Quand il est employé avec l'auxiliaire « être », il s'accorde en genre et en nombre avec le nom (ou le pronom) auquel il se rapporte. Quand il est employé avec l'auxiliaire « avoir », le participe passé ne s'accorde jamais avec le groupe sujet et reste invariable si le COD est placé après lui.
L'accord du participe passé avec l'auxiliaire « avoir » L'accord du participe passé avec les verbes pronominaux. L'accord du participe passé avec un infinitif. L'accord du participe passé avec « en »
Lorsque le COD du verbe n'est pas le pronom, le participe passé : s'accorde avec le COD s'il est placé avant le verbe : As-tu vu la robe qu'elle s'est offerte ? Voilà les objectifs qu'il s'est fixés.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire « avoir » ne s'accorde jamais avec le sujet. Exemple : Elles ont vendu leurs vieux livres. Il s'accorde en genre et en nombre avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe. Exemple : Les livres qu'elles ont vendus sont vieux.
La règle : avec le verbe avoir, le participe passé est invariable. Mais le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe -mais pas avec un COI.
Il est possible qu'un adjectif qui se rapporte à plusieurs noms. Il faudra donc respecter certaines règles d'accord. Si ces noms sont coordonnés par une conjonction (et, ou…), alors l'adjectif se met au pluriel. Si au moins l'un des noms est au masculin, alors l'adjectif sera au masculin.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi. Ils auraient réussi s'ils avaient suivi nos conseils.
l'auxiliaire “avoir”, mis au participe présent ---> AYANT + le participe passé du verbe, par ex: mangé, choisi, pris, perdu...... -Ayant été malade pendant des semaines, elle a accumulé bien du retard. -Ayant fait des progrès remarquables, elles ont été récompensées.
Les verbes : »Devenir, Revenir, Monter, Rester, Sortir, Venir, Aller, Naître, Descendre, Entrer, Rentrer, Tomber, Retourner, Arriver, Mourir, Partir et Passer » se conjuguent avec l'auxiliaire être au passé composé.
L'auxiliaire avoir est employé lorsqu'on veut insister sur l'action évoquée, alors que l'auxiliaire être sert plutôt à exprimer le résultat ou l'état qui résulte de cette action. J'ai déménagé en juillet. (ou : Je suis déménagée en juillet.) Il a stationné en double file.
Pour trouver le COD, la bonne question à se poser est QUOI ? ou QUI ? juste après un verbe. On obtient ainsi une phrase composé de la manière suivante : sujet + verbe + quoi ou sujet + verbe +qui.
Passé employé sans auxiliaire : règle générale
Le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Les jours passés à travailler seront payés. Julie semble exténuée.
Avec l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas au sujet PARTICIPE PASSE. Elle a mangé. Ils ont fait. Avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde au sujet (-e au féminin, -s au pluriel, -es au féminin pluriel).
Quand le pronom « en » représente le complément d'objet direct (COD) du verbe, le participe passé reste invariable : Des bêtises, j'en ai fait ! = J'ai fait des bêtises. Ici, le COD est « en », qui reprend « des bêtises ».
Le complément d'objet direct, ou COD, fait partie du groupe verbal. Le COD désigne l'objet de l'action et répond à la question « sujet +verbe + qui ? » ou « sujet + verbe + quoi ? ». Il n'est jamais introduit pas une préposition, mais suis directement le verbe. C'est pour cela qu'on l'appelle complément d'objet direct.
Le participe passé employé seul (sans auxiliaire avoir ou être) s'accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte, comme un adjectif : Un Canada branché. Deux emplois sur cinq créés au Canada. Toutes les autres nations industrialisées.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas. Pourquoi ? Parce qu'on pose la question : La trottinette que j'ai reçue a plu à qui ?
Comment écrire le mot vu dans une phrase qui contient cette formule ? Que faut-il mettre à la fin : un e , un s ou rien du tout ? Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
Mais comment savoir si l'on a affaire à un participe ou un adjectif ? Le participe garde une valeur verbale ; il peut avoir des compléments (complément d'objet, compléments circonstanciels...) ; en revanche, il n'est pas gradable. L'adjectif n'a plus de compléments ; en revanche il est gradable.
Les VERBES conjugués s'accordent en nombre et en personne avec le nom noyau de leur sujet. Ce sujet peut être un pronom ou un groupe nominal plein. Il précède souvent le verbe, mais il arrive qu'il soit postposé au verbe. Le sujet du verbe chanter et le pronom chacun qui est singulier de manière inhérente.
Le participe passé ne s'accorde pas lorsque le verbe pronominal réfléchi ou réciproque admet un C.O.I. Les participes passés des verbes suivants sont invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se convenir, se nuire, se mentir, s'en vouloir, se ressembler, se sourire, se suffire, se survivre.
Mais depuis le XVIIe siècle, l'attribut peut s'accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu'elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d'être ensemble, elles pourront s'exclamer « On est contentes ! » ; l'accord se faisant au féminin pluriel.
Le COD peut être un nom, un groupe nominal, un pronom, ou un infinitif.