Être aimant et attentionné, parler souvent avec votre enfant et lui lire des histoires font partie des bons gestes à poser pour l'aider à réussir à l'école. Évitez d'avoir des attentes trop élevées envers votre enfant.
Rapprochez-vous de l'équipe pédagogique de l'école pour envisager leur intervention. Certaines écoles primaires, collèges ou lycées proposent un soutien scolaire gratuit, pendant les pauses repas ou après la fin des cours. Renseignez-vous auprès de l'équipe pédagogique.
Il faut expliquer les raisons pour lesquelles il est nécessaire de travailler et de responsabiliser l'enfant en lui donnant des tâches à accomplir. N'hésitez pas à leur donner des responsabilités adaptées à leur âge et à leur niveau, pour qu'ils se sentent valorisés et en confiance.
Discutez avec lui de ses préférences et de ses contraintes, et trouvez ensemble un calendrier ou un emploi du temps qui lui convient. Cela donne à l'adolescent un sentiment de contrôle sur son travail scolaire. On préférera ainsi l'accompagnement plutôt que l'ordre.
Avant tout, insistez pour que votre enfant aille à l'école.
Encouragez-le à affronter ses peurs tout en le rassurant. Dites-lui qu'il est normal d'avoir des craintes, qu'il est capable de les affronter et que vous êtes là pour lui. Faites équipe avec son enseignante pour qu'elle soit votre alliée dans cette situation.
L'échec scolaire d' élèves de primaire est souvent dû à un trouble de l'apprentissage: dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, dyscalculie, TDAH ou précocité. Pour le savoir, il faut consulter un neuropsychologue . Il vous aidera à y voir plus clair et vous conseillera des aménagements à mettre en place en classe.
Encouragez-le à expliquer sa pensée. Petit à petit, invitez l'enfant à estimer lui-même le temps qu'il pense nécessaire pour faire tel exercice ou apprendre telle leçon et à se challenger lui-même pour y parvenir. Il pourra être alors maître du Time Timer. À lui de remporter le défi qu'il se sera lancé.
Rappelez-lui aussi l'objectif final et aidez-le à diviser ses tâches en étapes lorsque c'est possible. Voir qu'il progresse vers son objectif le motivera. Une fois l'objectif atteint, prenez le temps de souligner sa persévérance. Incitez votre enfant à reconnaître et à exprimer ses pensées et ses émotions.
Les règles doivent être claires et connues. Employez des mots que votre enfant comprend, selon son âge. Formulez la règle de manière positive. Par exemple, dites : « Je veux que tu parles sur un ton calme », plutôt que « Si tu n'arrêtes pas de crier, tu te retires dans ta chambre sans télévision ».
Selon Ajuriaguerra, en 1974, dans le refus scolaire anxieux, « il s'agit d'enfants ou d'adolescents qui, pour des raisons irrationnelles, refusent d'aller à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou de panique quand on essaie de les y forcer ».
La dysphasie est un trouble du langage qui s'exprime par des atteintes de nature et d'intensité variables. Elle se répercute sur le bon fonctionnement du langage oral et la plupart du temps écrit (compréhension de phrases puis de textes, rédaction, etc.).
Les difficultés scolaires peuvent avoir de nombreuses causes : une intelligence trop limitée, un trouble d'apprentissage, un manque de confiance en soi, une indisponibilité d'origine psychologique, un manque de motivation.
Symptômes des troubles de l'apprentissage
L'apprentissage de la lecture et de l'écriture peut être retardé. Les autres symptômes peuvent consister en une attention de courte durée, la distraction (rappelant le trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité
On peut parler d'échec scolaire quand les performances scolaires d'un élève s'écartent de façon trop importante en moins de ce qu'on pouvait attendre au vu du niveau intellectuel (le « trop importante » pourrait être opérationnalisée par exemple sur la base des corrélations entre Ql et réussite scolaire).
L'enfant doit sentir que ses parents accordent de l'importance aux apprentissages qu'il réalise à l'extérieur du contexte familial. Mais, il doit également prendre conscience que les devoirs et les leçons relèvent de sa responsabilité propre et non celle de ses parents.
Faire un lien direct entre les actions et les échecs ou les réussites permet à l'élève de garder confiance en ses capacités et de se motiver à tenter de nouvelles méthodes pour réussir. Actions possibles pour l'enseignant : Associer l'échec à une mauvaise stratégie et non aux capacités.
Cette fois, nous nous intéressons, plus particulièrement, à l'influence exercée par trois facteurs sur la performance individuelle des élèves : l'état d'esprit et les attitudes des élèves par rapport à l'école, les pratiques pédagogiques et le recours aux technologies de l'information.
Leur origine peut être génétique : il peut s'agir d'une mauvaise construction ou organisation de certaines parties du cerveau. Il peut aussi s'agir d'un accident cérébral au cours du développement in utero ou post-natal. On rencontre aussi certains types de difficultés de mémoire chez des enfants épileptiques.
Si les crises de colère occasionnelles ne signifient pas forcément que votre enfant a un problème, il faut s'inquiéter lorsque sa colère est fréquente et s'accompagne de comportements agressifs et violents.
La phobie scolaire est un trouble affectant les enfants en âge d'aller à l'école qui, en raison d'une anxiété, d'une dépression ou de facteurs sociaux, refusent d'aller à l'école car cela engendre un stress.