Un enfant heureux est forcément joyeux Certes, un enfant épanoui, équilibré, qui va bien dans sa tête, qui est confiant dans la vie, sourit et rit beaucoup avec ses parents et avec ses copains.
Boris Cyrulnik : Un enfant heureux, c'est un enfant qui est à la fois sécurisé et dynamisé. Il ne peut pas être heureux tout le temps, mais, s'il l'est, c'est qu'il a été sécurisé et donc désangoissé. Lorsqu'un bébé naît, il ignore tout de ce monde. Pour lui, tout est un danger s'il est seul.
Un enfant épanoui est heureux d'aller à l'école, de retrouver ses copains et ses copines. Il est bien entouré sur la cour de récréation. Il aime apprendre et faire des expériences. Il aime découvrir, il aime goûter, toucher, humer, écouter…
Le plaisir immédiat n'a rien à voir avec ce qu'on peut enseigner à un enfant : l'acceptation de soi, l'acceptation des autres, l'acceptation de la réalité. Un enfant heureux, c'est un enfant qui se connaît bien, qui est capable d'être en lien avec les autres et qui compose avec les aléas de la vie.
Une irritabilité, des difficultés de concentration et de sommeil. Cela peut parfois s'accompagner d'une attitude “régressive”, les parents ayant l'impression que leur enfant retrouve un comportement qu'il avait à un âge plus jeune (pleurs, caprices, attitude adhésive, pipi au lit…). Un état de nervosité.
L'enfant qui « va bien » construit ses racines pour « grandir bien » et devenir un adulte qui ira « suffisamment bien ». Celui-ci pourra alors trouver un juste équilibre qui lui permette de répondre à ses propres besoins et respecter ceux des autres.
Les pâtes arrivent en tête des aliments préférés des enfants. Elles plaisent quelle que soit leur forme et se cuisinent à toutes les sauces. Pas besoin d'être un chef pour réussir ce plat simple et rapide, il suffit de concocter des pâtes à la bolognaise ou bien faire un gratin avec des pâtes et des légumes.
Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
Le désir d'enfant lui est davantage une envie de donner de l'amour, de donner naissance à un être dont on va prendre soin et aider à grandir. Ce peut être aussi un désir de transmission d'une partie de nous et une envie de fonder sa propre famille.
Ce que nous aimons chez nos enfants, surtout lorsqu'ils sont bébés, c'est notre propre plaisir. L'amour de nos enfants nourrit ainsi en réalité notre propre narcissisme. Lorsque nous sourions à notre enfant, ce n'est pas à lui que nous pensons, mais à nous-mêmes.
Profiter de chaque instant avec les enfants
Pour leur faire savoir qu'ils valent plus que tout l'or du monde, montrez-leur votre affection. Donnez des petits surnoms tout mignons surtout quand vous êtes à la maison. Le fait de ressentir cet amour rassure les enfants.
43% des parents ayant trois enfants ou plus préfèrent le dernier enfant, un tiers d'entre eux choisissant l'enfant du milieu et seulement 19 % l'aîné.
Les petits Néerlandais seraient les enfants les plus heureux du monde, . Plusieurs raisons expliqueraient ce classement.
C'est l'enfant qui requiert le plus d'attention et en général, la fratrie accepte cette réalité, même si cela peut enclencher de la souffrance. La place de l'enfant joue également – le préféré peut être plus souvent l'aîné, ou bien le petit dernier.
Lorsqu'un enfant est fatigué, il va avoir tendance à beaucoup bailler, se frotter les yeux ou encore les oreilles. Le regard trahit lui aussi la fatigue, que cela soit par des cernes sous les yeux ou un regard plus vague, qui fixe un point dans le vide…
Vous pouvez commander un test de paternité, sur le site internet d'un laboratoire de tests ADN par correspondance ou bien vous rendre sur place s'ils accueillent du public. Assurez vous que celui que vous choisirez soit un laboratoire agréée et qu'ils expliquent clairement où et comment seront faites vos analyses.
Pour rendre votre enfant heureux, ne lui donnez pas tout ce qu'il veut, apprenez-lui à choisir ses priorités, à tolérer la frustration, à limiter ses désirs. Expliquez-lui qu'il y a des choses qu'on peut avoir et d'autres pas, c'est la vie !
Il faut alors trouver le bon équilibre pour garder son calme et l'accompagner afin qu'il puisse se calmer. Le prendre dans ses bras, lui permettre de pleurer, lui parler doucement pour l'inviter à respirer doucement tout en lui expliquant que l'on comprend ce qu'il ressent.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.