Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
On pourrait définir la chair de façon neutre comme la condition humaine. D'un autre côté, la chair est la puissance « d'inclination spontanée au mal »21. C'est en elle que Paul situe la source la plus profonde de la révolte contre Dieu — de ce que l'anthropologie biblique identifie comme le péché.
« le Prophète a dit des péchés capitaux : "Ce sont : le polythéisme, l'ingratitude envers les parents, le meurtre et le faux témoignage". »
Locution verbale dont les origines remontent au Nouveau Testament. Par extension, cette phrase fut reprise dans le langage courant. Elle désigne le fait que les êtres humains sont faillibles et qu'ils peuvent céder à de multiples tentations (luxure, gourmandise...), justement parce qu'ils ne sont qu'humains.
« L'esprit est ardent mais la chair est faible » est un leitmotiv du Nouveau Testament. La phrase est rapportée comme ayant été prononcée par Jésus lors de sa dernière nuit à Gethsémani. On la trouve dans l'Évangile selon Matthieu et dans l'Évangile selon Marc.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
1. Disposition (de quelqu'un) à se comporter ou agir d'une manière que réprouve la morale sexuelle.
Il s'agit de mener son existence tout en étant conscient que tout dépend de Dieu. Pour y parvenir, il faut, dans sa prière, laisser la priorité à l'Esprit saint . C'est-à-dire privilégier l'esprit de prière plutôt que les recettes et les formules.
La gourmandise dans les 7 péchés capitaux
La gourmandise est un péché car les gourmands sont suspectés de manger trop et sans savourer mais aussi de faire preuve de faiblesse ou de dépendance vis-à-vis de certains aliments. Elle est donc souvent confondue avec la voracité.
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
La paresse, en revanche, consiste à ne pas avoir envie de faire ce qu'il serait en principe nécessaire que l'on fasse, pour soi ou pour les autres, afin en général de mieux vivre. Le terme prend alors une connotation négative jusqu'à désigner un péché.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.
ÉCLAIRAGE - Un silure de 2,43 mètres et plus de 90 kilos a été péché début août dans la Seine. Présent sur la quasi-totalité du territoire français, l'animal est accusé d'attaquer des oiseaux, des chiens, mais aussi de mordre des humains.
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
Contre toi, et toi seul, j'ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l'ai fait. Détourne ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés. Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit. Rends-moi la joie d'être sauvé ; que l'esprit généreux me soutienne.
Les catholiques demandent pardon à Dieu d'avoir mal agi par la confession. La confession est un sacrement. Dieu, à travers le prêtre, pardonne à la personne qui reconnait ses péchés. La parabole du fils prodigue illustre le pardon que Dieu accorde dans la confession.
Selon la définition du dictionnaire Larousse, le blasphème se définit comme une parole ou un discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré. « Le terme blasphème, lui-même, est un terme religieux, c'est le ressenti de croyants.
Sans être le péché originel, la gourmandise est bien un péché des origines, dans le double sens qu'il s'agit d'un vice d'où découlent d'autres vices, et d'un vice qui se situe au tout début de l'humanité.