrefour des autoroutes 49 et 61 (dans le Mississippi), où il aurait fait un pacte avec le diable : devenir un guitariste virtuose en échange de son âme.
La musique de l'âme désigne aux Etats-Unis un style exclusif de la musique noire diffusée commercialement dès le début des années 60. On peut considérer la soul comme une sécularisation du gospel, ou tout au moins un retour du rhythm'n'blues aux sources de la musique d'église dont il était en partie issu.
Dans les premiers temps, la seule différence entre le rythm'n blues et le rock était l'appellation qu'on leur donnait. En effet, dans la politique raciale de l'époque deux noms distincts étaient nécessaires pour distinguer la musique afro-américaine de la musique écoutée par les Blancs.
Le RnB contemporain est un genre musical qui mélange des éléments de rhythm and blues (dont il est l'abréviation), de rap, de soul et de funk. Le RnB est un genre musical créé avant tout pour faire danser, même si on y trouve aussi beaucoup de ballades.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.