La vaccination permet de protéger une personne contre le développement de certaines maladies infectieuses dues à des micro-organisme (bactéries ou virus). Lors de la vaccination, on injecte dans l'organisme un microorganisme inactivé ou atténué.
Il existe des facteurs qui contribuent à la persistance de l'infection HPV notamment le tabac, les partenaires multiples, une faible défense immunitaires, une infection par d'autres maladies sexuellement transmissibles. Dans plus de 80 % le virus disparaît par les défenses de l'organisme et n'entraine aucune séquelle.
Le papillomavirus
L'huile essentielle d'eucalyptus à cryptone a spécifiquement en charge de nettoyer l'éventuelle présence de ce virus, responsables de condylomes, comme les papillomavirus.
Les papillomavirus oncogènes, responsables de ces cancers, provoquent le développement de lésions précancéreuses qui peuvent évoluer en cancer au bout de plusieurs années. Le papillomavirus humain (HPV) est le plus souvent éliminé spontanément par le système immunitaire de la personne contaminée.
L'ablation chirurgicale au laser CO2 est utilisée pour détruire les condylomes et les verrues, surtout les verrues plantaires et certaines verrues des muqueuses. L'exérèse chirurgicale peut aussi se faire au bistouri (curetage) ou avec une anse électrique (électrocoagulation)
Le risque de cancer varie suivant les génotypes : les génotypes 16, 18, 31, 33 et 35 sont les plus dangereux. D'autres HPV provoquent des dysplasies bénignes : les condylomes ano-génitaux.
Des chercheurs du Health Science Center de l'Université du Texas à Houston (Etats-Unis) révèlent qu'un extrait du champignon japonais Shiitake (Lentinula Edodes) serait efficace dans le traitement du Papillomavirus humain (HPV), la cause principale du cancer du col de l'utérus.
Vivre avec le VPH
Les verrues génitales peuvent être traitées à l'aide de médicaments en crème ou éliminées en les gelant (cryothérapie), en les brûlant (électrothérapie) ou en effectuant une intervention chirurgicale.
D'autres produits sont parfois employés : l'imiquimod, l'acide trichloroacétique, la cimétidine et le 5-fluoro-uracile ou 5-FU (souvent utilisé pour les verrues génitales).
Celles-ci sont causées par une infection par un papillomavirus humain (HPV) qui résisterait, selon le gastro-entérologue, plusieurs jours au chlore des piscines. Ces virus ne se transmettant que par contact, le risque d'être concerné par l'une des souches HPV responsables des infections génitales est en revanche nul.
des douleurs persistantes dans le dos, les jambes ou le bassin ; une perte de poids, de la fatigue, une perte d'appétit ; des pertes vaginales malodorantes et une gêne au niveau du vagin ; et.
Il n'existe aucun médicament qui guérit le VPH, mais on peut se faire vacciner contre certaines souches du virus. L'usage régulier de condoms peut réduire, mais non éliminer le risque de contracter ou de transmettre le VPH lors des relations sexuelles.
La contamination par le HPV est dans la majorité des cas asymptomatique. Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Le risque de récidive après une conisation
Ce risque de développer une nouvelle lésion à 5 et 10 ans est aux alentours de 15% à 20%, selon les études et le grade de la lésion.
L'HPV en cause lors de la conisation n'est plus retrouvé chez la majorité des femmes opérées. Ainsi, 3 à 6 mois après l'intervention, 63 à 80 % des femmes opérées ont un test HPV négatif lors du contrôle (8, 9).
Ainsi, un test HPV positif signifie juste qu'on a mis en évidence la présence d'une infection à HPV à haut risque sans savoir s'il s'agit d'une infection récente, qui va guérir naturellement et sans conséquence ou s'il s'agit d'une infection persistante, éventuellement associée à une lésion du col utérin, voire à un ...
Papillomavirus humain : plusieurs cancers possibles
Des saignements anormaux (en dehors des règles ou après la ménopause), des douleurs lors des relations sexuelles et des difficultés à uriner doivent vous pousser à consulter rapidement un gynécologue.
Histoire naturelle. Une infection à HPV se résorbe spontanément dans plus de 80 % des cas, y compris en l'absence de traitement (phénomène appelé « clairance virale »). Environ 70 % des infections se résorbent spontanément un an après l'infection par le HPV et 90 % deux ans après l'infection.
Le premier symptôme d'un cancer de la gorge lié aux HPV est généralement le gonflement d'un ganglion lymphatique dans le cou. Et ces tumeurs se développent le plus souvent à hauteur des amygdales.
La transmission peut avoir lieu par voie cutanée (caresses), par des supports souillés (linge de toilette), mais aussi lors du contact entre une muqueuse infectée et une muqueuse saine (rapport sexuel vaginal, oral ou anal). Le virus est absent du sperme, de la salive ou du sang.
La vaccination va permettre de réduire de façon considérable le risque de lésion précancéreuse et donc de cancer. C'est aussi pour cette raison qu'en 2020, le dépistage va évoluer : le test HPV sera recommandé après 30 ans, tandis que le frottis ne sera utilisé que pour les femmes entre 25 et 30 ans.
Est-il possible d'avoir un frottis normal et un test HPV positif ? Oui, en fonction de l'âge de la patiente, il est dans ce cas recommandé de répéter le test HPV. La persistance de cette infection au-delà de 12 mois impose de réaliser des investigations complémentaires (colposcopie, biopsie..).
HPV est habituellement transmis par un contact direct peau à peau, le plus souvent pendant un rapport sexuel avec pénétration. D'autres formes de contact intimes, sans pénétration, peuvent être à l'origine d'une transmission HPV, même si elles semblent moins fréquentes.
Parler de son IST à son ou ses partenaires permet de limiter la propagation de l'infection. Préparer son annonce peut permettre d'être plus à l'aise lors du dialogue avec son ou ses partenaires.