1. Nom familier du chat. 2. Le valet de trèfle dans divers jeux de cartes.
Le pouilleux ou vieux garçon, (appelé parfois mistigri, le pissous, le puant, Pierre noir ou le valet noir), est un jeu qui nécessite 51 cartes, c'est-à-dire les 52 cartes traditionnelles moins la carte du valet de trèfle. Ce jeu se pratique de 2 à 8 joueurs.
Étymologie de « mistigri »
Il semble que ce mot est composé de l'ancien adjectif miste, habile, adroit, bien paré, et de gri, pour gris. ( XIX e siècle) Sans doute de miste, variante de mite (au sens de « chatte » → voir mitaine, chattemite etc.), et de gris.
On distribue toutes les cartes entre les joueurs. Tous les joueurs posent devant eux les paires qu'ils peuvent constituer. Chaque joueur fait tirer une carte de son jeu à son voisin situé à sa gauche, il pose deux cartes s'il a réussi à réaliser une paire. Le joueur qui reste à la fin avec le Mistigri est le perdant.
Déroulement : Les joueurs posent en même temps face visible sur la table la première carte de leur tas. Le premier à trouver sur la table deux cartes formant une conjugaison valable les gagne et les pose à côté de lui. Si personne ne trouve, chacun pose à nouveau une carte.
Règle du jeu : Le joueur le plus jeune commence. On joue dans le sens des aiguilles d'une montre. Distribuez toutes les cartes. Les joueurs regardent, si, dans leur jeu ils peuvent constituer des paires.
Le groupe gagne la partie quand toutes les paires sont reconstituées. Le Mistigri : Explication des règles du jeu avec utilisation du matériel pour montrer les procédures.
Parmi ces cartes demeure le valet de pique (ou pouilleux) que l'on doit s'efforcer de faire piocher aux autres lorsqu'on l'a en main. Le gagnant est celui qui a réussi à déposer toutes ses cartes le premier sur la table. Le perdant est celui qui garde le « pouilleux » dans son jeu jusqu'à la fin.
Le but du pouilleux est de se débarrasser de toutes ses cartes et donc d'éviter d'être le dernier joueur en possession du valet de pique.
Celui qui se retrouve à la fin du jeu avec une seule carte en main, soit le valet de pique ou bien la paire de la carte cachée au début de la partie, est donc le puant ou le pouilleux !
L'annonceur du Tamalou gagne s'il totalise un maximum de 5 points et s'il a moins de points que ses adversaires. Si l'une ou l'autre condition n'est pas remplie, c'est l'adversaire totalisant le moins de points qui remporte la partie. En cas d'égalité, l'annonceur est toujours perdant.
Mais d'autres estiment qu'il s'agit plutôt d'Hector de Galard, valeureux capitaine de Charles VII puis chambellan de Louis XI. Pas de doute en revanche pour Ogier, le Valet de Pique : chevalier danois légendaire, évoqué dans les chansons de geste, il était l'un des fidèles de Charlemagne.
On l'appelle le Flemish Hunting Deck, ou Cloisters Pack (car il est conservé au Metropolitan Museum of Art, Cloisters). Il passe pour être le jeu de cartes le plus ancien au monde.
Les plus anciens jeux connus sont chinois et datent de la fin de la période Tang (618-907). Les cartes arrivent en Italie via des marchands turcs au XIIIe siècle et en France à la fin du XIVe siècle. Il y avait déjà quatre couleurs, mais avec des figures inspirées de graphismes italiens, espagnols ou allemands.
Une méthode couramment employée pour mémoriser les 52 cartes d'un jeu est de convertir chacune d'elle en une célébrité (réelle ou imaginaire). Certains utilisent une autre méthode en les convertissant en animaux, en aliments, en grandes villes…
257–261) suggère que le terme Jack provient du jeu de plis All Fours (également appelé High-Low-Jack or Seven Up) où ce nom était donné aux valets, et peut-être plus particulièrement au valet d'atout qui rapportait un point au joueur qui arrivait à le remporter.
L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort.
Historiquement un valet est un jeune écuyer au service d'un seigneur, ou un domestique. La désignation de la carte varie suivant les langues, mais tend à conserver cet aspect d'infériorité de classe : allemand : Bube (jeune garçon, gosse, palefrenier)
Le premier joueur continue à demander des cartes jusqu'à ce que l'autre joueur n'ait plus de carte à lui donner et lui réponde : « Pige dans le lac! » Le joueur pige alors une carte parmi celles qui sont au milieu du jeu. C'est alors au joueur suivant de demander une carte au joueur placé à sa gauche.
Arranger consiste à faire des combinaisons de cartes pour augmenter votre score. Le Pinochle envisage cinq types de combinaisons. Un Pinochle est formé par le valet de carreau et la reine de pique. Vous pouvez aussi avoir un double Pinochle en assemblant les deux valets de carreau et les deux dames de pique.
Chaque joueur dispose ses 4 cartes devant lui en carré. Chaque joueur doit prendre connaissance uniquement des deux premières cartes devant lui et doit les retenir avant de les reposer face cachée au même endroit, avant que le jeu ne commence.
On tire au sort pour désigner celui qui commence. Le premier joueur distribue toutes les cartes, une par une, faces cachées. Chaque joueur regarde ses cartes et confectionne des associations 2 par 2, par valeur (5, valet, roi…) et par couleur (rouge ou noir).
Dans les cartes anglaises, souvent utilisées au poker, le visage du roi de cœur est tourné vers la gauche ; il est le seul roi à ne pas porter de moustache et dont les deux mains sont visibles (conduisant à quatre mains dessinées, du fait de la symétrie de la carte).
Parce qu'il n'a pas de bras.