"Allahou Akbar" ou "Allahu akbar" signifie "Dieu est le plus grand" en arabe. Il faut ajouter le son "ou" à la fin du mot "Allah", qui désigne Dieu, pour respecter la grammaire exacte. Cette formule est très utilisée en islam et elle est appelée le "takbir".
Cette formule s'appelle takbir (arabe : تَكْبِير, takbīr), masdar (nom verbal) signifiant magnification, ou encore amplification, accroissement, augmentation et qui, dans le contexte de la formule Allahu akbar, prend le sens de proclamation de la grandeur [de Dieu].
3 douas après le takbir (juste avant la récitation de la fatiha) Le takbir et le fait de dire “Allahou akbar“. Le takbir cité ici est celui que l'on fait pour commencer sa prière. Il se nomme takbir al ihram.
selon les recommandations des projets correspondants. Tasbih (arabe : تَسْبِيح) est une forme de dhikr (remémoration de Dieu) qui implique l'invocation répétée de courtes phrases qui glorifient Dieu, en islam.
Sa prononciation change selon qu'il est sujet ou complément d'objet direct. Dans la phrase «Dieu est le plus grand», Dieu est sujet, il se dit et se lit donc en arabe «Allahou Akbar» et devrait être transcrit ainsi.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Invocation 1 à dire après la prière
Tu es la Paix et la paix vient de Toi. Béni sois-Tu, ô Digne de glorification et de munificence. Astaghfiru l-lâha (3 fois). Allâhumma anta s-salâmu wa minka s-salâmu, tabârakta yâ dhâ-l-jalâli wa-l-ikrâm.
Le misbaḥa ou masbaḥa (arabe : مسبحة), également appelé sabḥa, subḥa ou encore tasbih selon les régions, est le chapelet musulman utilisé pour le tasbih, la récitation des prières, le dhikr, ainsi que pour glorifier Allah.
C'est un moyen unique de communiquer avec Allah et ainsi pouvoir entretenir un lien particulier et personnel entre Allah et les serviteurs. La prière en islam est composée de 5 prières quotidiennes réparties du lever du soleil au coucher du soleil.
Le Douâa (duʿāʾ) (arabe : اَلدُّعَاءُ API : [duˈʕæːʔ], pluriel: ʾadʿiyah أدْعِيَة [ʔædˈʕijæ]) désigne une invocation dans l'islam. C'est une supplication par laquelle le musulman demande à Allah d'exaucer ses demandes.
Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue. À la mort du Prophète en 632, ses proches mettent à l'écrit le texte sacré. Il était jusqu'alors transmis à l'oral.
Dans l'islam, le dhikr ou zikr (de l'arabe ذِكْر [ḏikr], « souvenir », « rappel » et « invocation », « mention »), désigne à la fois le souvenir de Dieu et la pratique qui avive ce souvenir, consistant généralement en l'évocation rythmée et répétitive d'une prière ou d'une phrase sacrée, silencieusement ou à voix haute ...
Nombreuses sont les personnes qui se précipitent à faire le tasbih à la fin de leur prière, mais sans prendre le temps et sans accorder l'importance à cet acte d'adoration.
La lettre Lam – ل dans la prononciation du nom d'Allah – اللَّه lorsqu'elle est précédée d'une fatha ou d'une damma.
Quand s'établirent des confréries soufites (ṭarīqahs), chacune adopta un dhikr particulier pour le réciter dans la solitude (par exemple, à la suite de chacune des cinq prières quotidiennes obligatoires, appelées ṣalāts) ou en communauté, surtout à l'office du vendredi.
C'est au départ une création indienne qui remonte à des millénaires, et dont le but est de canaliser les pensées de l'homme autour d'une prière. Le chapelet a donc existé dans l'hindouisme et dans le bouddhisme bien avant d'apparaître comme support de la foi dans le christianisme d'Orient et d'Occident.
Utilisé dans diverses traditions religieuses (sous des noms différents), le chapelet permet de compter, en égrenant les grains, des prières récitées de manière répétitive.
On joint ses deux mains en les collant et on demande directement à Allah la chose souhaitée en levant ses mains au ciel. Cela peut être fait à voix haute, à voix basse ou dans sa tête.
Les trois dernières sourates : Al ikhlas, Al falaq, An-nas
Les trois dernières sourates du Coran (Al ikhlas, Al falaq, An-nas) font également partie des invocations du matin. Ces trois sourates ont également beaucoup de mérites. Il faut les réciter à trois reprises le matin.
Cependant le meilleur moment pour réciter les invocations et les évocations du matin, se situe entre l'aube (fajr) et le lever du soleil.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
(Rare) Dieu soit loué .
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.