Une uvéite est une pathologie inflammatoire affectant l'œil. Cette maladie bien que peu fréquente est cependant souvent à l'origine d'une perte de la vision. En l'absence d'un diagnostic précoce et d'une prise en charge adéquate, elle peut en effet aboutir à une cécité.
Potentiellement grave, l'uvéite est à l'origine de divers troubles oculaires (rougeur et douleur des yeux, baisse de la vision) et peut, dans certains cas, mettre en jeu le pronostic visuel.
Les causes de l'uvéite peuvent être infectieuses ou non infectieuses. Parmi les agents infectieux susceptibles de provoquer une inflammation intraoculaire figurent des virus (comme l'herpès), des bactéries (comme la tuberculose ou la syphilis) ou des parasites (comme la toxoplasmose).
L'une d'elles, l'uvéite, peut entraîner des conséquences relativement graves si elle n'est pas traitée à temps. Diagnostiquée, elle se soigne et n'a aucun impact sur la qualité de la vue.
Corticostéroïdes sous forme de collyres, comprimés ou injection. Si j'ai une uvéite de type antérieur, le traitement consistera généralement à utiliser des collyres formulés à base de corticostéroïdes, notamment au début de la prise en charge. Ils seront ensuite administrés “en entretien” et plus espacés dans le temps.
Les signes sont d'abord oculaires. Les signes faisant suspecter une inflammation oculaires sont : la douleur oculaire, la sensibilité à la lumière (photophobie), une baisse de l'acuité visuelle et un œil rouge œil rouge. Elle peut être d'origine infectieuse ou auto-immune.
Pour cela, des anti-inflammatoires, comme des corticostéroïdes, peuvent être prescrits. Il peut s'agir de gouttes à mettre dans les yeux. En cas de forme chronique, des injections intraoculaires, c'est-à-dire des injections directement dans l'œil, peuvent se révéler nécessaires.
Définition. Un œil rouge et/ou douloureux, une baisse de la vue peuvent être les symptômes d'une inflammation ou d'une infection oculaire. Les infections peuvent être dues à de nombreux micro-organismes bactériens, viraux, ou parasitaires, et peuvent toucher toutes les tuniques de l'œil.
Curcuma. Le curcuma est une plante herbacée vivace réduite en poudre afin de donner une épice. D'après plusieurs études, il aurait grâce à ses propriétés inflammatoires des effets intéressants dans le traitement de l'uvéite2,3.
Placez-vous au-dessus d'un lavabo rempli d'eau fraîche (qui va servir à asperger les yeux). Expirez, prenez dans la bouche une grande gorgée d'eau. Et gardez-la. Inspirez profondément puis, à tour de rôle, la main droite et la main gauche vont chercher de l'eau et en asperger chaque œil une dizaine de fois.
Des collyres mydriatiques sont également administrés pour dilater la pupille qui calment la douleur et évitent que l'iris s'attache au cristallin, ce qui évite le besoin d'examiner le fond de l'œil et qui aide à réduire le risque de subir une pression intraoculaire élevée.
Tunique intermédiaire du globe oculaire essentiellement vasculaire où l'on distingue en arrière la choroïde (uvée postérieure) en avant le corps ciliaire et l'iris (uvée antérieure).
Le traitement des uvéites repose sur les corticoïdes, qui peuvent être administrés en gouttes (collyres), en injection locale, et parfois par voie générale (orale ou intraveineuse). Les uvéites infectieuses nécessitent des traitements anti-infectieux spécifiques selon les causes.
Dans quel cas le médicament INDOCOLLYRE est-il prescrit ? Ce collyre contient un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Il lutte contre l'œdème qui peut survenir après une chirurgie de l'œil. Il est utilisé dans la prévention et le traitement des complications d'opération du cristallin ou de la cornée.
Dans le cas d'une occlusion de la veine centrale de la rétine, l'AVC de l'œil se caractérise par une baisse de l'acuité visuelle rapide, un œil calme et non douloureux, et une sensation de brouillard.
L'hypermétropie (hyperopia), en particulier, fatigue les yeux et provoque des maux de tête lorsqu'elle n'est pas corrigée. Souvent, vous avez les deux après avoir lu ou avoir utilisé l'ordinateur pendant longtemps. C'est pourquoi il est spécialement fatigant pour les hypermétropes de conserver les images nettes.
Dans la kératite ponctuée superficielle, le patient rapporte une douleur oculaire associée à un larmoiement, une photophobie intense (sensibilité à la lumière), une rougeur et une vision légèrement floue. Ces signes s'accompagnent souvent d'une sensation de brûlure, de sable ou de corps étranger dans l'œil.
Parfois, la partie blanche de l'œil devient rouge. Cela survient généralement lorsque de petits vaisseaux sanguins à la surface de l'œil gonflent en raison d'un influx de sang supplémentaire. Parfois, cela est dû au fait que certains de ces petits vaisseaux sanguins se rompent et saignent.
Les infections de la cornée, tissu transparent situé à la surface de l'œil devant l'iris, sont appelées des kératites infectieuses. Superficielles ou profondes, elles peuvent être causées par des bactéries, des virus ou plus rarement par des parasites (amibes libres) ou par des champignons.
Nos pupilles, habituellement contractées quand nous sommes calmes ou fatigués, se dilatent lorsque nous sommes stressés. Or, des pupilles constamment dilatées, en cas de stress chronique, peuvent rendre les yeux sensibles à la lumière, entraîner de la fatigue visuelle et même une vision floue.
Le stress peut entraîner une augmentation de la pression artérielle, ce qui peut augmenter la pression oculaire.
2) Le glaucome à Angle Ouvert (G.A.O.)
Autrefois appelé Glaucome Chronique, cette affection oculaire est d'autant plus grave qu'elle est d'évolution lente et pratiquement sans signe d'appel. La maladie est due à une gêne à l'évacuation de l'humeur aqueuse vers les espaces extra oculaires.