Le « prendre soin » relève d'activités de soutien, d'accompagnement à la vie pour la maintenir, la développer, la réparer. Le soin gagne alors en pluralité ; les pratiques sont articulées à une double nécessité thérapeutique et éthique.
Pour prendre soin de l'autre au quotidien, il faut aussi se faire des compliments, rire ensemble, se raconter les moments heureux (ou pourquoi pas, les moments d'humour) vécus ensemble, se rappeler les bons souvenirs… rien de plus concrets pour prendre soin de son couple tous les jours !
Car dans l'un et l'autre cas – on y reviendra – celui qui est soigné ou aidé se remet en quelque sorte entièrement entre les mains d'un autre. Mais il y a entre eux deux cette différence profonde que si l'acte soignant agit « pour » le malade, l'acte du «prendre soin » s'efforce d'agir ou de faire « avec » lui.
Prendre soin de quelqu'un c'est s'occuper de son bien-être avec prévenance." Définition: moyens par lesquels on s'efforce de rendre la santé à un malade. "Le concept de soin est la représentation mentale d'un objet, d'un groupe d'objets ou d'une idée".
Prendre soin de soi est essentiel lorsqu'on souhaite préserver sa santé. Cela permet de ralentir, de se décharger du stress, de mieux gérer ses émotions et son énergie quotidienne, mais aussi de mieux se reconnecter à soi-même et à ses besoins profonds.
L'aide-soignant dispense des soins de la vie quotidienne ou des soins aigus pour préserver la continuité de la vie, restaurer le bien-être et l'autonomie en collaboration étroite avec son équipe, dont le médecin et l'infirmier.
Son rôle s'inscrit dans une approche globale de la personne soignée et prend en compte la dimension relationnelle des soins. L'aide-soignant(e) accompagne cette personne dans les activités de sa vie quotidienne, il contribue à son bien être et à lui faire recouvrer, dans la mesure du possible, son autonomie.
Par convention, « prends soin de toi » se veut être une maxime amicale, bienveillante et qui sonne comme une invitation à choisir un art de vivre particulier. C'est un message implicitement affectueux.
En avoir conscience permet d'éviter l'indifférence, la désillusion, l'épuisement et son cortège de dommages. Développer cette attention à soi qui libère le regard, être dans l'authenticité et la confiance dans la relation à l'autre, amène à « être dans le soin », à « prendre soin de l'autre ».
altruistes. altruisme. Qui s'occupe des autres de façon généreuse et désintéressée. Exemple : Un métier altruiste, un amour altruiste...
Accompagner au mieux mais ne jamais s'oublier, ne jamais négliger l'humanité que l'on partage avec ceux que l'on soigne. Cultiver cette étincelle qui nous anime, la protéger, c'est aussi pouvoir se permettre de la rallumer, la raviver chez l'autre quand elle faiblit.
Relation : lien, rapport entre deux individus qui leur permet de faire connaissance. Confiance : croire en la valeur humaine, affective, professionnelle d'une autre personne qui nous rend incapable d'imaginer que celle-ci peut nous trahir, être incompétente.
Ensemble des soins d'hygiène et de confort prodigués par l'infirmière et l'aide-soignante aux personnes dépendantes.
Un rapport malsain ou malveillant avec son propre corps peut s'exprimer de nombreuses manières : troubles du comportements alimentaire, mauvaise alimentation, hygiène de vie faible, surmenage, manque de confiance en soi, manque d'estime de soi, troubles du sommeil...
1Dès 1859 les 4 grands concepts appliqués aux soins infirmiers, soins, personne, santé et environnement étaient présents dans les écrits de Florence Nightingale.
La prise en charge du patient est établie en fonction d'une évaluation initiale et régulière de son état de santé. Les besoins spécifiques du patient sont identi- fiés et pris en charge. La prise en charge du patient est coordonnée au sien des secteurs d'activité cliniques. La continuité des soins est assurée.
L'Organisation mondiale de la Santé ( OMS ) offre une définition de la santé simple : « La santé est un état de bien-être physique, mental et social complet et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité » .
Cette expression est apparue au XIXe siècle dans l'univers médical pour désigner le fait de soigner quelqu'un, de lui dispenser des soins. L'expression est toujours utilisée dans son sens initial.