Le parachute est une méthode d'administration de substances psychoactives qui consiste à envelopper la substance dans une feuille (papier à cigarette, serviette en papier) puis à l'absorber par voie orale.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
La MDMA se consomme de plus en plus sous forme de parachutes ou "paras" : dans une feuille de papier à rouler, on enveloppe les cristaux éventuellement réduits en poudre avant de tout gober.
On dit que l'ecstasy est la drogue de l'amour car elle a pour effet d'induire un état d'euphorie et d'empathie pour les autres qui favorisent les relations (effet empathogène).
Il s'agit, entre autres, des symptômes suivants : grincements des dents, douleurs aux mâchoires, transpiration, augmentation de la tension artérielle et du rythme cardiaque, anxiété ou crises de panique, vue trouble, nausées, vomissements et convulsions.
La consommation de MDMA/ecstasy, comme d'autres substances psychoactives, peut avoir des conséquences graves, voire mortelles pour le fœtus ou l'enfant à naître. Il est donc recommandé aux femmes enceintes ou qui allaitent de renoncer à la consommation de substances psychoactives.
Cette nouvelle drogue “le volet” sous forme de bonbon est vendue dans les boites de nuit de Dakar. C'est un protoxyde d'azote. Il permet aussi de transformer la voix à la manière de l'hélium mais est 100 fois plus dangereux et très addictif.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le plaisir est constitutif de la drogue. Tous les travaux de recherche neurologique en attestent, les drogues activent les circuits de récompense du cerveau, comme le sexe, la nourriture ou le sport, et procurent donc du plaisir. De ce point de vue, c'est donc un plaisir tout à fait comme un autre.
La « drogue de l'amour », la « D », la « MD »… Autant de petits noms pour désigner la MDMA (3,4-méthylènedioxyméthamphétamine), un stupéfiant plus connu quand il se trouve sous la forme d'ecstasy, qui signe son retour en Europe.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Personne qui pratique le saut en parachute. Ce terme militaire désigne le soldat qui fait partie d'unités spéciales dont les éléments sont destinés à combattre après avoir été parachutés.
Certains antidépresseurs, ainsi que des drogues comme la cocaïne et l'ecstasy, peuvent provoquer le grincement des dents pendant le sommeil et l'éveil. La maladie de Parkinson, la dépression et les troubles anxieux peuvent également y contribuer.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
L'opium semble être la première substance de cet ordre à avoir été découverte par l'homme, il y a 8 000 ans, un peu partout dans le monde. Dans le plus ancien langage écrit connu, le sumérien (3 100 avant Jésus-Christ), on trouve un idéogramme présentant une fleur d'opium comme " la plante de la joie ".
Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne. Prendre appui sur votre entourage peut être précieux. L'associer à votre décision peut vous aider à ne pas affronter seul les nombreux changements occasionnés par l'arrêt.
La prise en charge médicale peut se faire soit à l'initiative de la personne toxicomane elle-même, soit à la suite d'un signalement. Un(e) toxicomane peut bénéficier d'une cure de désintoxication. La justice peut également prononcer une injonction thérapeutique.
Les symptômes d'arrêt brutal de la substance correspondront alors à une exacerbation des effets liés aux neurotransmetteurs endogènes « noyant » le système nerveux central. À ces effets seront associés les symptômes du manque.
La dépendance est due à un déséquilibre du fonctionnement neurobiologique à la suite d'une consommation régulière d'une substance psychoactive. Ce déséquilibre entraîne l'envie de consommer à nouveau la substance psychoactive, pour ne pas subir les effets désagréables consécutifs à l'arrêt de sa prise.
1. L'héroïne. Cette drogue de la famille des opiacés agit très rapidement, surtout lorsqu'elle est administrée par injection. Son passage dans le cerveau est ainsi 100 à 1.000 fois plus facile qu'avec la morphine.
Le snus a les propriétés suivantes : Le snus est une pâte humide composée de tabac finement moulu. Sous forme de petites boules ou de petits sachets similaires à un sachet de thé, il est coincé sous la lèvre supérieure ou inférieure et maintenu dans la bouche aussi longtemps que souhaité.
Drogues dures, c'est quoi ? L'ecstasy, l'héroïne, la cocaïne, et son dérivé, le crack, ainsi que le GHB, sont, quant-à-elles, classées dans ce que l'on nomme les "drogues dures."
Bien que le MDMA reste le produit principalement recherché dans un comprimé, aujourd'hui, on désigne par ecstasy (ou taz, tata, XTC, plomb, cachetons, bonbons... ) tout cachet contenant des produits stimulants et plus rarement des hallucinogènes.