Le genre désigne en sciences sociales les processus et rapports sociaux qui divisent, polarisent et organisent l'humanité en différentes catégories de « sexe », « genre » et de « sexualité »
Retenez bien que le genre se base sur les concepts de l'égalité, de la mixité, et de la parité : ces trois termes désignent à la fois des principes et des objectifs à atteindre. Ils représentent des valeurs qui guident, dirigent et influencent les politiques publiques et éducatives.
L'approche Genre et Développement vise un développement équitable et l'égalité entre les sexes.
Le terme genre renvoie aux rôles, aux comportements, aux expressions et aux identités que la société construit pour les hommes, les femmes, les filles, les garçons et personnes de divers sexes et de genre.
Il s'agit notamment des lesbiennes, des gais, des bisexuels, des trans, des intersexués et des personnes dites queer. Sexe. Le sexe est un état attribué à la naissance qui s'appuie sur des marqueurs biologiques du sexe, notamment l'anatomie reproductive et sexuelle ainsi que les chromosomes.
Les personnes non-binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux. Le terme « non-binaire » désigne donc toutes les possibilités en dehors d'une identité strictement féminine ou masculine.
pansexuelle (pansexualité) : désigne une personne qui aime un individu sans considération de son genre ou de son sexe.
La binarité des genres résulte des constructions sociales binaires (homme-femme) qui limitent l'identité de genre à deux sexes auxquels sont associés des stéréotypes de genre dits masculin ou féminin. La fluidité de genre est un éclatement de la binarité de genre.
Les femmes sont un genre parce qu'elles ont un sexe. Ce que l'on appelle genre, masculin ou féminin, est l'ensemble des attributs qu'une société attache aux individus selon qu'ils sont homme ou femme à la naissance. Bien entendu les catégories du « masculin » et du « féminin » débordent le monde des humains.
C'est en 1955 que le sexologue John Money va créer le terme « genre » se basant sur l'étude d'enfants hermaphrodites et leur éducation, pour ensuite être repris, modifié et élaboré jusqu'à en obtenir le sens que nous connaissons tous aujourd'hui.
Par « genre » on entend la construction socioculturelle des rôles masculins et féminins et des rapports entre les hommes et les femmes. Alors que « sexe » fait référence aux caractéristiques biologiques, être né(e) homme ou femme, le genre décrit des fonctions sociales assimilées et inculquées culturellement.
"Le genre ne se réfère ni à la femme, ni à l'homme en soi, ni au sexe, mais aux rapports qui existent entre eux. Le genre est donc une variable sociale qui permet de différencier, d'organiser et de structurer les rapports des acteurs et actrices sociaux/sociales.
Niveau de diplôme, accès à l'emploi et aux postes de cadres, salaires et pensions de retraites, présence dans la vie politique, partage des temps domestique et parental : dans tous ces domaines, les inégalités entre les femmes et les hommes se réduisent lentement sur les décennies passées, ce dont on peut se réjouir.
En ce sens, on peut dire que le genre est un rapport social comme un autre (comme les rapports de classe, de race ou autre) : il est une forme à la fois contraignante et contestée d'institution de la réalité sociale et des conditions de vie des individus.
L'approche de "genre", c'est-à-dire l'analyse et la prise en compte, dans tous les domaines, des rapports sociaux entre femmes et hommes, est essentielle pour atteindre les objectifs d'égalité (...) Genre, égalité, parité, équité, mixité... Sexisme, phallocratie, patriarcat, misogynie, féminisme, anti-féminisme...
(Sociologie) Thèse expliquant la construction de l'identité de genre à partir de facteurs non biologiques.
"Il existe trois types de femmes : la brebis, la chienne et la louve." Dans une vidéo partagée sur TikTok, un jeune homme déroule une prétendue hiérarchie des partenaires féminines, de la "femme de valeur" à la plus "dangereuse".
Les hommes aiment les femmes avec des opinions formées, capables de s'exprimer et de s'affirmer devant les autres, de se défendre. Les femmes qui n'ont pas peur de dire ce qu'elles pensent, même si cela ne correspond pas à la vision des faits de leur partenaire. D'autre part, ils aiment aussi les bonnes auditrices.
Relatif au genre, aux différences non biologiques, mais sociales, culturelles, entre les hommes et les femmes. 2. Par extension. Basé sur le genre, sur la distinction masculin-féminin telle qu'elle est inculquée : Couleurs, jouets genrés.
Le terme agenre désigne les personnes qui ne se définissent ou reconnaissent dans aucun genre et ne se sentent donc ni homme ni femme. L'idée même de genre est remise en cause par ce terme, entièrement ou partiellement. On peut dire que c'est une sous-catégorie de la non-binarité (voir non-binarité).
Non-binaire : se dit d'une personne dont l'identité de genre ne correspond ni aux normes du masculin ni à celles du féminin. Agenre : sous-catégorie de non-binaire. Se dit d'une personne qui ne s'identifie à aucun genre. Ni homme, ni femme, ni mélange des deux.
Qu'est ce que signifie « LGBTQIA+ » ? Par L, on entend « Lesbiennes », par G « Gays », par B « Bisexuel·le·s », par T « Trans », par Q « Queers », par I « Intersexué·e·s », par A « Asexuel·le·s » ou « Aromantique·s » et le + inclut les nombreux autres termes désignant les genres et les sexualités.
En réalité, les personnes polyamoureuses peuvent être engagées dans différents schémas relationnels dont certains n'impliquant aucune sexualité ou romance.
Synonymes de séducteur, séductrice.
L'aromantisme peut être défini comme l'absence d'attirance romantique. Les personnes aromantiques ne ressentent pas de sentiments amoureux, peu importe leur genre ou leur orientation sexuelle. En gros, dans un monde où l'idée du coup de foudre est omniprésent, que ça soit dans les médias, les films, les chansons…