La diverticulose colique correspond à la présence d'un ou plusieurs diverticules dans le côlon. La plupart des diverticules sont asymptomatiques, mais certains sont inflammatoires ou saignent. Le diagnostic repose sur la coloscopie, l'endoscopie par capsule, le lavement baryté, la TDM ou l'IRM.
Potentiellement grave par ses complications (abcès, fistule, hémorragie, péritonite, rétrécissement de l'intestin), la diverticulite peut récidiver et devenir invalidante. Dans ce cas, un traitement chirurgical peut être prescrit pour enlever la zone du côlon qui porte les diverticules.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Habituellement, 1 seul diverticule est en cause, situé dans le sigmoïde. Douleur : - Début brutal, persistante. - Localisée en FIG, irradiant dans le dos fréquemment.
Si ces diverticules deviennent irrités, une inflammation locale risque de se produire. Cette réponse peut entraîner des spasmes du côlon plus intenses, une enflure et une obstruction partielle du côlon, et même une franche perforation du diverticule accompagnée d'une fuite de fèces et de gaz dans la cavité abdominale.
2 fruits par jour. consommer 25 g de fruits secs par jour : noix de coco séchée, raisins secs, dattes, etc. 25 g de fruits secs apportent 2 g de fibres. les végétaux les plus riches en fibres : les petits-pois, les salsifis, les choux, l'artichaut, les céleris raves, les haricots-verts ou encore les carottes.
La diverticulose se caractérise par la présence d'un ou plusieurs diverticules, des protubérances de la taille d'une bille. Elles s'observent généralement sur le côlon et l'intestin grêle, mais peuvent aussi apparaître sur tout le tube digestif. La diverticulite est une inflammation de ces diverticules.
Une fois formé, un diverticule ne peut disparaître par lui-même. Il semble que la meilleure mesure de prévention pour éviter la diverticulose colique est un régime alimentaire bien équilibré et à haute teneur en fibres aussi tôt que possible dans la vie.
La colopathie est un trouble intestinal qui peut s'accompagner de : douleurs importantes qui peuvent irradier dans le dos ou la racine des cuisse, dyspepsie (douleurs et malaise dans la région supérieure de l'abdomen), brûlures d'estomac, crampes, ballonnements, et perte de poids inexpliquée.
En cas de diverticulite compliquée : Une colectomie prophylactique peut être discutée en cas de complication associées telles qu' un abcès, une sténose symptomatique .... La chirurgie peut être proposée en cas de répétition des crises entrainant une réelle altération de la qualité de vie.
la douleur abdominale est le symptôme le plus fréquent. Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
Le polype intestinal est une tumeur bénigne, de taille variable. Il est nécessaire de le retirer du fait du risque potentiel de cancérisation.Il est à différencier du diverticule colique qui est, au contraire, une hernie au travers de la paroi colique, mais qui ne se cancérise jamais.
Les patients qui ont une maladie diverticulaire symptomatique non compliquée ont une douleur abdominale de la fosse iliaque gauche avec des ballonnements, une constipation, de la diarrhée ou l'élimination de mucus par le rectum.
Parfois qualifiée d'appendicite gauche, les symptômes les plus courants de la diverticulite sont, dans 90 % des cas, des douleurs dans la partie gauche basse du ventre, la fièvre chez un patient sur 2, de la constipation et, parfois, une augmentation du taux de globules blancs dans le sang.
Pour prévenir l'infection des diverticules, on va se tourner vers des tisanes antiseptiques (thym ou menthe poivrée), ou des huiles essentielles (citron, à raison d'une goutte sur une cuillère de miel) tout en luttant contre la constipation.
Les aliments à privilégier
Avoine, seigle, orge, riz, millet et quinoa. Pomme, banane, pêche et nectarine, fruits rouges, pamplemousse. Légumes cuits, betterave, épinard, poivron, céleri, laitue, pomme de terre et patate douce, haricots verts, carotte, courge, courgette.
Quel est le risque de complication ? Affectant l'ensemble du côlon, la pancolite est une forme grave de colite. En l'absence d'un traitement médical adéquat, le développement de l'inflammation peut entraîner des effets néfastes pour la santé. Une pancolite augmente notamment le risque de cancer du côlon.
Il arrive parce que votre corps à du mal à éliminer seul le gaz, comme il le fait pour la nourriture que vous ingurgitez. Parfois, même la digestion en elle-même crée des gaz dans votre abdomen. S'ils ne sont pas évacués, ils s'accumulent dans votre estomac et vos intestins, faisant de votre ventre un ballon.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.