La Moule de Corde est reconnaissable par sa coquille noire aux reflets jaune et bleu. Cette moule est élevée en mer sur des cordes suspendues. Son mode d'élevage, soit un maintien sous l'eau, lui permet de s'alimenter en permanence.
Moules de Corde (ou de filière)
Cette moule est élevée en mer sur des cordes suspendues appelées filières. Elle a un goût iodé très prononcé du fait de sa culture en pleine mer. En comparaison de la Moule de Bouchot, elle est de taille légèrement supérieure avec une couleur de chair plus soutenue.
Nous produisons nos moules de bouchot principalement en Normandie, en baie du Mont Saint Michel, en baie de Saint Brieuc et en Charente. Les moules de cordes sont quant à elles principalement produites en Charente.
Les moules de corde ont, de ce fait, un goût iodé bien plus prononcé et une coquille plus fragile. Par ailleurs, elles sont plus grandes que les moules de bouchot et leur chair a une couleur un peu plus soutenue.
La moule de corde est commercialisée entre mai et fin août. La moule commune (ou Mytilus edulis), la plus répandue et la plus consommée en Europe, se déguste de mai à février. La moule méditerranéenne (ou Mytilus gallo provincialis) ne quitte quasiment pas les étals de l'année. On peut donc en manger en toute saison.
La moule de bouchot : probablement celle qui a le plus de succès. Originaire de France, elle se déguste de juillet à novembre. Elle est petite et de couleur crème et orangée. La moule de Bouzigues : venue de Méditerranée, elle est plus charnue et plus grosse.
En effet, les Moules sont riches en protéines (20 g pour 100 g) et contiennent peu de lipides et de glucides (environ 3 g). Ce sont des trésors de bienfaits : elles figurent parmi les aliments les plus riches en calcium, magnésium, fer, zinc et sélénium.
La moule de corde est de taille légèrement supérieure avec une couleur de chair plus soutenue que la Bouchot, mais est un peu plus fragile. La chair de cette moule à un goût iodé très prononcé du fait de sa culture en pleine mer.
Plusieurs théories s'opposent : si pour certains les moules ne se dégustent qu'en été, pour d'autres elles se consomment pendant les mois ayant un “r”, c'est-à-dire de septembre à avril et pour d'autres seulement pendant les mois en “bre” c'est-à-dire de septembre à décembre.
La saison pour déguster les moules s'échelonne de juillet à janvier. L'élevage des moules, aussi appelée mytiliculture, fait de la Bretagne la deuxième région productrice derrière la Normandie.
Si elle se referme vite, alors elle est vivante et donc bonne à cuisiner. Si au contraire elle reste ouverte, elle est morte et il faut la jeter. Il est aussi préférable de se débarrasser d'une moule dont la coquille est abîmée.
Contrairement à la grande majorité des moules issues de l'élevage conventionnel, les moules bio naissent en mer (et ne sont pas donc issues d'écloserie) pour une traçabilité sans pareil de la naissance à la vente. Elles viennent ensuite se greffer toutes seules sur les cordes d'huîtres.
Quelle quantité de moule par personne
Comptez 400 g (1/2 litre) par personne s'il s'agit d'une entrée mais en plat unique, comptez 1 litre de moule par personne. Cela vous semble peut être beaucoup mais sachez qu'une moule se compose de : sa coquille : 40% de son poids.
À l'aide d'un couteau, ou simplement avec vos doigts, attrapez le byssus et tirez-le vers l'extérieur, vers la partie « pointue » de la moule, puis jetez les filaments. Ensuite, à l'aide de la pointe d'un couteau, grattez les petits coquillages ou les résidus calcaires qui ont pu se déposer sur la coquille.
Les moules à chair blanche et orange n'ont pas le même goût
Là encore, c'est faux. Cette nuance est tout simplement liée à une différence génétique qui influe sur la pigmentation, ou encore aux conditions climatiques.
La Française « moule de bouchot » est idéale pour concocter une bonne cocotte de moules marinières classiques, à la crème ou safranées pendant la saison estivale. La moule de Bouzigues se présente avec une coquille angulaire. Elle est plus iodée, plus prononcée et plus charnue que la moule de bouchot.
Pour autant, il faut laver les moules. Ainsi, elles seront débarrassées des impuretés, des grains de sable, des éclats de coquille… Pour autant, ne vous découragez pas : il n'est pas vraiment nécessaire, comme on l'entend parfois, de gratter les moules une à une. Un brassage énergique de l'ensemble sera suffisant.
Pour assurer une fraîcheur maximale au produit et éviter tout risque d'intoxication, placez vos moules au réfrigérateur, dans le bac à légumes, par exemple. Retirez les fruits de mer du sac plastique et enveloppez-les dans un linge humide. Il s'agit de la méthode la plus efficace.
La moule est un filtreur qui se nourrit des particules microscopiques présentes dans l'eau de mer (plancton, débris organiques). Si vous trouvez un petit crabe dans une coquille de moule, ce n'est pas du tout parce qu'elle l'a mangé. Ce crabe est un pinnothère qui vit simplement à l'abri dans la coquille de son hôte.
Les moules de Locquémeau sont élevées ainsi. Les moules de bouchot, élevées sur des pieux découverts à marée basse. En Bretagne, on en trouve principalement à La Plaine-sur-Mer (Loire Atlantique), à Pénestin (Morbihan), à Hillion dans la baie de Saint-Brieuc, et au Vivier-sur-Mer, dans la baie du Mont Saint-Michel.
L'anodonte ou Anodonta Grandis est la plus grosse moule de toutes nos eaux douces françaises et comme tout homme se doit de rendre hommage aux grosses moules voilà un article tout trouvé.
Les produits laitiers
Les yaourts nature au lait écrémé présentent ainsi un meilleur apport nutritionnel. Il en est de même pour le chèvre frais, la faisselle ou le fromage blanc, moins gras, moins salé et pourtant riche en calcium.
Les personnes atteintes de cancer, de maladies du foie, de diabète, de troubles du système immunitaire ou de troubles digestifs ne devraient manger des moules que lorsqu'elles ont été bien cuites.
Les moule sont très riches en fer, une portion de 100 grammes couvre d'ailleurs 80 % de l'apport recommandé journalier. Indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire, le fer favorise l'oxygénation du sang des cellules et des muscles.