Le capital circulant désigne le capital qui est transformé ou détruit au cours du processus de production. Il s'agit des biens intermédiaires tels que les matières premières et les produits semi-finis. Le capital fixe est le capital technique durable utilisé durant plusieurs cycles de production.
Le facteur capital regroupe les biens nécessaires à la production. Il s'agit d'un ensemble de biens et de services qui peuvent être utilisés lors de plusieurs cycles de production. En effet, ils ne sont pas détruits au cours d'un de ces cycles (exemple : machines, matériel de transport).
L'actif circulant se calcule comme suit : stocks + créances clients = 500 + 200 = 700. Conclusion : l'actif circulant est une donnée financière important qui est calculée à partir d'un bilan. Il est l'une des composantes du besoin en fonds de roulement (BFR).
Le coût du travail est l'ensemble des dépenses liées à l'utilisation du facteur travail (dont notamment le salaire), celui du capital l'ensemble des dépenses nécessaires à la mise en œuvre de l'actif (prix d'acquisition, de livraison et d'entretien) et celui de la terre l'ensemble des dépenses liées à son utilisation.
Ces richesses sont composées des stocks d'actifs de cinq grands types de capitaux : humain, social, produit, financier et naturel.
Le capital productif circulant désigne les actifs détenus par l'unité de production (ensemble des biens et services utilisés pendant un cycle de production : matières premières, énergie, fournitures, services nécessaires à chaque stade de la production) et destinés à ne pas y rester durablement, c'est-à-dire pendant ...
S'inscrivant en partie dans cette lignée, Pierre Bourdieu (1930-2002) décrit l'espace social comme un champ hiérarchisé par le capital économique, le capital culturel et le capital social détenus par les individus.
On distingue deux types de facteurs de production essentiels à l'activité productive : les facteurs primaires et les facteurs secondaires. Les facteurs primaires correspondent aux ressources naturelles, au travail et au capital. Les facteurs secondaires correspondent à l'information et au capital humain.
Le capital fixe productif se distingue du capital productif circulant, en particulier, par sa durée d'utilisation, ou encore son délai d'immobilisation ou bien encore sa durée de vie par rapport à celle du processus de production.
Le capital contribue à la croissance économique car introduire davantage de machines dans la combinaison productive permet d'augmenter les quantités produites, donc la croissance. Par exemple si une usine de production automobile double le nombre de ses chaînes de production, la production double donc croissance.
Contrairement à des biens immobiliers ou du matériel industriel, les actifs circulants sont mobilisables sur le court-terme. Par exemple : les soldes de trésorerie, les créances clients, le stock (marchandises, matières premières), les valeurs mobilières de placements ou autre placements financiers à court-terme.
Parmi tous les actifs, il faut distinguer l'actif immobilisé (fonds de commerce, matériel notamment) et l'actif circulant (stocks, personnel, créances clients, solde bancaire créditeur, par exemple). Le passif correspond aux moyens de l'entreprise pour financer ses actifs.
Le passif circulant en détail
Les dettes fournisseurs : Il s'agit des sommes dues aux fournisseurs pour l'achat de matières premières, de marchandises ou de services. Les dettes fiscales : Elles représentent les impôts et taxes à payer dans l'année, comme la TVA, l'impôt sur les sociétés, la taxe professionnelle, etc.
L'analyse économique retient deux grands facteurs de production : le capital et le travail, plus communément dénommés « les machines et les hommes (main-d'œuvre) ». La combinaison de ces deux facteurs est utilisée par les agents économiques, parmi lesquels les entreprises, afin de produire et de créer de la richesse.
Le facteur travail est un facteur de production constitué des ressources en main-d'œuvre mobilisées par les unités de production pour produire. Le facteur travail a deux aspects : Un aspect quantitatif : le volume d'heures de travail. Un aspect qualitatif : le facteur travail n'est pas homogène.
La substitution du capital au travail consiste à remplacer l'homme par la machine dans le but d'améliorer l'efficacité de la production, c'est-à-dire la productivité.
La formation brute de capital fixe (FBCF), aussi appelée "investissement", se définit comme l'acquisition d'actifs fixes produits (incluant l'achat d'actifs d'occasion) et la production de tels actifs par les producteurs pour leur propre usage, minorées des cessions.
Le travail, également appelé capital humain, est souvent considéré comme l'un des principaux facteurs de production. En effet, la main-d'œuvre peut avoir un impact sur la croissance économique - l'augmentation du PIB réel par habitant résultant de l'augmentation de la productivité soutenue au fil du temps.
Il se calcule donc en divisant le montant des investissements de l'entreprise, appelé formation brute de capital fixe, par la valeur ajoutée de l'entreprise, soit la production effectivement réalisée par l'entreprise, le tout multiplié par 100.
Comment améliorer le facteur capital? Pour augmenter son capital fixe, une entreprise doit réaliser des investissements. Elle effectue ensuite des amortissements pour constater l'usure et l'obsolescence des biens. Ses investissements permettent d'augmenter le niveau de production de biens et services.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
Les facteurs de 6 sont 1, 2, 3 et 6. Les facteurs de 4 sont 1, 2 et 4.
Le capital circulant désigne le capital qui est transformé ou détruit au cours du processus de production. Il s'agit des biens intermédiaires tels que les matières premières et les produits semi-finis. Le capital fixe est le capital technique durable utilisé durant plusieurs cycles de production.
Où figurent les capitaux propres en comptabilité ? Les capitaux propres figurent au passif: titleContent du bilan comptable (colonne de droite) parce qu'ils constituent une dette envers les associés ou actionnaires de la société.
Comme nous l'avons vu, le capital social correspond au montant des apports des associés. Les capitaux propres représentent, quant à eux, les ressources internes dont dispose la société à long terme.