Un claustrophobe a une peur irrationnelle des espaces confinés. Lorsque confronté à sa peur, un claustrophobe peut même faire une crise de panique. La claustrophobie est une phobie spécifique et est classé comme un trouble anxieux dans le DSM5.
La claustrophobie se caractérise par une peur panique des espaces clos et de l'enfermement. Les personnes qui en souffrent éprouvent de grandes difficultés ou ne peuvent tout simplement pas se trouver dans un ascenseur, un métro, un télésiège ou encore de petites pièces ou une cabine d'IRM.
La claustrophobie se développe lorsque les espaces confinés sont psychologiquement synonymes de danger imminent. Elle est la conséquence d'une expérience traumatisante vécue durant l'enfance, bien que les symptômes peuvent apparaître à n'importe quel moment dans la vie d'un individu.
(Nosologie) État d'angoisse provoqué par le fait d'être enfermé ; peur, horreur des lieux clos.
Les symptômes de la claustrophobie
Comme pour toutes les phobies, le premier symptôme est une peur intense et irraisonnée : peur de se trouver dans un espace clos ou peur en anticipant un espace clos. Cette peut est en lien avec la respiration. Les personnes claustrophobes ont peur de manquer d'air.
Traitement. Traiter une claustrophobie est un travail de longue haleine nécessitant l'expertise d'un spécialiste. En effet, ce trouble peut être soigné grâce à des séances de psychothérapie. Ces thérapies permettent de déterminer l'origine des crises d'angoisse afin de proposer au patient, le traitement le plus adapté.
Si vous êtes un peu claustrophobe, inutile de rester assis plus longtemps qu'il ne faut dans l'avion. Surtout, ne comptez pas sur l'alcool pour vous détendre. Consommé dans ce genre de contexte, il augmente l'anxiété et favorise les crises de panique en accélérant le rythme cardiaque.
L'agoraphobie est l'inverse de la claustrophobie. Ici, la personne a peur de se retrouver dans des espaces ouverts, souvent pas crainte de ne pas trouver l'aide et l'assistance d'une équipe médicale, à temps, en cas de besoin.
Un traitement médicamenteux (anxiolytiques, sédatifs) peut vous aider à traverser une situation d'anxiété. Mais en aucun cas il ne vous permettra de traiter la claustrophobie. D'autres solutions telles que le yoga, la méditation et la relaxation peuvent vous aidez à contrôler vos crises.
Un examen d'IRM est souvent utilisé pour établir un diagnostic. Pour les patients souffrant de claustrophobie (peur des espaces confinés et des lieux clos), l'expérience est traumatisante. La simple idée de devoir rester cloitré 15 à 45 minutes dans un appareil en forme de tunnel peut provoquer des palpitations.
Le diagnostic sera posé par un médecin / psychiatre. La personne phobique présente des symptômes d'anxiété ou d'angoisse dès lors qu'elle est mise en situation phobogène (c'est à dire face à l'objet de son angoisse).
La peur de parler en public, aussi appelée glossophobie, est l'une des principales manifestations de l'anxiété sociale, au même titre que la peur d'écrire ou de manger en public. Cette peur est courante et très répandue : elle toucherait en effet près de 75% de la population mondiale.
L'hypnose pour vaincre la claustrophobie
L'hypnose propose deux solutions pour vaincre la claustrophobie : l'hypnose placer l'individu dans un état augmenté de conscience. Le patient n'est pas endormi mais éveillé. Il est actif et participe massivement à sa guérison.
Issue du grec philo, qui signifie "amour" et de phobos, qui signifie "peur", la philophobie désigne littéralement la peur de tomber amoureux/se.
La buspirone (Buspirone Génériques), un anxiolytique dénué d'effet sédatif, est également utilisée pour soulager les symptômes anxieux en cas de phobie.
L'hypocondrie se définit par la peur excessive de tomber malade et, plus particulièrement, d'avoir une maladie grave. La personne atteinte d'hypocondrie analyse son corps fréquemment et s'inquiète dès l'apparition d'un signe physique tel qu'un bouton, des palpitations ou une crampe, par exemple.
Difficultés. Impassible = qui ne manifeste aucune émotion. Impavide = qui n'éprouve ou ne manifeste aucune peur. Impassible se dit dans tous les registres, impavide est littéraire et rare.
Nombre de gens qui se disent agoraphobes sont en fait démophobes : ce ne sont pas les lieux ouverts ou les espaces publics qui les oppressent, mais la foule. L'agoraphobie ne doit pas non plus être confondue avec l'ochlophobie qui correspond à la peur de la foule en tant que masse oppressive.
Les personnes souffrant de peur de l'avion ou aérophobie ressentent une anxiété anticipatoire à partir du moment où un voyage en avion est planifié. Cette anxiété anticipatoire s'accroit au fur et à mesure que la date du voyage s'approche pour devenir intense dans les quelques heures précédant le vol.
Si vous les craignez, nous vous conseillons de choisir une place à proximité des ailes, au milieu de l'avion quand cela est possible. A cet endroit, on ressent moins les turbulences éventuelles. Et surtout, restez bien attaché sur votre siège lorsque le personnel de bord vous le demande.
Si le recours à ces derniers est indispensable (départ en urgence par exemple), on prescrit classiquement une benzodiazépine type alprazolam, qui agit assez rapidement (30 min-1 h) et reste active pendant 6-8 heures, permettant aux patients de « passer le cap » sur des vols à moyen-courrier.
L'acrophobie fait partie des phobies les plus courantes dans la population. Plus intense qu'un simple vertige, elle se traduit par une peur excessive et irrationnelle des hauteurs et du vide en l'absence de tout danger réel. Cette phobie peut toucher n'importe qui, n'importe quand.