Un résumé de texte, c'est une reformulation brève et claire d'un texte plus long. Cela implique deux éléments essentiels : la fidélité au texte initial et de la clarté et concision.
Résumé. Qu'est-ce qu'un résumé ? Faire un résumé, c'est réécrire un texte, en respectant le ton, le style et les idées de l'auteur, de manière plus condensée. Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte.
C'est durant cette étape où tu commences à rédiger ton résumé au brouillon. Tu devrais commencer par écrire une introduction, puis énoncer l'idée principale, ensuite les idées secondaires pour finir avec une conclusion.
Deux approches possibles pour une première rédaction : • partir d'une analyse détaillée : 400 ou 500 mots et condenser le texte jusqu'à 200 mots ; • partir d'une synthèse des idées fondamentales : 50 à 100 mots, insérer les idées principales et faire un choix parmi les idées secondaires jusqu'à 200 mots.
Le résumé doit : Conserver le plan du texte ; Suivre la logique du texte, rester fidèle à l'auteur : mêmes idées, opinions et enchaînements, mêmes ton et style, même personne ( si on dit "je" dans le texte, garder "je" dans le résumé ) mais c'est quelquefois gênant.
Produire un résumé aide à mieux comprendre le texte, à mieux en retenir le contenu et à développer ses habiletés de lecture et d'écriture. C'est pourquoi ce genre d'écrits est couramment demandé en milieu scolaire.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
Le point de vue narratif Indépendamment du point de vue narratif ou du temps utilisé dans le corps du livre, le résumé est généralement écrit au présent et à la troisième personne du singulier.
Pour faire le résumé d'un texte, il faut donc le réduire. Cela implique deux choses : l'abandon de certaines idées et la reformulation abrégée de celles qui sont essentielles. Celui qui veut contracter un texte rencontre donc deux difficultés essentielles : lors du repérage des idées essentielles.
abrégé, aide-mémoire, digest, épitomé, mémento, précis.
Le plan doit prévoir une division du texte en trois parties : une introduction, un développement et une conclusion. Chacune des parties est plus ou moins élaborée selon que l'on a affaire à un texte long ou à un texte court.
Lorsqu'on vous donne une « marge » de 10% pour un résumé de 200 mots, on vous permet d'écrire un texte 10% plus court ou 10% plus long. Votre résumé doit donc faire minimum 180 mots, et maximum 220 mots. En revanche lorsqu'on vous donne une « marge globale » de 10%, on vous donne un écart « global » de 10%.
Règles de fond. Le résumé de texte est une « réexpression », dans une forme brève et claire, de l'essentiel de la pensée de l'auteur. Cette définition implique le respect des deux points suivants qui sont essentiels : d'une part fidélité au texte de base, et d'autre part clarté et concision.
Il faut respecter le mouvement du raisonnement, la succession des idées. Attention : cela ne signifie pas qu'il faille réduire tous les paragraphes dans les mêmes proportions ; certains paragraphes peuvent être sans grand intérêt. C'est la suite des idées principales qui doit être rendue.
La synthèse se rédige à partir de ton plan de cours et ton résumé. Faire des synthèses nécessite souvent de modifier l'ordre chronologique du texte. Elles peuvent se présenter sous la forme d'un texte continu mais également sous forme de schéma, tableau, ligne du temps,…
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d'une production écrite) : au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l'analyse, au fond, pour ...
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, puis, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement … mais encore, voire, de surcroît, d'ailleurs, avec, en plus de, outre, quant à, ou, outre que, sans compter que…
3 – Conclure et amener le prochain paragraphe
Un paragraphe nécessite également une conclusion satisfaisante avec une phrase de synthèse. Il est aussi possible d'ouvrir sur le prochain paragraphe avec une transition. Conclure sur l'idée. Faire une transition vers le prochain paragraphe.
Comment formuler la problématique ? Par quoi commencer sa phrase ? Deux tournures sont très utiles pour lancer le débat : "En quoi ?" et "Dans quelle mesure ?" Les tournures "Par quels moyens... ?", "Pourquoi... ?" ou "Doit-on considérer que... ?" lancent également le débat.
Pour ajouter une idée à une autre
D'abord, et d'abord, tout d'abord... ensuite, par ailleurs. De plus, en outre. En premier lieu...