La motricité fine correspond à l'ensemble des mouvements précis, coordonnés et contrôlés des mains et des doigts que l'on va mobiliser dans le but d'accomplir un geste volontaire. Ces mouvements sont essentiels pour l'autonomie au quotidien : pour manger, s'habiller, tenir un stylo…
La motricité est la capacité à faire des mouvements avec son corps. On distingue deux types de motricité. La première est la motricité globale, elle concerne tout le corps. La seconde est la motricité fine, elle cible l'utilisation des mains et des doigts pour réaliser des tâches minutieuses.
Ensemble des fonctions nerveuses et musculaires permettant les mouvements volontaires ou automatiques du corps.
Critères d'évaluation de la motricité involontaire
On évalue l'hypertonie spastique grâce à l'échelle d'Ashworth modifiée. Pour cela, on positionne le(la) patient(e) en décubitus dorsale stricte, et où ensuite, on va le(la) mobiliser le plus rapidement possible (1 seconde ou moins) sur toute l'amplitude du mouvement.
Le développement de la motricité globale permet à un enfant d'exercer son équilibre et sa coordination et d'utiliser ses grands muscles.
La gymnastique, pour l'équilibre
En multipliant les divers sauts et déplacements latéraux, la gymnastique est un bon moyen de développer la motricité des enfants.
Motricité fine à la naissance : le réflexe d'agrippement ou grasping. Motricité fine à 1 mois : premiers mouvements désordonnés. Motricité fine à 3 mois : la préhension au contact. Motricité fine à 4 mois : le début de la préhension volontaire.
Pourquoi développer la motricité fine ? Dès le plus jeune âge, la motricité fine chez l'enfant va lui permettre de : Découvrir son corps, ses sens et ses fonctions. Participer aux activités de la vie quotidienne.
Le système moteur
La commande du mouvement se fait par les voies de la motricité, un réseau de neurones connectés se coordonnant pour générer le mouvement. La motricité est aussi un apprentissage. Lorsque nous apprenons à écrire ou à jouer d'un instrument, nos réseaux de neurones se connectent de façon spécifique.
Parmi elles, on compte notamment la tétraplégie et la paraplégie. Elles provoquent des troubles au niveau de la conduction de l'influx nerveux (moteur et sensitif). Dans ces circonstances, la paralysie des membres inférieurs et supérieurs est proportionnelle au niveau d'atteinte de la moelle épinière.
Pour développer les capacités motrices des enfants, rien de tel que leur faire faire des déplacements divers et variés : une roulade sur un tapis en mousse, reproduire les gestes de la nage, rouler comme un saucisson…
→ L'enfant devrait être capable d'utiliser un crayon de bois, avec prise à 3 ou 4 doigts, appuyé dans la commissure entre le pouce et l'index. Il devrait avoir une émergence des mouvements des doigts (non seulement du poignet). Votre enfant semble présenter des difficultés?
porter bébé le plus souvent possible à la maison ; bercer votre enfant dès qu'il en ressent le besoin ; poser le sur le dos pour qu'il joue avec son corps ; éviter de le mettre trop longtemps dans un transat, un siège-auto ou un Youpala.
La Motricité Renforcée® est une solution de transformation simple réalisée à partir d'un véhicule de série 4x2 à deux ou quatre places (V.U. ou V.P.). Celle-ci apporte des aptitudes exceptionnelles en évolution tout chemin, voire aussi en tout-terrain léger.
Pratiquer les retournements avec bébé plutôt que de le mettre sur le ventre ou sur le dos directement. Se coucher avec lui au sol et jouer au miroir pour l'encourage à se retourner. Jouer avec lui sur le ventre avec des jouets : il tentera de les agripper et de les porter à sa bouche.
La motricité en crèche
On mettra en place plutôt des ateliers sous forme de parcours de motricité permettant la pratique de plusieurs actions simples : sauter, passer au-dessus/en-dessous, grimper, courir, ramper, rouler, maintenir son équilibre,… Le plaisir que lui procurent ces mouvements est son moteur.
Le cortex moteur
Le contrôle des mouvements volontaires des différentes parties de notre corps y revient au « cortex moteur », situé dans le lobe frontal.
Le principal objectif de la motricité libre est de permettre à l'enfant de développer seul ses capacités motrices, il expérimente de nouvelles positions et peut ainsi identifier et tester les limites de son corps. Cela lui permet de progresser à son rythme, en prenant confiance en lui.
Franchir un obstacle que vous aurez créé en plaçant par exemple un drap entre deux chaises, une corde à sauter ou un élastique. Sauter à pieds joints ou sur un pied, vers l'avant ou vers l'arrière, en franchissant un obstacle, dans un cerceau, des coussins disposés au sol ou du haut d'une chaise.
Les parcours de motricité peuvent être utilisés dès la naissance et jusqu'à l'âge de 6 ans. Ils sont spécialement conçus pour accompagner les progrès physiques et sensoriels des bébés tout en donnant aux parents une occasion de les encourager et de les stimuler.
Ces habiletés l'aideront à maîtriser certaines activités physiques, comme s'asseoir, ramper, marcher, courir, grimper, sauter, et plusieurs autres mouvements que son corps lui permet de faire. Développer la motricité globale aide beaucoup au développement de la motricité fine.
Nos jeux de motricité fine en bois
Les jeux de motricité fine et jeux éducatifs aident les enfants à développer leur dextérité, se concentrer et à réaliser des choses qui demandent de la précision et du calme.
La coordination motrice est la capacité à réaliser un geste précis et intentionnel, avec vitesse (rapidité d'exécution), efficacité (le but est atteint) et fiabilité (taux de reproduction élevée), grâce à l'action conjuguée du système nerveux central et de la musculature squelettique.