Déléguer entièrement une tâche sans y penser et sans revenir dessus et faire confiance à l'autre dans sa réalisation. Déléguer des tâches même partielles aux enfants pour se décharger. Organiser une pause familiale (réunion) pour mettre en mots ce qui surchage votre esprit.
un sentiment de culpabilité, l'impression ne jamais faire assez bien par rapport aux autres, une grande fatigue physique et mentale, des troubles du sommeil : difficulté d'endormissement, insomnies ou réveils nocturnes, des troubles de l'humeur : irritabilité, emportement excessif pour des détails, par exemple.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
A un niveau personnel, la charge mentale, lorsqu'elle est trop importante, peut donc avoir des conséquences sur la santé et présenter des risques. Troubles du sommeil et de l'attention, et dans les cas les plus graves, épuisement ou burn out.
Elle serait liée à la faculté d'anticiper les conséquences de ses propres actions à long terme et donc proportionnelle à l'intensité d'une angoisse : celle d'oublier de devoir faire quelque chose d'important.
La charge mentale à la loupe
Preuve de popularité, la charge mentale entrait dans l'édition 2020 du Larousse, définie comme « poids psychologique que fait peser (plus particulièrement sur les femmes) la gestion des tâches domestiques et éducatives, engendrant une fatigue physique et, surtout, psychique ».
On parle de surcharge de travail lorsque la quantité de travail à réaliser dépasse ce que l'on est capable d'accomplir dans le temps imparti. Résultats : une tendance à rester plus tard au bureau, voire à travailler de chez soi, le soir et le week-end.
Prendre sa vie en main commence par adopter une attitude positive orientée vers l'action d'une part et vers l'acceptation d'autre part. En effet, travaillons sur nous afin de changer ce qui ne nous convient pas et qui est en notre pouvoir, et acceptons ce sur quoi nous ne pouvons agir.
S'occuper de sa santé mentale et physique. Faites de l'exercice régulièrement. L'exercice est bon pour la santé physique, mais il a également des bienfaits sur la santé mentale. Ne vous mettez pas à faire 5 heures de sport du jour au lendemain, commencez doucement...
Quand le cerveau surchauffe, sa tension devient corporelle.» Fatigue, irritabilité, troubles du sommeil, crises d'angoisse, bouffées de chaleur, migraines… A la longue, le cerveau risque d'y perdre ses capacités de régénération, prévient Bernard Anselem.
La « charge émotionnelle », ou « charge affective » est le pendant émotionnel de la charge mentale. Trop souvent oubliée, elle peut pourtant devenir trop lourde à porter et provoquer stress, anxiété, burn out, démotivation et même maladies.
Dans certaines études, la charge mentale réfère à la quantité de ressources mentales à mobiliser pour l'effectuation d'une tâche. Une version moins restrictive renvoie à l'ensemble des exigences et des pressions psychologiques exercées sur le psychisme du travailleur.
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Étapes. Chaque fois que vous ressentez une émotion désagréable, arrêtez-vous et demandez-vous à quoi vous étiez en train de penser. Remarquez le dialogue interne qui vous habite, ce que vous vous dites après qu'une situation est passée, les pensées et croyances automatiques qui mènent aux émotions que vous vivez.