Les fibromes utérins sont des tumeurs bénignes développées à partir du muscle de l'utérus. Cette affection fréquente chez la femme jeune est liée à des facteurs favorisants comme l'hérédité ou l'importance des sécrétions hormonales (œstrogènes).
La cause exacte des fibromes est inconnue, mais les hormones et les facteurs de croissance semblent jouer un rôle. La croissance des fibromes dépend de la présence de l'œstrogène et de la progestérone.
Les fibromes utérins ne déclenchent souvent aucun symptôme. Toutefois, ils peuvent engendrer des saignements gynécologiques anormaux et des douleurs pelviennes. On les diagnostique par un examen gynécologique et une échographie. Sans traitement, ces tumeurs bénignes évoluent de manière imprévisible.
Le fibrome utérin peut-il être dangereux ? Temps de lecture : Comme toutes les tumeurs, le fibrome utérin peut faire peur, laissant notamment craindre le redoutable cancer de l'utérus, une maladie particulièrement grave. Heureusement, c'est en réalité une pathologie bénigne, tout à fait dépourvue de potentiel malin.
Parfois, les fibromes volumineux sont responsables d'un gonflement abdominal. Les fibromes pédiculés peuvent se tordre, bloquant ainsi l'apport sanguin, et provoquer une douleur intense. En général, en cas de croissance ou d'évolution maligne, ils provoquent une compression ou des douleurs.
La cicatrisation de l'utérus (généralement due à une infection ou une intervention chirurgicale), les polypes et les fibromes peuvent également entraîner une aménorrhée secondaire.
Des problèmes intestinaux : le fibrome qui comprime le rectum peut causer de la constipation. Des douleurs lors des rapports sexuels. Des douleurs dans le bas du ventre et du dos. Un gonflement au niveau du bas-ventre.
La myomectomie par laparotomie est indiquée pour les fibromes interstitiels ou sous-séreux mesurant plus de 9 cm. Cette intervention s'effectue sous anesthésie générale et l'opération est parfois précédée d'un traitement médical ayant pour but de réduire le volume des fibromes.
Les fibromes utérins qui déforment la cavité utérine sont principalement responsables. Bien heureusement, la plupart des femmes porteuses de fibromes utérins ne rencontrent aucun problème de fertilité.
Actuellement, aucun traitement médical ne fait disparaître définitivement les fibromes de l'utérus. Toutefois, certains médicaments peuvent réduire les symptômes. Lorsque ces symptômes sont importants (hémorragies, infertilité...), un traitement chirurgical peut aussi être envisagé.
Le fibrome intra-cavitaire, appelé également fibrome sous-muqueux, peut être responsable de fausses couches. Ce fibrome peut être responsable de fausses couches surtout lorsque la partie du fibrome, située dans la cavité utérine est majoritaire.
Les fibromes se développent chez 20 à 50 % des femmes en âge de procréer et sont plus fréquents à partir de 35 ans. L'apparition d'un fibrome peut cependant survenir avant l'âge de 35 ans et son évolution peut être plus ou moins lente.
Le fibrome n'est retiré qu'en cas de symptômes (douleurs, saignements) et si sa taille est supérieure à 5 ou 6 centimètres. L'opération se fait par cœlioscopie ou par voie classique avec incision abdominale.
Voici les plantes recommandées pour guérir les fibromes utérins naturellement : Le gattilier : stimulant la production de progestérone, il rééquilibre la balance hormonale de façon naturelle ; L'achillée : antioxydante, cette plante décongestionne le petit bassin. Elle a également une action anti-inflammatoire.
Le fibrome est une tumeur bénigne, une « boule » de fibres musculaires, non cancéreuse, qui se développe dans l'utérus, il s'agit de la tumeur la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer1.
Le Dr Ardaens relève : « 64 % des femmes souffrant d'un fibrome utérin se disent fatiguées et stressées vs 43% des femmes sans fibrome.
L'embolisation de fibromes utérins est un procédé médical mis au point en France au début des années 90 . Le principe de l'embolisation est de priver les fibromes de sang grâce à l'injection de microbilles synthétiques dans les artères de l'utérus. Cette technique a sa place comme alternative à la chirurgie.
Aussi il est recommandé d'adopter une alimentation faible en gras: viande rouge, charcuteries, friture, panure, sauces grasses, crème, crème sure, vinaigrette crémeuse, beurre, margarine, saindoux, suif, shortening, pâtisseries, beignes, croissants, tartes, gâteaux, brioches, chocolats, fromages à plus de 20 % m.g.
Ils représentent près de 70 % de l'ensemble des fibromes, et entraînent tout ou partie des symptômes suivants : des saignements importants, des envies fréquentes d'uriner et des douleurs au niveau du dos ou du pelvis, des douleurs pendant les rapports sexuels, des sensations de pesanteur ou une lourdeur pelvienne.
On utilise principalement des médicaments qui agissent en inhibant la sécrétion d'une hormone l'œstradiol chez la femme (les agonistes de la GnRH). Pour cette indication, Enantone®, Décapeptyl®, Gosereline® et Gonapeptyl® sont généralement prescrits.
Douleur. Si vous éprouvez une douleur et des crampes intenses au bas du ventre (bassin) ou à l'abdomen, il se peut que vous ayez un fibrome qui grossit. De plus, les fibromes qui sont rattachés à l'utérus par un pédicule ou un fil fin peuvent se tordre et causer une douleur intense.
Certains états médicaux à long terme tels qu'une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l'arrêt ou l'irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Les caillots ne sont rien de plus que du sang coagulé que ton corps n'a pas rendu plus fluide. C'est un phénomène qui arrive très fréquemment et qui est normal surtout en période de règles abondantes ou le matin car le sang a stagné tout au long de la nuit.