H, l'enthalpie en thermodynamique ; H, représente l'excitation magnétique. H, est utilisé dans le modèle standard de la physique des particules, pour représenter le boson de Higgs.
Désigne la constante fondamentale appelée constante de Planck. (h = 6,625 . 10−34 J . s. ; si l'action caractérisant un système physique est très supérieure à h, la mécanique classique suffit à décrire le système ; si l'action est comparable à h, le caractère quantique devient prédominant.
En physique quantique on utilise souvent la constante de Planck réduite (h barre) = h/2(pi), appelée aussi quantum d'action. Valeur de h : 6,626 x 10-34Joule.
Le symbole h de la constante de Planck est dû à Planck lui-même. Il apparaît pour la première fois dans une communication faite par Planck le 14 décembre 1900 à la Société allemande de physique. Selon les auteurs, la lettre h est l'abréviation des mots en allemand Hilfsgröße (« variable auxiliaire »), Hilfe!
la constante de Planck h=6,626 070 15⋅10−34kg. m2.
L'énergie libérée par l'électron en retournant dans la bande de valence est égale au travail fait par le champ : E = eΔVo. L'énergie du photon se calcule par E = hf. En assumant que tout le surplus d'énergie de l'électron se transforme en photon on peut poser : eΔVo = hf. Alors ΔVo = hf/e.
Cette unité sert à définir d'autres unités fondamentales de la nature : la longueur de Planck : c'est la distance que parcourt la lumière pendant le temps de Planck. Cette distance est environ un milliard de milliards de fois plus petite que le rayon des protons : elle est d'environ 10-33 centimètres.
En physique des particules et en cosmologie physique on utilise souvent la formule alternative de la masse de Planck réduite : ≈ 4,341 × 10−9 kg = 2.435 × 1018 GeV/c2. simplifie de nombreuses équations en relativité générale.
On trouve la lettre h : au début des mots ; au début d'un nom, le h peut être aspiré (exemple : le hérisson) ou le h peut être muet (exemple : l'herbe) ; à l'intérieur d'un mot, le h est muet (exemple : un rhume).
Placé au début d'un mot, le ''h'' peut être muet, vraisemblable vestige étymologique, il ne correspond alors effectivement à aucun son. Il peut aussi être aspiré, trahissant son origine germanique ou anglo-saxonne. Cela induit un léger mouvement d'air soufflé qui interdit élision et liaison avec le mot qui le précède.
Bien que le H ne se prononce pas en français, quand il s'agit de lecture et d'écriture, la lettre H a un rôle important. Quand il est placé au début du mot, le H peut être muet ou aspiré. On dit que le H est muet s'il n'y a aucune conséquence sur la prononciation.
C'est des Babyloniens que vient l'idée de diviser la journée, c'est-à-dire la période allant du lever du soleil à son coucher, en douze heures. La pratique est reprise ensuite par les Grecs puis les Romains. À l'origine, l'heure est simplement le douzième d'une journée, quelle que soit la saison.
La lettre h est comme les lettres l et n fusionnées en une seule. L'écriture de la lettre h se forme en partant de la ligne de base pour faire une boucle à l'endroit haute de 3 interlignes qui redescend verticalement pour finir par le geste du pont.
La théorie de la relativité a intégré ce concept newtonien sous le terme de “masse au repos”. Or, un photon n'a pas de masse au repos car il n'est jamais au repos : sa vitesse, qui vaut 299 792 458 mètres par seconde (c), est constante quelle que soit son énergie (couleur).
La première image que l'on a du photon est la « bille de lumière », la lumière serait composée de grains qui voyageraient à 299 792 458 m/s (Vitesse de la lumière). Dans ce modèle, un flux d'énergie lumineuse donné est décomposé en billes dont l'énergie dépend de la longueur d'onde λ et vaut h.
Ainsi, le vert se situe autour des 510 nanomètres et le rouge, autour des 650 nanomètres. Rappelons également que plus la longueur d'onde d'une onde électromagnétique est courte, plus l'énergie qu'elle transporte est grande. Les rayons X par exemple présentent une longueur d'onde comprise entre 10-11 et 10-8 mètres.
E l'énergie du photon, en Joule (J) h la constante de Planck, avec h ≈ 6,626 × 10−34 J·s. ν la fréquence de la radiation considérée (fréquence du photon), en Hertz (Hz ou s−1)
Dès la fin du XIX e siècle il est acquis qu'elle vaut environ 300 000 km/s ; en 1975, le résultat fiable le plus précis est 299 792 458 ± 1 m/s .