La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire. J'ignore qui il a rencontré.
. Elle suit un verbe tel que dire, demander, s'informer, ou un verbe exprimant l'ignorance, et est introduite par un mot interrogatif. Elle ne se termine jamais par un point d'interrogation.
Formules interrogatives ce que et qu'est-ce que. Qu'est-ce que et qu'est-ce qui s'utilisent dans des phrases interrogatives directes, qui se terminent par un point d'interrogation. Les interrogations indirectes emploient quant à elles ce que et ce qui, et se terminent par un simple point.
(affirmative ou négative) en phrase interrogative directe. C'est la façon la plus simple de poser une question, très courante à l'oral. L'ordre des mots est le même que dans une phrase déclarative et, à l'écrit, le point d'interrogation est la trace de l'intonation : Vous me rappellerez ?
Elle permet en outre d'intégrer un questionnement dans une phrase déclarative. Dans le cadre d'une interrogation indirecte, la question est intégrée dans une phrase à l'aide d'une proposition subordonnée interrogative qui complète le verbe de la principale.
La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire. J'ignore qui il a rencontré.
On parle de discours indirect quand le narrateur rapporte indirectement les paroles d'une personne, c'est-à-dire en les transformant pour les intégrer dans sa narration. Elle dit qu'ils iraient visiter ce musée-là le lendemain.
II.
On distingue deux types d'interrogation : l'interrogation partielle, qui suppose l'apport d'une information manquante. L'intonation est descendante ; le terme interrogatif initial est mis en relief (ex : Qui a téléphoné tout à l'heure ?) ; l'interrogation totale, qui suppose une réponse par « oui » ou « non ».
Le pronom interrogatif peut aussi servir à formuler une interrogation indirecte, c'est-à-dire une question qui n'est pas dans une phrase interrogative. Le pronom interrogatif a alors le rôle de subordonnant et il introduit une subordonnée complétive. Il se demande quel serait le chemin le plus court.
INTERROGATION DIRECTE OU « TYPE INTERROGATIF »
On distingue deux sortes de phrases de type interrogatif : la phrase avec interroga- tion totale et celle avec interrogation partielle. Elles se terminent toujours par un point d'interrogation.
Discours indirect : les paroles sont retranscrites de façon indirecte par une proposition subordonnée, introduite par “que” ou “de”. Les guillemets et les points d'exclamation et d'interrogation disparaissent.
Discours indirect : Il rapporte les paroles en introduisant une subordonnée complétive (Il a dit qu'il aimait tant ses parents.) Il se caractérise par l'absence de guillemets ainsi que des points d'interrogation et d'exclamation.
Discours direct : Lila dit : “Viens chez moi !” Discours indirect : Lila lui dit de venir chez elle. Lila lui dit qu'elle vienne chez elle.
L'interrogation directe totale amène une réponse claire et courte par « oui » ou « non ». L'interrogation directe partielle porte sur un élément précis et amène une réponse autre que « oui » ou « non ».
Au style indirect, la question devient : - si le verbe introducteur est au présent ou au futur : Il demande si elle a bientôt fini. - si le verbe est au passé : Il a demandé si elle avait bientôt fini. La proposition est introduite par "si".
Quand la phrase interrogative est construite avec les mots interrogatifs « qu'est-ce que », « que » « quoi », on utilise « ce que » et quand il y a « qu'est-ce qui », on utilise « ce qui » au discours indirect. Paul te demande : « Qu'est-ce que tu vas faire ce matin ? »
La phrase interrogative sert à poser des questions. Elle se termine par un point d'interrogation : "?" Exemples : Vous restez là maintenant ?
L'interrogation totale, qui porte sur le contenu de l'ensemble de la phrase. Elle appelle une réponse en oui ou non (et variantes : sans doute, peut-être, sûrement, etc.) : Adèle continuera-elle à chanter ?
Se dit d'une phrase interrogative dont l'interrogation porte sur une phrase négative (par exemple Ne viendra-t-il pas demain ?).
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
Ce discours rapporté se caractérise par l'absence de verbe introducteur ou de guillemets, il passe inaperçu en somme. Il permet de retranscrire les pensées ou paroles d'un personnage et de conserver la fluidité de la narration.
Ce type de discours a souvent pour effet de brouiller la frontière entre la narration et l'énoncé. Il est souvent utilisé pour rapporter les pensées d'un personnage. Comme le discours indirect, il permet de ne pas rompre avec le récit tout en introduisant les pensées d'un personnage.
Toutefois, on peut mettre cette phrase au style indirect en remplaçant l'exclamative par une énonciative. 'Elle me vit arriver de loin et cria qu'elle me saluait en agitant les bras'.