Le prédateur agit certes de manière brutale et sans égard envers sa victime ; cela joue un rôle incontestable sur la psychologie de celle-ci, la blessant.
Là où le "simple addict" est lui-même victime, débordé par ses pulsions, le "prédateur-pervers" tire son plaisir du mal qu'il fait à sa victime. Conséquence, ces prédateurs sont quasiment tous des hommes de pouvoir. ... Qui abusent de leur pouvoir avec stratégie.
Homme qui vit de rapines, de butins.
Un prédateur sexuel est une personne considérée comme obtenant ou tentant d'obtenir des actes sexuels avec une autre personne d'une manière métaphoriquement « prédatrice » ou abusive.
Le prédateur sexuel commet éventuellement des enlèvements concrets et des séquestrations. S'il entretient déjà une relation régulière avec sa proie, il lui paraît impossible de la poursuivre clandestinement et de la dissimuler aux yeux du monde. Alors il l'enlève et l'enferme, comme dans le cas Fritzl (cf. chapitre 6).
Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective… Ces personnes ont tendance à être violentes et à maltraiter sur le plan émotionnel.
Le spinosaurus, le plus grand prédateur jamais découvert.
Yvane Wiart estime que ce qui distingue un agresseur d'une victime est la notion de culpabilité : un agresseur ne se sent jamais coupable (c'est toujours la faute de l'autre) alors qu'une victime a tendance à se rendre coupable de tout, tout le temps.
Il est narcissique car il semble ne penser qu'à lui, se servant d'autrui pour obtenir satisfaction de ses propres besoins, transformant l'autre en objet devant se comporter selon son bon vouloir, dans une absence totale de reconnaissance et d'empathie pour ce qu'il lui fait vivre.
En effet, un pervers manipulateur répugne à lâcher sa proie, victime expiatoire de son narcissisme blessé.
Généralement, les proies des PN sont des personnes altruistes, généreuses, empathiques, ayant une propension à la culpabilité. Ce sont également des personnes qui possèdent des valeurs, un idéal fort. Tout ce donc le PN a besoin pour phagocyter sa proie.
Selon une étude, l'être humain surclasse largement tous les autres prédateurs. Ses principales victimes : les poissons et les gros carnivores terrestres. Un comportement qui met en danger la survie même de nombreuses espèces.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Comment le contrer : il est essentiel de ne pas se soumettre au harceleur. Plus on cède, plus ses exigences seront nombreuses et intenses. La meilleure alternative est de lui faire prendre conscience de la situation anormale qu'il génère, expliquer ce que l'on ressent sans critiquer directement son comportement.
Dites fermement et d'une voix très forte « stop » ou « arrêtez » en regardant la personne dans les yeux. Cela paraît stupide, mais un changement de niveau de voix et une injonction si ferme peut déstabiliser et surprendre l'agresseur.
Malgré l'hétérogénéité des profils d'auteurs d'agression sexuelle, un intérêt sexuel déviant (ou paraphilie) et des sont deux conditions explicatives essentielles de l'agression sexuelle1.
Conserver une posture défensive. Protégez votre visage. Si l'agresseur essaye de vous donner un coup de poing ou de vous attaquer au visage, placez vos mains sur votre front afin d'esquiver les coups et gardez vos bras proches de votre corps.
L'orque, elle, n'a personne à sa droite : c'est une prédatrice, qui n'a elle-même aucun prédateur : c'est elle qui est la superprédatrice.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Les jaguars sont les prédateurs ultimes d'Amazonie : ils n'ont aucun prédateur naturel.
Certains agresseurs vont jusqu'à accuser leurs victimes d'être elles-mêmes négligentes, voire carrément maltraitantes. Il s'agit d'un jeu psychologique, utilisant l'influence et la perte de repères pour parvenir à des fins de domination.
Pour certains hommes en situation d'autorité, l'agression sexuelle est une manière d'asseoir son pouvoir et de s'affirmer invulnérable. Le silence des victimes peut durer longtemps parce que leur faire porter la faute est une méthode propre aux agresseurs, et parce que le public admire souvent ces dirigeants.
Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique étrange qui peut se produire entre une victime et son bourreau. Certains otages ou victimes peuvent développer pendant leur captivité une certaine empathie, voire sympathie, à l'égard de leur geôlier.