Un vers, en poésie, est une « phrase », qui se trouve dans une strophe. On peut dire aussi qu'un vers est une ligne d'un poème. Un vers commence généralement par une majuscule.
Les vers. Un vers, c'est une ligne d'un poème. Il commence le plus souvent par une majuscule par une majuscule, et ne se termine pas forcément par un point.
Un poème en vers libres est un poème qui ne présente aucune structure définie. Les vers sont de longueur variable et peuvent être rimés ou non. Le poème en vers libres n'est pas nécessairement constitué de strophes et ne respecte pas un rythme fixe, c'est-à-dire que le nombre de pieds par vers est variable.
Comment mesurer un vers ? Dans un poème, le mètre se définit par le nombre de syllabes du vers. Pour mesurer un vers, il faut compter les syllabes prononcées. Exemple : C'était l'heure tranquille où les lions vont boire (Victor HUGO).
Assemblage de mots, mesurés selon certaines règles (coupe, rime, etc.), rythmés d'après la quantité des syllabes, comme chez les Grecs et les Latins (vers métriques), d'après leur nombre, comme en France (vers syllabiques), ou d'après l'accentuation comme chez les Anglais et les Allemands (vers rythmiques).
Une strophe est un ensemble de vers pouvant comporter une disposition particulière de rimes, formant avec d'autres un poème, des lignes blanches les individualisant.
L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes.
Un décasyllabe est un vers de dix syllabes.
Dans ce cas là, un vers (défini par son nombre total de syllabes) recouvre donc deux mètres différents. Ainsi l'ennéasyllable peut être un mètre 3+6 ou 4+5. Le décasyllabe peut être une composition de 4 + 6 syllabes ou de 5 + 5 syllabes, mètre dit taratantara, (mais non de 2 + 8 ou 3 + 7 syllabes).
Le vers se définit en fonction du nombre de syllabes. Parmi les vers pairs qui confèrent souvent une certaine régularité au rythme du poème, on distingue entre autres : l'alexandrin (12 syllabes), le décasyllabe (10 syllabes), l'octosyllabe (8 syllabes) et l'hexasyllabe (6 syllabes).
Étymologiquement, le vers (de vertere, tourner), qui va à la ligne, s'oppose à la prose qui, elle, va tout droit (prorsum). Cette définition paraît simple.
En poésie, pour compter les syllabes d'un vers, il faut prendre en compte la règle dite des e muets. On compte le e lorsqu'il est placé devant une consonne et on ne le compte pas lorsqu'il est placé devant une voyelle, ou bien lorsqu'il est en fin de vers.
Le vers est l'équivalent d'une ligne en prose. Il se distingue par une majuscule et un retour à la ligne. Un vers ne correspond pas nécessairement à une phrase. ATTENTION : le nombre de syllabes d'un vers dépend très souvent de la prononciation ou non des « E muets » !
Un vers, en poésie, est une « phrase », qui se trouve dans une strophe. On peut dire aussi qu'un vers est une ligne d'un poème. Un vers commence généralement par une majuscule.
Par contact indirect : Les œufs peuvent passer d'une personne infectée à des objets, comme des jouets, les sièges de toilette, le bain, les vêtements ou la literie. Si la personne infectée partage ces objets, d'autres personnes peuvent se trouver avec des œufs sur les mains et les porter à leur bouche.
On sépare les syllabes entre une voyelle et une consonne. Lorsque trois consonnes se suivent et sont différentes, on sépare après la deuxième consonne. On ne sépare jamais les groupes qui forment un seul son comme « ch », « ph », « th », « gn », « cr », « br » etc.
Qu'est-ce qu'un vers en poésie ? Le vers est une unité formée par un ou plusieurs mots écrits sur une ligne unique, qui se mesure selon certaines règles. Chaque vers, en fonction du nombre de syllabes qui le compose, porte un nom spécifique, et donne une force au vers.
La disposition des rimes est généralement la suivante?: abba/abba/ ccd/eed (ou ede). C'est un poème de trois strophes qui ont les mêmes rimes et le même nombre de vers, suivies d'un «envoi», de moitié plus court que la strophe, où l'on s'adresse au destinataire.
Un monostique est, comme l'indiquent les deux racines grecques qui le composent, une strophe d'un seul vers. Ce terme s'emploie aussi comme adjectif. La variante monostiche est utilisée par de nombreux auteurs ainsi que par des universitaires compétents en linguistique.
Le nom d'un vers dépend de son nombre de syllabes. Les vers de 1 à 12 syllabes sont appelés : monosyllabe, dissyllabe, trisyllabe, tétrasyllabe (ou quadrisyllabe), pentasyllabe, hexasyllabe, heptasyllabe, octosyllabe, ennéasyllabe, décasyllabe, hendécasyllabe, alexandrin (ou dodécasyllabe).
Mesure, rythme du vers. Dans la poésie française, le mètre dépend du nombre des syllabes qui composent un vers. Se dit aussi parfois du vers lui-même. Choisir pour mètre l'alexandrin, le décasyllabe.
(du Roman d'Alexandre, XIIes.) Vers français de douze syllabes. (Par exemple On a souvent besoin d'un plus petit que soi.)
(Versification) Qui a douze syllabes et se compose de deux hémistiches. Note : L'utilisation du nom alexandrin est beaucoup plus fréquente que celle de la locution vers alexandrin. Les tragédies, les poèmes épiques sont ordinairement écrits en vers alexandrins.
dès 1130-1145 ds la Canso d'Antiocha, le nom d'alexandrin est issu du Roman d'Alexandre, car c'est le seul ouvrage où le dodécasyllabe s'emploie avec des rimes plates, les alexandrins rimant deux par deux [dans les chansons de geste les alexandrins sont groupés en laisses, dans les poèmes relig.