Le déterminant annonce le genre du nom avec lequel il s'accorde : la, une, cette, ma... = féminin. Le nom impose son genre à chaque adjectif du groupe. La marque du féminin se crée sur la finale du masculin : ajout de -e ; transformation de er/ère, ier/ière, eux/euse, en/enne, ien/ienne, on/onne.
Au pluriel, la différence entre le masculin et le féminin n'est pas visible, et les déterminants sont les mêmes : les, des, mes, tes, ses, ces, etc. L'adjectif qualificatif peut s'accorder en genre avec : le nom noyau dans le groupe nominal (adjectif épithète) ; le sujet lorsqu'il est attribut du sujet.
Les grammaires distinguent en général huit catégories de déterminants (ou présentateurs) qui apparaissent dans l'environnement du nom : les articles, les adjectifs possessifs, les adjectifs démonstratifs, les adjectifs interrogatifs, exclamatifs, les adjectifs indéfinis, les relatifs et les numéraux.
La règle générale est qu'on accorde le déterminant et l'adjectif qualificatif en genre et en nombre avec le nom auquel ils se rapportent. Ex. : Nous avons visité ces châteaux l'été dernier. Le nom châteaux est au masculin pluriel ; on accorde donc le déterminant démonstratif ces au masculin pluriel.
Le nom est le donneur d'accord. Il donne son genre et son nombre aux receveurs : le déterminant et l'adjectif ou l'adjectif participe. L'adjectif ou l'adjectif participe en relation avec plusieurs noms du même genre reçoit ce genre et s'accorde au pluriel.
Il s'accorde au pluriel quand il désigne plusieurs choses ou personnes. Par exemple, une brosse à cheveux. Il reste au singulier lorsqu'il désigne une seule chose ou un nom « non-comptable » (une chose qu'on ne peut pas dénombrer).
Règle générale : on forme le pluriel d'un nom en ajoutant -s au singulier. Attention cependant aux cas particuliers ! Les noms en -au, -eau, -eu font leur pluriel en -x : un tuyau → des tuyaux, sauf bleu, landau, pneu, sarrau qui forment leur pluriel en -s.
Au pluriel on met un s ou un x à la fin des noms ( le mot que l'on ne peut pas supprimer dans le groupe nominal comme par exemple "chat" dans "le petit chat blanc") et des adjectifs (les mots qui donnent des détails sur le nom comme par exemple "petit" et "blanc" dans "le petit chat blanc").
L'adjectif s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Il est généralement placé avant ou après le nom qu'il qualifie.
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?". Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel. Pour le genre, désolé mesdames, mais le masculin l'emporte.
Ces quatre champs sont : les caractéristiques individuelles; • les milieux de vie; • les systèmes; • le contexte global.
Le déterminant donne des précisions à propos du nom. Il permet d'indiquer si le nom désigne une réalité précise ou non. Un ours a mangé le piquenique de ces campeurs. Cet ours a mangé le piquenique de ces campeurs.
Dans ces cas, moins fréquents, qui remplace le pronom un ou une. Avec les enchaînements un de ceux-là, une de celles-là, l'accord se fait généralement au singulier. Je vous présente Jean Blois, un des chercheurs qui a été honoré pour ses travaux.
L'article partitif s'utilise le plus souvent avec l'article défini le, la, les, avec lequel il se contracte dans certains cas : masculin singulier : du devant une consonne, de l' devant une voyelle ou un h muet : Tu as du courage ! Il avait bu de l'alcool.
Le Trésor de la langue française nous éclaire. De la même façon que l'on ne mettra jamais de «s» au mot «chacun», on évitera d'accorder le terme «chaque», qui rejette le pluriel. On notera donc: «Chaque femme riait», «à chaque génération», «chaque matin», etc. Et pour une fois, il n'y a pas d'exception qui tienne!
Il est possible qu'un adjectif qui se rapporte à plusieurs noms. Il faudra donc respecter certaines règles d'accord. Si ces noms sont coordonnés par une conjonction (et, ou…), alors l'adjectif se met au pluriel. Si au moins l'un des noms est au masculin, alors l'adjectif sera au masculin.
Mais depuis le XVIIe siècle, l'attribut peut s'accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu'elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d'être ensemble, elles pourront s'exclamer « On est contentes ! » ; l'accord se faisant au féminin pluriel.
Règle générale. La forme féminine d'un nom s'obtient en ajoutant un E muet à la finale du masculin.
Lorsqu'un nom est accolé à un verbe conjugué, le verbe ne prend pas de « s ».
Autrement dit, dans un groupe nominal tous les mots doivent avoir le même genre et le même nombre. Pour accorder au féminin, on ajoute souvent un « e » et pour marquer le pluriel un « s » et dans certains cas un « x ».
Amour, délice et orgue : des mots masculins au singulier et féminins au pluriel. Ces trois mots dans la langue française ont une particularité assez étonnante : ils sont masculins au singulier et ils sont féminins au pluriel. Il s'agit des mots amour, délice et orgue.
- Les noms de matière et les noms abstraits s'emploient au singulier : le beurre, l'orgueil. - On utilise le pluriel quand le nom désigne plusieurs êtres ou plusieurs objets : les commerçants, des allumettes.